Bonjour, problème de suie très légère et noir qui sort du conduit du toit, salissant tout..
Poêle invicta
Tube150d droit environ 380cm
Sortie 40/50cm au dessus du faîtage
Pas de vmc
Bois pin essentiellement
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Bonjour, problème de suie très légère et noir qui sort du conduit du toit, salissant tout..
Poêle invicta
Tube150d droit environ 380cm
Sortie 40/50cm au dessus du faîtage
Pas de vmc
Bois pin essentiellement
bonjour,
prenez du chêne !
le pin encrasse tout et chauffe mal.
JR
l'électronique c'est pas du vaudou!
Idée préconçue, comment se chauffe la Scandinavie ?le pin encrasse tout et chauffe mal.
Le chêne fendu fin brûle bien, sinon c'est pire que le résineux.prenez du chêne !
Le résineux, c'est 8% d'énergie en plus mais comme le bois est moins dense, contient des résines combustibles, il brûle plus vite pendant la phase flamme et fait moins de braises qui donnent le sentiment que ça chauffe bien.
La suie floconneuse est due à une combustion incomplète par feu vif, les grandes flammes jaunes peuvent même être bordées d'une ligne noire de carbone, le tout s'agglomère avec la baisse de température dans le conduit et sort sur le toit.
Réduire la charge, plutôt que d'étouffer le feu.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Bonjour, merci pour votre réponse, oui à force je m en suis rendu compte, que de pas surcharger cela réduit fortement les suis volatiles, d ailleurs c est surtout au démarrage que ce problème apparaît, à forte de visiter les forums j ai compris que le chaud/froid crée des problèmes une fois que tout est en température cela diminue fortement
Oui je sais que le pin est pas terrible, habitant au bord de mer dans le sud, il n y a quasi que ça a brûler gratuitement les chênes ont disparu de notre territoire depuis quelques années et les stères coûtent un bras chez nous, peut-être faire un 50/50 pour diminuer le coût...
Il y a une chose que je n ai pas décrit quand j ai rallongé le tube inox pour bien dépasser le faîtage, le tube sort du dernier boisseau d’une bonne quarantaine de centimètres, serait il pas mieux de rajouter un boisseau supplémentaire pour mieux l isolé du froid où cela n a vraiment d importance ?
Sinon votre ou ta description des flammes c est exactement ça elles sont bordé de filaments noir au bout
Cdlt
Cela pourrait être un plus mais si le conduit est ramoné fréquemment cela ne se justifie pas.le tube sort du dernier boisseau d’une bonne quarantaine de centimètres, serait il pas mieux de rajouter un boisseau supplémentaire pour mieux l isolé du froid où cela n a vraiment d importance ?
Comme c'est la partie la plus froide, c'est celle qui risque le plus de former des créosotes, si on vérifie la vacuité du passage à chaque ramonage, ça va.
Pour réduire ce phénomène de suies floconneuses, on peut tenter les bûches plus grosses, tasser les bois fins, l'idée est de réduire la puissance thermique du feu, sans réduire l'air car la combustion est déjà incomplète.
En fait c'est la qualité du poêle qui fait la différence avec les résineux, mais alors ce que l'on ne met pas dans le coût du bois, on le met dans le poêle.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Et oui c est sur, j ai ce poêle depuis septembre...acheté sur lbc quasi neuf! le fabricant interdisait les résineux, palette etc sûrement a cause de la forte montée en température, apparemment certaines fonte ne tienne pas le choc thermique, là je commence à mieux gérer le dosage de bûche...à vraie dire si cette suie ne retombait pas sur la terrasse je m en serait jamais rendu compte ...merci en tout cas ... une dernière question pour faire le tour j ai fait une entrée d air sous le poêle d un diamètre de 40mn il semblerait d après plusieurs lectures qu’ il soit trop petit ? C est le cas où pas? cdlt
L'entrée d'air dépend de la taille du conduit, mais si 40 mm ce n'est pas légal, c'est mieux que rien et avant que cela soit insuffisant en débit réel, il y a de la marge. C'est trop petit car la norme parle d'une dépression de X Pascals,ce qui conduit à un débit faible sous cette dépression.
Le résineux palette, je ne brûle quasiment que ça, c'est terrible, c'est du résineux très sec, coupé fin, bref si on ne fait pas gaffe ça dégage.
