Pourtant, la vitre rayonne au moins autant qu'elle ne convectionne (voir simulation de LutopiSte).
Je rappelle aussi que cette règle n'existe plus (voir n'a jamais existé ; sans doute était-ce lié au constat que les quantités préconisées au catalogue permettaient de déduire cette règle approximative, mais non justifiée), et que d'autre part, cette quantité préconisé est "par cycle" (par flambée), et pas par jour.
C'est exactement ce que fenlor souhaite... d'où la justification d'alourdir son poêle. L'autre solution, que vous préconisez, est de l'alléger, et le forcer à changer ses horaires de flambées.Par contre, ce qui change pas mal la donne, c'est le débit (la puissance) avec lequel cette chaleur sera restituée !
Le poêle étant plus lourd, il restituera plus longtemps cette même quantité de chaleur accumulée, donc avec un débit plus faible.
Quand la puissance est suffisante, c'est pour moi essentiellement un avantage : c'est une régulation "automatique". C'est justement, pour moi, TOUT leur intérêt. Celui de combiner une méthode de chauffage "manuelle" avec un minimum de contraintes de présence (tout l'inverse d'un poêle à bois normal, où si l'on souhaite chauffer toute la journée, il faut une présence continue). Comme dit ailleurs, si l'on souhaite "optimiser" la consommation (et la production de chaleur) avec une présence intermittente, ce n'est pas le bon choix de dimensionnement.C'est bien ce que j'essaye d'expliquer :
A quantité de bois égale, plus c'est lourd, plus ça chauffe doucement, ce qui est parfois un avantage, parfois un inconvénient...
Pas très modulables ces bonnes grosses bêtes en terme de puissance restituée quoi !
Encore une fois, il n'y a pas de ration journalière... il y a une ratio/cycleOu alors ( je viens de la trouver celle là !), c'est un excellent moyen de réguler la consommation de bois des ménages : une fois que tu as brûlé ta "ration", proportionnelle au poids de ton poêle, et ben, si tu n'as pas assez chaud, tu n'as qu'à revoir ton isolation
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