Bonjour Eric,
Ni alcool, ni Jasper (je suis dedans, je me délecte), mais l'éthymologie de "amateur" est "celui qui aime", alors que dans ma phrase il était employé dans le sens "non professionnel".
Amicalement
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Vi Vi, mais c'est "étymologie" sans "h" ....
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Bonjour,
Ci-joint fichier PDF (chapitre 1) avec lignes numérotées pour mieux cibler vos remarques qui sont, par définition, les biens venues .
Ahmed Idrissi Bouyahyaoui
AIB : ce document est-il libre de droits ?
Bonjour à tous,
à benjy_star :
Ce document a le même statut légal que les précédents .
Vous pouvez l’afficher, j’engage ma responsabilité totale et sans aucune réserve .
Ahmed Idrissi Bouyahyaoui
bonjour ABI
Je ne suis pas du tout spécialiste de la question mais j'ai des choses à dire.
D'abord tu es courageux de te pencher sur ce problème qui a empoisonné les matheux pendant 3 siécles.
J'ai lu un livre écrit par un matheux chercheur en angleterre retraçant l'histoire de Wiles et le théorême.
Wiles a mis 7 ans pour démontrer ce théorme. Mais avant il lui fallait démontrer d'autres conjectures comme celle de Shimura-Taniyama et d'autres nécssaires à la démonstration. Au bout de 6 ans il a remis son manuscrit au jury officiel des matheux pour l'examen de sa démonstration. Ce jury était composé de plusieurs équipes et chaques équipe spécialisée dans une branches des maths. Il y'avait une erreur et il lui a fallut 1 an pour la corriger et c'était bon. Son manuscrit contenait des milliers de pages.
Je pense que Fermat n'a rien démontré; sous pretexte que la marge de la feuille n'est pas trop large, il n'a pas pu écrire la démonstration... De qui on se moque! Certes il était un grand matheux (petit théorême de Fermat et d'autres) mais quand même.
Quant à toi, pourquoi tu ne remets ton manuscrit à un jury de matheux pour examen ? Avec les 30 pages tu batterais Wiles et Fermat! (c'est pour rire)
On parle plutôt de mathématicien que de matheux. C'est limite péjoratif de dire que Fermat était un grand "matheux". Il faisait plus que simplement aimer les mathématiques.
Pour ce qui est de remettre son dossier à un jury de matheux, c'est exactement ce qu'il fait. Cette fois ci, le mot matheux est utilisé a bon escient.
Malheureusement il y a des erreurs et des incohérences dans la preuve, tant qu'elles ne seront pas corrigées, cette preuve n'aura pas de valeur, mathématiquement parlant.
Bonjour S321
Pour moi le mot matheux n'a rien de péjoratif d'ailleurs comme le mot prof.
Plus sérieusement, penses tu que Fermat a pu démontrer le dit théorême ?
Je suis le premier à dire que c'était un mathématicien et pas des moindres. La théorie des probabilités est dûe à Pascal et Fermat !.
Maintenant ABI a dit qu'il a démontré 2 théorêmes, est ce qu'il les a publié officiellement et ce sont de vrais théôremes? Je lui souhaite beaucoup de chance!
Bonjour et bonne lecture
Le mode de raisonnement par l'absurde est explicité après avoir été implicite précédemment.
ci-joint un fichier pdf.
Ahmed Idrissi Bouyahyaoui
Bonjour,
Je tiens à remercier tous ceux dont les remarques constructives m'ont invité à revoir ma copie.
Ci-joint un fichier pdf (4 pages) où j’expose une preuve directe du grand théorème de Fermat et irréfutable selon la logique bivalente, l’arithmétique et l’analyse. C’est un extrait du document d’une douzaine de pages déjà publié.
Je vous souhaite une très bonne lecture.
Je m'attends, logiquement, à un large soutien de la part des amis des mathématiques.
Ahmed Idrissi Bouyahyaoui
P.S. :
Démonstration directe du grand théorème de Fermat
( 4 pages)
Résumé :
Etablissement d'une règle de réduction (méthode de "descente finie") d'une puissance de degré n somme ou différence de deux puissances de même degré n à un de ses facteurs premiers (puissance de degré n) ayant la même propriété : somme ou différence de deux puissances de même degré n.
Etablissement de deux théorèmes qui démontrent le grand théorème de Fermat.
Salut!
Quand vas-tu te décider à tenir compte des remarques qui t'ont été faites de nombreuses fois?
P(a^n) n'a pas de sens dans ce que tu as écrit.