Je fais des tas compacts avec les planches et je limite la charge avec les blocs et j'arrive à rester facilement dans la limite du thermomètre à fumée (j'en ai fondu un ! )
Les fabricants ne souhaite pas d'ennui, celui de mon poêle-bouilleur dit qu'il faut vérifier que le circuit d'eau n'est pas gelé avant de démarrer, chacun ses priorités.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Ok je vais quand même l agrandir...oui je me doute vue les préconisations qu’ils prétendent que du chêne, du frênes,etc vieux de deux ans ok mais bon
bonsoir
@ SK69202 bien peu dans le sud ouest se chauffent au pin des landes(rien à voir avec les résineux scandinaves) et pourtant ce n'est pas ce qui manque chez nous et çà ne coute pourtant quasiment rien!
Devines pourquoi!
JR
l'électronique c'est pas du vaudou!
Je brûle près de 4 tonnes de résineux par saison de chauffe, les pellets résineux sont mieux cotés, peut-être que la combustion du pin des Landes dans le sud-ouest fait peur aux oies ?
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Pour la nature du bois, chacun a ses propres convictions parfois bien ancrées. Brûler du résineux se fait couramment mais la combustion doit se faire en bonne condition avec des rondins refendus et quartier pas trop gros.
Avec le Chêne, parfois c'est assez polluant notamment en forte présence d'aubier ou de bois trop récent (séchage inférieur à 3 ans). L'idéal est de laisser le chêne la première année non couvert à la merci des intempéries puis de le laisser sécher à l'air au moins 2 ans coupé en 50cms ou moins, sans parler de la grosseur des quartiers. L'aubier blanc ne devrait plus être adhérent au bois de coeur donc non concerné par la combustion en bois bûches.
Un bon indicateur général est d'observer ce qui sort de la cheminée, de la vapeur oui, de la fumée....pas toujours bon signe.
Comme pour les résineux, ça c'est des vieux principes, laisser le bois à la pluie, c'était pour perdre les tanins qui donnent mauvais goût à la cuisine et font des odeurs avec les cheminées ouvertes, dans un poêle moderne, les tanins ça brûle.Avec le Chêne, parfois c'est assez polluant notamment en forte présence d'aubier ou de bois trop récent (séchage inférieur à 3 ans). L'idéal est de laisser le chêne la première année non couvert à la merci des intempéries puis de le laisser sécher à l'air au moins 2 ans coupé en 50cms ou moins, sans parler de la grosseur des quartiers. L'aubier blanc ne devrait plus être adhérent au bois de coeur donc non concerné par la combustion en bois bûches.
Le bois au soleil, à l'air et à l'abri de la pluie est sec en bien moins de 3 ans.
Le chêne ne brûle bien qu'en petites bûches fendues, mais si c'est pour avoir des braises pour "tenir" la nuit et pour rallumer le lendemain matin, cela ne sert à rien.
La conduite de la flambée est bien plus importante que le bois sec qu'on y brûle.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Bonjour, j avais peur en déposant ce post qu’il y est un combat d arguments! Pour finir à ne plus rien comprendre à la question posée. Jusqu’à aujourd’hui tout était limpide ...il a fallu d’une braise, pour voir un début de flamme, oui mais une braise de quoi? De chêne, de pin...?
Parce qu'entre la Physique et Chimie et le ressenti des Hommes, il y a une nuance.
Le résineux est mal aimé parce que on ne peut pas le faire couver comme le feuillus pour qu'il "brûle" des heures et donne le sentiment de chaleur, là ça bouche rapidement les conduits, du moins plus vite qu'avec les feuillus.
Comme il brûle plus vite dans des poêles qui n'accumulent pas assez l'énergie, une partie part à la cheminée et c'est plus de travail pour avoir chaud longtemps, même si on a chaud plus vite.
Avec des poêles à accumulation, on brûle tout rapidement à très forte température et les fumées chauffent un tas de pierres (ou d'eau dans une chaudière) avant de quitter le poêle d'où d'excellent rendement, après c'est les pierres ou l'eau qui chauffe.
Invicta interdit les résineux de palette, parce que ce n'est pas un poêle solide ni très bien conçu (ça coûte cher), bref en y brûlant correctement du résineux pas cher, il fera ce qu'il pourra dans la durée, même s'il y a de temps en temps un peu de suie sur la terrasse.
