Bonjour,
Un an déjà que ma cheminée a été installée par "Les cheminées Philippe". J'ai souhaité une pose perpendiculaire au mur (pour changer un peu !) d'où un insert avec deux portes vitrées dont l'une permet de bénéficier d'un foyer ouvert en la relevant.. Bon..
Il va sans dire, que c'est 2 fois plus d'entretien qu'une simple vitre, surtout si le bois n'est pas assez sec..
Depuis quelques jours, je m'étonnais de constater que l'une des vitres demeurait propre, alors que sa jumelle était déjà copieusement encrassée (le bois a pourtant 2 ans !). Il y avait bien une odeur de fumée lorsque je chargeais le foyer, mais bon..
Et là ce matin, au moment de nettoyer, je constate que la porte vitrée la plus propre n'était pas fermée. J'en déduis donc que le courant d'air accidentel est à l'origine du non encrassement.
Ma question est la suivante: Lors de la pose, l'installateur m'a indiqué qu'il n'était plus requis de percer le plancher (qui donne sur un vide sanitaire accessible), le foyer étant alimenté par l'air ambiant (la pièce fait 50m2). Admettons.. Puisqu'à priori l'insert est étanche, pourquoi privilégiait on jusqu'alors une arrivée d'air "frais"? sur quoi influait elle ?
Comment puis je recréer un apport d'air au niveau inférieur et intérieur des portes de l'insert pour retarder leur encrassement ?
J'espère avoir été moins opaques que mes vitres bistrées..
Cordialement
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