De plus, je crois que la remarque ne t'a pas encore été faite: que signifie "j'utilise la logique bivalente pour montrer le théorème de Fermat"? Crois-tu vraiment que ceux qui se sont attaqués à ce problème ne l'utilisaient pas???
Cordialement
J'ai peur que tu perdes ton temps, non seulement cela a-t-il été dit depuis le message #2 et de nombreuses fois par la suite (et pas uniquement sur ce site), mais à la page 1 du document on trouve :
P(42)=V , ¬P(24)=V
C'est à dire que P(16) et vrai et que P(16) est faux, il est vrai qu'à partir de là on peut tout démontrer, y compris le théorème de Fermat.
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Je crois qu'il faut faire appel au comte Korzybski pour décrypter la pensée de AIB : la démonstration n'est pas la preuveJ'ai peur que tu perdes ton temps, non seulement cela a-t-il été dit depuis le message #2 et de nombreuses fois par la suite (et pas uniquement sur ce site), mais à la page 1 du document on trouve :
P(42)=V , ¬P(24)=V
C'est à dire que P(16) et vrai et que P(16) est faux, il est vrai qu'à partir de là on peut tout démontrer, y compris le théorème de Fermat.
"Plus sérieusement, penses tu que Fermat a pu démontrer le dit théorême ?" >>> non clairement pas... au mieux il avait une preuve contenant une erreur (il y en a eu de nombreuses dans l'histoire... notement une ici) au pire il mentait juste. pour ceux qui en doute, il à passé beaucoup de temps plusieurs année plus tard à travaillé sur des cas particulier de sa conjecture... si il savait le prouver dans le cas général je vois assez mal l'interet de passer plusieur mois à réflechir sur le cas n=4,n=3 ou n=5 (je sais plus trop sur lesquelles travaillait fermat...).
AIB : tu devrais commencer par ecrire une preuve lisible : ie, pas en obscursisant tous avec des propositions formelle dans tous les sens des "=V" ou =F un peu partous etc... personne n'écrit de maths comme ca, c'est juste imcompréhensible, et ca n'apporte rien. le francais contiens plein de mot : utilise les ! si tu n'es pas capable d'ecrire ta preuve en francais, c'est que tu ne comprend pas ce que tu fais. Une fois que la preuve sera lisible on prendra peut-etre la peine de la lire et de t'expliquer ou sont les problème... quoi que je ne doute pas qu'une fois qu'elle sera réecrite tu trouvera tous seul pourquoi ca ne marche pas...
accesoirement, vu que la "preuve" est un peu illisible j'ai pas entièrement saisit ton raisonement... mais j'ai pas l'impression que tu utilise quelque part l'hypothèse n>2... ce qui est quand meme un peu dommage ^^
Bonjour,
Voici une nouvelle version comportant la correction d'une erreur de logique.
Je vous souhaite une très bonne lecture.
Ahmed Idrissi Bouyahyaoui
C'est carrément un refus de prendre ce papier au sérieux alors que ce problème a déjà été soulevé (avec bienveillance) il y a plus de deux mois (et ce n'est pas le problème le plus grave).
Je précise que ce point n'est pas réglé dans le nouveau papier
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Bonjour,
Cette discussion est décidément très divertissante Je me permet d'emprunter à ce cher AIB, une magnifique erreur de logique à laquelle je n'aurai pas pensé. Je la trouve tellement belle que je me propose d'utiliser cette erreur pour vous démontrer que tous les entiers naturels sont pairs, pour le plaisir de tous. Je précise que ce n'est pas là l'erreur de logique qui fait que la preuve est fausse, dans la preuve de AIB, une petite modification de la rédaction peut enlever cette erreur, la vraie erreur qui fait que la preuve est fausse est toujours la même, elle vient du fait que l'auteur de ce papier ne sait toujours pas nier une implication.
Le tiers exclu dit que, pour tout proposition ,
Pour un entier naturel je note la proposition : " est pair".
Soit un entier naturel fixé, on a alors d'après le tiers exclu
Comme l'entier a été pris quelconque, on a naturellement
Examinons alors les deux propositions:
(1)
(2)
La deuxième proposition est visiblement fausse, car si elle était vraie, on aurait en particulier , or tout le monde sait que n'est pas pair (notez bien cependant qu'à la fin de la preuve j'affirmerait que est pair)
On en déduit alors le fait que (1) est vrai en utilisant que
CQFD
amusant n'est-ce pas
En effet elle est magnifique celle là. J'avoue que ça ne m'aurait même pas traversé l'esprit. Je la ressortirai, peut être que je vais la mettre avec ma collection de preuves que 1=2.
Après tout c'est une corollaire évident, tu viens de montrer que 1 est pair. étant le plus petit éléments de N* c'est donc a fortiori le plus petit entiers pair, or le plus petit entier pair c'est 2 donc 1=2.