La vigilance est de regarder l'état du poêle, chaque fois qu'il y a un raté, c'est à dire une flambée trop vive.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Bonjour
Cela dépend de quelle période le bois a été coupé. En effet la sève est plus présente en été qu'en hiver. Pour un résineux la sève est toujours présente été comme hiver.
Si tu vois des filaments de fumée noire c'est qu'il y a de la suie du fait que le bois contient de la seve lors de sa coupe.
C'est pourquoi qu'on coupe des arbres en hiver, la sève descend dans les racines.
Il te reste à ramoner régulièrement si tu veuilles utiliser du pin pour te chauffer, et toujours bruler à feu vif du début à la fin, du bois fendu 7x7 max et en petites charges.
A+
L'énergie la moins chère est celle que l'on ne consomme pas.
Oui, tout ce que vous dites est vraie, je m en rends compte au fur et mesure ...étant néophyte dans ce domaine, depuis gosse j ai toujours vécu en appart..ça fait 5 ans que l on a une maison en ce chauffant uniquement au bois le plus souvent du pin parce que je l ai gratuitement bon en billot quand même avant il y avait un insert qui chauffait très mal et qui consommait beaucoup, c est pour cela que je suis passé au poêle, comme c est moi qu’il ai installé, je pensais avoir fait un erreur d installation
Souvent, on vante le chauffage bois "bûche" comme économique, ce qui est vrai. Toutefois, la bonne mise en oeuvre du combustible dans les poêles est primordiale: beaucoup pensent qu'il suffit d'avoir du bois à disposition pour se chauffer. La réalité est tout autre, les incidents rencontrés içi ou ailleurs en sont en témoignage ainsi que le manque de rendement énergétique.
Lors de reportages à la télévision, à l'automne ou même en hiver, on voit parfois des livraisons de bois prêts à chauffer dont la qualité visuelle prête à interrogation.
Je me chauffe avec du bois feuillu mélangé (chêne, hêtre, charme, Frêne, érable, bouleau, tremble,aulne,pin...) que je coupe en vieille lune de décembre suivant un calendrier lunaire local afin d'avoir le minimum de sève intérieure dans le bois. C'est une vieille tradition à laquelle personne n'est obligé d'adhérer comme allumer sa cheminée en bonne lune ....à l'automne.
Un critère de bois sec qui me convient bien est de prendre 1 morceau de bois dans chaque main et de les frapper ensemble : prendre du bois vert, écouter le bruit sourd puis prendre du bois sec et la différence de bruit sec est sans appel.
Pour le séchage, chacun a ses convictions. Un poêle peut tout brûler mais les impuretés de combustion demeurent. Le bois de chauffage a tendance a être coupé toute l'année puis pré-séché en grande longueur, non refendu sur pile industrielle, ce qui a pour résultat de voir la sève stockée séche dans les canaux interne du bois. Ensuite après plusieurs mois, le bois est repris pour être débité avec soit stockage sous hangar soit stockage en cône ...à l'air libre. Ce détail ne peut pas vous échapper en passant devant une plateforme de transformation-stockage de bois de chauffage vu la hauteur parfois impressionnante du cône de stockage en air libre.
Du bois de chauffage fabriqué à l'ancienne directement en forêt en morceau de 1m ou 1m33 suivant les usages locaux séche plus facilement, d'autant plus si les piles ont une petite pente naturelle transversale qui facile la sortie de la sève résiduelle.
En scierie spécialisée, des sciages épais de haute qualité sont soit stockés à plat avec légère pente soit carrément stockés verticalement parfois pour un parfait ressuyage de la sève.
Avoir du bois sec pour se chauffer ((humidité inférieure à 15%) est gage de bonne combustion et gage de bon rendement. Il suffit de regarder son dépôt de suie en pied de conduit après les 2 ramonages annuels de rigueur, en général c'est assez éloquent en volume et en consistance.
A chacun de se forger sa propre opinion en fonction des ses convictions écologiques, il me semble que la mauvaise utilisation du bois de chauffage en combustion va aboutir à un durcissement de la législation à terme.
acheter ça :https://www.leroymerlin.fr/v3/p/prod...ixneuf-e184637 pour tester il faut fendre une buche en 2 et placer cet ustensile au milieu du coeur : en surface et au coeur du bois les valeurs sont différentes...Si en surface ca parait sec, au coeur ce ne l'est pas...
Cela permet de se fixer car taper 2 buches n'est pas toujours efficace...
