Bonjour,
Je m'interroge sur la fixation des poutres avec des sabots métallique.
Je trouve étrange qu'un simple sabot fixé avec des pointes puisse supporter la charge qui est prévue pour une poutre.
Faut-il simplement se fier à la taille du sabot adapté à tel ou tel poutre?
Y a t'il d'autre préconisation pour les choisir?
Salutations.
Cordialement
Bonjour.
Il faut choisir les fixations en fonction du matériau.Je trouve étrange qu'un simple sabot fixé avec des pointes puisse supporter la charge qui est prévue pour une poutre.
Les vis sont préférables aux pointes car plus résistantes à l'arrachage.
bonjour,
j'en ai utilisé ; d'une part c'est des pointes crantées et il y a la possibilité de fixer avec une tige filetée traversante. Je dors dessous .
yves
Je suis tout de même perplexe.
Lorsqu'une poutre peut supporter plusieurs tonnes, avec un sabot à chaque extremité fixé par des pointes mêmes crantées, la poutre conserve la meme charge possible??
bonjour: si tu regardes sur le site simpson strong tu verras que pour le modèle "courant " SAE les préconisations techniques indiquent le nb de vis CSA à poser : par ex 22 vis de 5 sur le portant,soit 400mm2 de section cisaillée;la vis étant légèrement conique,l'assemblage n'a rien à voir avec des pointes;
cdlt
De mémoire, une vis de diamètre 4 (pour l'âme, pas le filet) supporte plus d'une centaine de kgs en cisaillement.
Sur ce type d'effort, pointe ou vis c'est quasiment pareil, et on peut fixer le sabot avec plusieurs dizaines de ces pointes, je ne vois vraiment rien d'inquiétant quand à la solidité de l'assemblage.
Bonsoir.
Plusieurs post ci-dessus indiquent, à raison, que la résistance à considérer est celle au cisaillement.Je m'interroge sur la fixation des poutres avec des sabots métallique.
Je trouve étrange qu'un simple sabot fixé avec des pointes puisse supporter la charge qui est prévue pour une poutre.
Le site Simpson est très clair, il y a les fixations dans le support (bois ou béton) et les fixations dans la poutre supportée. Ces dernières fixations rendent le sabot solidaire de la poutre supportée, et, du coup seul l'effort de cisaillement est à considérer, et non pas l'effort à l'arrachage.
Il faut aussi que le sabot soit au contact des fixations, ce qui implique que les fixations aient le même diamètre que les perçages dans le sabot.
Il s'agit de l'effort supportable au niveau du sabot et non pas de l'effort supportable au milieu de la poutre.
