Juzo,
ce qu'on te dit, c'est que tu ne fais que redire ce qui a été dit précédemment, sans répondre mieux à la question initiale (sans grand intérêt, j'en suis d'accord avec Médiat).
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Juzo,
ce qu'on te dit, c'est que tu ne fais que redire ce qui a été dit précédemment, sans répondre mieux à la question initiale (sans grand intérêt, j'en suis d'accord avec Médiat).
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
@gg0 je m'en doutais un peu malheureusement.
Merci à tous pour vos réponses.
Bonne soirée
Les fleurs du cerisier rêvent en blanc les fruits qu'elles ne voient pas.
J'ai bien précisé que je m'exprimait du fond de ma médiocrité.. donc truisme
Eléments de ma médiocrité:
Dans l'idée une relation d'équivalence qui s'écrit a<->b sous entends que a et b éléments de n ensembles peuvent se définir tel que a=x truc y (ou truc est une opération sur y) et b= k truc n.. et x,y,n et k peuvent être des nombres ou être définis comme a et b jusqu'à apparition d'un nombre ou pas dans ces définitions.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Non, absolument pas, déjà pour parler de sous-entendu en mathématiques ....
Dans l'idée une relation d'équivalence qui s'écrit a<->b sous entends que a et b éléments de n ensembles peuvent se définir tel que a=x truc y (ou truc est une opération sur y) et b= k truc n.. et x,y,n et k peuvent être des nombres ou être définis comme a et b jusqu'à apparition d'un nombre ou pas dans ces définitions.
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Sous-entend ou implique, ça ne change rien à une phrase trop mal construite pour savoir ce que tu pense. Réécris ça en français correct
Personnellement, j'abandonne, aider quelqu'un qui ne comprend pas, c'est toujours utile, répondre à quelqu'un de mauvaise foi (il suffit de lire sa réponse à mon message précédent pour s'en convaincre) est une perte de temps
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Bonjour, ce n'est pas de la mauvaise foi, de la médiocrité dans la compréhension des maths c'est tout -> je mélange très rapidement toutes les définitions et plus je tente de savoir quelque chose dans ce domaine moins j'en sais.
Dans ma reflexion j'ai relu l'article wikipedia sur les nombres https://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre et me suis arrétté sur
"Le concept de nombre trouve son origine dans l’idée d’appariement, c’est-à-dire de la mise en correspondance d’ensembles (par exemple des êtres humains d’une part et des chevaux d’autre part). Si l’on tente de répartir tous les éléments en couples comprenant un élément de chaque ensemble, il se peut qu’il reste des éléments d’un ensemble en trop, ou qu’il en manque, ou encore qu’il y en ait juste assez. L’expérience montre alors que la manière de faire la répartition ne change pas le résultat, d’où la notion de quantité, caractère intrinsèque et qui peut être comparé.
"
Et je me suis demandé si un ensemble infini pouvant être composés d'éléments tels qu'ils ne soient pas apparillables entre eux mais quand même être individuellements porteur d'une propriété sans que celle ci ne soit clairement définie = soit juste le fait d'être un élément mais comment le savoir dans ce cas? d'ou le trilemme de Munchausen.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
ça me fait penser à l'argument de Poincaré, qui n'aimait pas la méthode axiomatique et qui critiquait la définition axiomatique des entiers au motif qu'elle serait circulaire puisqu'on y parle d'un élément ou de deux éléments, etc. Cet argument n'est pas considéré comme recevable aujourd'hui, et on distingue un usage intuitif des nombres dans la formulation des axiomes de celui des entiers axiomatisés. Cela dit, Poincaré n'était pas un benêt, il y a peut-être ici une réelle aporie...Jolie idée ton histoire de père et de fils. Mais il faudrait que tu ailles au bout pour qu'on soit sûr. "Et il ne semble pas que l'on utilise de nombre". Prouve-le !!
Un genre de difficulté qu'on va rencontrer : Pour que l'on puisse dire "un fils ne peut pas être le père de son père", il faut les différencier, donc dire qu'ils sont deux. Deux est un nombre ("un" aussi, mais on peut alléguer que ce n'est ici qu'un déterminant, un article indéfini).
Dans toutes définitions il y a aporie, au moins sous-jacente, j'utilise toujours la même image : essayez d'écrire un dictionnaire qui ne serait pas en ordre alphabétique, mais tel que chaque définition n'utilise que les mots précédents. A noter que cela n'empèche pas les dictionnaires d'être utiles.
Cependant l'aporie ne me semble pas être là, dans le cas de AP, bien sûr, je peux dire que + est une fonction binaire (à 2 variables) ou je peux dire que c'est un sous-ensemble de MxMxM (possédant certaines propriétés) et il n'y a plus d'entiers (mais des ensembles), ou encore (il y a d'autres choses à ajouter), et il n'y a plus ni entiers ni ensemble
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Ça me fait penser à un truc amusant.
Ici par exemple vous citez x et y avec (x,y) mais vous auriez tout aussi bien pu écrire (1,2) à partir du moment où vous avez cessé de considérer 1 2 etc comme des nombres mais seulement comme des symboles.
L'inverse est donc peut-être aussi vraie...
On peut je pense remplacer chaque nombre par un symbole (du moins théoriquement) et ainsi définir des règles qui associent ces symboles entre eux mais sans compter.
On peut même aller plus loin en considérant une image représentant ce qu'on appelait avant un nombre (par exemple l'image de 3 chevaux pour signifier 3) ?
Pierre Desproges avait une expression autour du même sujet, ça parlait de râpe à fromage...
Not only is it not right, it's not even wrong!
Je suis Charlie.
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