Et pour un séchage plus rapide et sûr, il faut refendre le bois à 7x7 maxi.
Dernière modification par Ulyssesourd ; 28/12/2020 à 15h59.
L'énergie la moins chère est celle que l'on ne consomme pas.
Bonjour à tous ceux qui ont participé! problème quasi résolu, j ai tous simplement agrandis l entrée d air à 100cm depuis plus de suis floconneuse ou vraiment infime peut être celles qui restent dans le tuyau, j ai pas refait de ramonage, le foyer reste propre et fumée sortante hyper clair
Voilà je marque ça pour des futures visiteur qui ont un problème identique
Cdlt
Bonjour et bonne année 2021,
Quitte à choisir, ma préférence est de faire de bonnes flambées régulées avec du bois très sec car l'humidité se retrouve quelque part à certains moments. N'étant pas chimiste, je me fie aux constats visuels et olfactifs. Notre bois a une humidité inférieure à 10/12% et cela me convient très bien.
Pour en revenir au chêne, mon bois préféré est le chêne sec abandonné en forêt depuis des lustres bien lessivé: ma chaîne de tronçonneuse n'apprécie pas trop vu la rudesse du bois mais quel bois de chauffage qui tient le feu avec de la vraie bonne braise de qualité pour relancer le feu. D'autre part, je ne démarre jamais un feu avec du chêne mais avec des bois tendres puis le charme/hêtre et enfin le chêne une fois le foyer bien opérationnel.
A chacun sa philosophie et sa diversité pour maîtriser un bon feu en prenant le temps de respecter le cycle du feu et de le vivre en adéquation : il ne suffit pas d'engouffrer du bois dans un foyer en pensant que la technique moderne va tout absorber sans conséquences. Du bois sec , bien calibré, avec des charges adaptées au foyer est gage de réussite d'un bon feu avec un rendement optimum pour une installation conforme. C'est tout le plaisir du chauffage bois.
Voilà comment on brûle du bois chez moi :
On s'en fout de l'essence du bois, il faut juste du bois sec.
On n'a pas tous une chaudière haut gamme et il faut la ramoner quand même t'a chaudière non
2 fois par année, comme la réglementation le recommande
Bonjour, bon cette fois je connais la cause à mon problème, car après avoir amélioré l entrée d air primaire ...quelques jour après cela est revenu, mais j ai trouvé le fautif, dans mon lot de pin qui après travaux à été remanier il y a des bûches pas assez vieille pour être brûlées donc plein de résine et c est quand je l.enfourne que le problème arrive, implosion, fumée, et filaments qui s accroché au foyer, le problème pour moi est de ne pas retomber dessus car impossible à identifier a l œil et quand je m en aperçois j augmente au Max l entrée d air en ouvrant de 5mn la porte, pour qu’elle crame au plus vite, pour éviter de tout encrasser
Sinon le pin bien sec fonctionne très bien ...et comparé le chêne au pin c est comme comparer une Mercedes à une Peugeot les deux vous amène au même point mais pas avec le même budget
Bonne année à tous
Merci pour le retour de tes constatations et tu peux avoir plusieurs façons de les traiter :
- identifier le bois très sec de l'autre avec un testeur sur la tranche au milieu de la bûche,
- refendre les morceaux un peu humides en plus petite section si possible,
- enfourner le bois "un peu humide" sur un très bon lit de braises en laissant juste la porte entre-ouverte le temps que les flammes prennent bien (normalement quelques secondes avec braises bien incandescentes),
- essayer de mélanger les morceaux secs et pas trop secs au chargement.
Plus le bois est sec, plus la section peut être importante, a contrario avec du bois insuffisamment sec, la section devrait être réduite pour une meilleure évacuation des gaz de combustion.
Pour avoir allumer des quantités de feu en forêt par tout temps jadis pour chauffer ma gamelle, se réchauffer, se sécher,... avec tout ce que l'on trouvait sur place sans rentrer enfûmé "comme un hareng", l'art du feu est simple une fois que l'on a appris de ses échecs.
On peut démarrer un feu avec du bois vert à l'air libre si on prend le temps de faire des toutes petites bûchettes très fines pour démarrer. Le feu dans un foyer est similaire mais avec des sections plus importantes et avec toujours une pensée environnementale, idem en forêt où les feux ne sont plus une bonne pratique.
Bon feu 2021 ..avec de bonnes flambées.