Bonsoir, L'écriture trigonométrique d'un nombre complexe étant 1/ Parfois il est écrit que et parfois lequel est juste ? 2/ Comment passer de à je croyais qu'on pouvais pas diviser les congruences ?
Bonsoir 1) Les deux, mais pas dans les mêmes circonstances. L'argument θ étant défini à 2π près, tous les r·ei(θ+2kπ) avec k∈ℤ représentent le même nombre complexe. Dire que l'argument d'un nombre complexe appartient à [0;2π[, c'est une manière de définir ce dernier d'une façon unique. Prendre θ réel permet de s'autoriser à faire n'importe quel calcul faisant apparaître expressément l'argument, comme par exemple lorsqu'on écrit : (r1·eiθ1) · (r2·eiθ2) = (r1·r2)·ei(θ1+θ2) 2) Je ne vois pas où est le problème. Pour n non nul, les deux expressions sont équivalentes. Si n≠0, il revient bien au même de dire que : nθ ∈ {..., –6π, –4π, –2π, 0, 2π, 4π, 6π, ...} ou de dire que : θ ∈ {..., –6π/n, –4π/n, –2π/n, 0, 2π/n, 4π/n, 6π/n, ...}
Merci j'ai compris J'avais vu qu'on prenais dans la démo des racines n-ièmes de l'unité, maintenant je viens de comprendre c'est pour ne pas réécrire les solutions qui se répètent et qui sont identiques