Personnellement je n'ai pas eu le courage de continuer la lecture de l'article de AIB après les absurdités du début.
Kerlannais vient de démontrer en quelques lignes, tout seul, que, en vérité, l’ensemble des entiers naturels est vide (heureux les écoliers, peut-être pas les libraires) :
Pn la proposition : "n est pair".
Soit n un entier naturel fixé, on a alors d'après le tiers exclu
Pn v ¬Pn
Comme l'entier n a été pris quelconque, on a naturellement
n Є N , Pn v ¬Pn
Examinons alors les deux propositions :
(1) pour tout n Є N , Pn
(2) pour tout n Є N , ¬Pn
Les deux propositions sont visiblement fausses.
Selon le raisonnement disjonctif :
pour tout n Є N , ((Pn v ¬Pn)^¬(¬Pn)^ ¬Pn) ===> N = Ø
CQFD
amusant n'est-ce pas
Amusant ?
Vous avez là, posée tout simplement, sur une (en lettre, les nombres entiers n’existant plus) ligne, le modèle mental ou mathématique de l’anti-matiére.
Bonjour,
MEDIAT : je souhaite connaitre votre avis sur ce qui est « la clef de voûte » du Théorème F, lequel est l’hypothèse du Théorème A.
Il y a plus de deux mois, j’ai formulé la démonstration par l’évaluation de la contradictoire (non la négation).
Preuve directe de la règle de réduction :
(y, x, n N+)
(2n ≠ yn + xn, < 2, y, x> = 1 et n>2, 3n ≠ yn + xn, 2n3n ≠ yn + xn , < 2,3, y, x> = 1 et n>1) .
Aussi je peux écrire la proposition vraie :
( a, b, n N+, <a, b> = 1 , n>2) (¬P(a,n) ¬P(b,n) ¬P(a*b,n))
de contraposée la règle de réduction :
( a, b, n N+, <a, b> = 1, n > 2) (P(a*b,n) P(a,n) P(b,n))
qui, par réductions successives suivant des déductions logiquement vraies (inférences), permet d’aboutir à la réduction terminale : le théorème F.
Ci-joint l’article complet (4 pages), en souhaitant, à tout lecteur, une très bonne lecture.
Cordialement
Lire :
Aussi je peux écrire la proposition vraie :
( a, b, n N+, <a, b> = 1 , n>2) (¬P(a,n) ¬P(b,n) ¬P(a*b,n))
de contraposée la règle de réduction :
( a, b, n N+, <a, b> = 1, n > 2) (P(a*b,n) P(a,n) P(b,n))
C'est étrange,
je reprends ,
Lire :
Aussi je peux écrire la proposition vraie :
( a, b, n N+, <a, b> = 1 , n>2) (¬P(a,n) ¬P(b,n) ¬P(a*b,n))
de contraposée la règle de réduction :
( a, b, n N+, <a, b> = 1, n > 2) (P(a*b,n) P(a,n) P(b,n))
Mais enfin, réalisez vous que ce que vous écrivez est, sinon grotesque, absolument ridicule ?
Non, Kerlannais n'a pas démontré que l'ensemble des entiers naturels est vide, il a mis le doigt sur une erreur flagrante de logique. D'ailleurs, j'ai moi-même démontré juste après comme corolaire à cette erreur de logique que 1=2.
Effectivement en raisonnant n'importe comment, on peut démontrer n'importe quoi.
Si vous écriviez vos énoncés en français vous comprendriez peut-être mieux où sont vos erreurs.
En partant du principe que tous les entiers sont soi pairs soi impair vous nous dites carrément que dans ce cas là, si les entiers ne sont pas tous pairs c'est qu'ils sont tous impairs.
Vous oubliez qu'il pourrait très bien y avoir des deux, à savoir des entiers pairs et des entiers impairs. C'est d'ailleurs ce qu'il se passe, même à peu près à raison de la moitié paire et l'autre moitié impaire.
Bonjour,
J'ai omis de reporter l'évaluation de la complémentaire de la règle de réduction,
voir le paragraphe:
Preuve directe de la règle de réduction :
........
Evaluation de la proposition complémentaire :
......
dans le fichier ci-joint
Cordialement
Ahmed Idrissi Bouyahyaoui
AIB, tu devrais arrêter de faire le sourd et essayer de prendre au sérieux, sinon d'au moins considérer, toutes les remarques qui t'ont été faites et d'en conclure en conséquent l'invalidité de toute ta logique exposée depuis le début.
c'est comme pour un myope chercher ses lunettes.