Pour ma part, à plus ou moins longue échéance, oui. Tu parles de 50 ans, peu de gens admettent ne serait ce que cette limite...
Ensuite il ne faut pas tout mélanger. On peut faire du durable, et de moins durable, j'explique que certains choix ne sont pas durables par définition, et qu'il faut replacer le débat sur les choix initiaux que l'on fait. Tu parles de s'affranchir du réflexe isol par l'intérieur, et je suis 200% d'accord. D'ailleurs, je me suis peut être mal exprimé, mais en parlant du béton tu suis mon raisonnement, et non l'inverse. Nous parlons bien de la même voix. Et pareil concernant le plâtre, mon discours était de dire que les anciens faisaient comme ça. Pas de recours à un "système" mais a des vielles méthodes qui marchent très bien pour un coût minime, à condition d'en prendre soin. La encore nous somme d'accordet enfin :
Oui, aussi. je ne suis pas allé à ce niveau de raisonnement, je me suis arrêté à la base. mais oui.Il y a un 3e paramètre : la durabilité par conception. Et un 4e : le prix immédiat (très différent du coût in fine qui intègre les charges d'exploitation, chose que les Autrichiens ont compris depuis pas loin de 10 ans).
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et enfin :
, mais de toute façon la conso annuelle de bois est un juge impartial). Reste à franchir le pas, parce que le test avec caractérisation du niveau de perméa coûte dans les 500€, juste pour valider des solutions et un travail... En ayant tout anticipé il est clair que l'objectif serait au moins le niveau passif, et pour beaucoup moins de boulot, mais en 2006... On va bien voir...

. Ca confirme un peu mes interrogations même si je ne savais pas les étayer