Bonjour au forum de neuropsychologie.
La vitesse d'écoulement du temps est-elle la même pour tout le monde ou bien proportionnelle à la taille, la masse, la dimension de tout un chacun ?
Par exemple, l'insecte sent-il passer le temps beaucoup plus lentement que l'Homme ??
Pour dégrossir le sujet, je dirais que la perception de l'écoulement du temps, chez les animaux qui en sont capables (pour l'insecte, je ne sais pas si on peut parler de "conscience du temps qui s'écoule"), dépend déjà d'une part de la fréquence de mise à jour du système nerveux central (donc, entre autre et du fait de la faible vitesse de transit des influx nerveux, de la distance entre les récepteurs et le système nerveux central).
La capacité à percevoir le temps dépend également fortement du fait que les systèmes de perception soient "non-automatiques".
Les automatismes sont en quelque-sorte, du fait de ne pas passer par la conscience, "hors du temps perceptif" et c'est d'ailleurs ce qu'on vérifie (du moins chez nous, êtres humains) : Le temps semble passer beaucoup plus vite lorsqu'on fait beaucoup plus appel à eux (avec l'âge et par exemple avec l'apprentissage).
par exemple, lorsque vous parcourez plusieurs fois le même trajet, qui pourtant fait à la montre toujours la même durée, vous ressentez bien que sa durée perceptive diminue, pour se stabiliser en général à une certaine valeur.
D'autre part, des études ont été effectuées sur notre perception de la "distance temporelle depuis maintenant" (si je puis dire) des évènements mémorisés.
Le type de mémoire employé joue beaucoup sur le décalage perceptif des différents évènements mémorisés relativement à la durée réelle (celle indiquée par une horloge).
C'est une sacrée explication que vous me fournissez là, LeMulet. Merci beaucoup ! C'est très intéressant.
bonjour
C'est surtout que c'est la conscience de soi et du monde, plus élaborée chez l'être humain que chez l'animal, qui permet à l'être humain non seulement de sentir qu'il va mourir mais encore d'en avoir consciance. La nimal peut sentir qu'il va mourir dan sles derniers instants de son existence ou face à un danger immédiat par exemple les gazelles peuvent sentir l'angoisse de la mort quand un lion les guette ou les vaches sentir l'angoisse de la mort quand elles entrent dans un abattoire mais, foncièrement, les animaux n'ont pas conscience de devoir mourir un jour et donc par conséquent, puisque le problème de l'écoulement du temps qui passe est celui d ela mort, les animaux ne savent pas qu'ils vont mourir, n'ont pas conscience de l'écoulement du temps qui passe sauf dans des cas extrêmes et que ceux que je viens d'évoquer. Maintenant que les animaux petits puissent sentir mieux le temps qui passe que les gros, ou que le "sentir que le temps s'écoule" soit plu sdéveloppé chez les gros que chez les petits, cela je n'en sais pour ma pomme rien et des études scientifiques montreraient cela ou pas, je n'en sais rien ! Mais le rôle de la mémoire semble primordial et l'être humain a une capacité à mémorisé supérieure aux animaux et il ssont aussi soumis à des réflexes qu'ils subissent san sles maitriser mais dans une moindre mesure que les animaux et si je fiat toujours le meme trajet et que la durée perceptive diminue alors que la durée réelle reste la même vient peut être du fait que l'habitude diminue le sentiment d'angoisse fa&ce à l'inconnu donc le trajet devient de plus en plus connu donc moins angoissant, stressant en termes de capacités de survie ou de vie tout simplmenent, donc qu'il mobilise moins de "catpeurs" sensoriels au fil du temps et donc au fil du temps la préoccupation du trajet dan sl'esprit devient moindre et d'autres préoccupations sont plus importantes.
En faite derrière, en philigramme, n'est-ce pas toujours la volonté de vivre ou de survivre qui prévaut absolutement sur tout le reste, qui commande en premier lieu les neurones du cerveau qu'elles mêmes commandent des réflexes ou d'actes réfléchis ?
En plus l'environnement immédiat d'une fourmis est plus restreint en termes de longueur de vue que celui d'un éléphant mais l'être humain n'est pas le plus volumineuix des "animaux" ce qui ne l'empêche pas grace à un cerveau plus performant en termes de capacité de réflexsion, de "voir" infiniment plus loin et mieux types des galaxies, que les éléphants et des dinosaures qui étaient très volumineux avaient des cerceaux de moineauxs et ils ne voyaient pas très loin non plus : https://www.futura-sciences.com/plan...elligent-2604/
Je rappelle à tous que sur un forum scientifique, les théories personnelles et philosophiques ne sont pas autorisées.
Les avis personnels son étayés seront donc supprimés
En forme de complément aux propos de Le Mulet ( qui appuie sur la subjectivité )
Je trouve intéressant de pointer ce qui pourrait sembler paradoxal.
concernant le temps présent, il semble passer très vite en cas d'activité intense, surtout si elle est plaisante.
et inversement très lentement quand on s'em...de.
( me fait penser une jolie phrase de Brassens )
concernant notre souvenir des temps passés, le phénomène s'inverse, les moments forts reste bien imprégnés ( bien plus que les périodes de routine ) ce qui induit que le temps ( rétrospectif ) des premiers semblent plus important que les seconds.
c'est banal, j'en conviens !
bonjuorEnvoyé par ansset
Simplmeent parce que quand on s'emmerde le cerveau n'est préoccupé par rien d'autre que par l'écoulement du temps ! L'écoulement du temps est ma préoccupation première et parfios exclusive si je m'emmerde énormement et ce n'est pas dan sl'ordre des choses de s'emmerder donc s'emmerder stresse, angoisse parce que la conscience sait que cela ne peut pas durer indéfiniment et donc elle se demande comment cela va finir. Par exemple des gens attendent un bus qui n'arrive pas donc comme des ânes et je m'inclus dans ces ânesils se torunent vers l'endroit d'où le bus doit arriver parce qu' ils stressent, ils angoissent car le bus n'arrive pas mais que se passe til donc se demandent ils, qu'a le bus de ne pas arriver de la sorte et si le bus a 5 mn de retard ces 5 mn paraissent une heure à ces gens là. C'est parce qu'uils savent, ont conscience, que la situation ne peut pas durer indéfiniment qu'ils finissent pasr ne plus penser qu'à cela(cf le lien avec la conscience de lamort que les animaux n'ont pas mais que l'être humain a) qu'ils angoissent et trouvent le temps long. Même chose l'angoisse de la mort de na pas savoir comment cela va finir mlais de savoir que cela va finir, ce que les animaux ne peuvent voir sauf dans des situations d'ecxtrêmes urgence ou quand la vache débarque à l'abattoir et sent, perçoit l'angoisse de la mort imminente. Donc quan dl'heure dite approche et que je m'emmerde énormément quelle cata sa sera de savoir que cela va finir mais de ne pas savoir comment cela va finir
Mais si je suis affairé peut être sans rien faire et il y a des gens comme scela qui sont affairés sans rien faire, mon cerveau est préoccupé par tout un tas de choses autres que de se préoccuper deu temps qui passe donc le temps qui passe, passe au second eplan dans l'ordre des priorités du cerveau donc il "passe", subjectivement, plus vite !
Et si je suis un chemin habituel, connu de longue date par mon cerveau alors la encore la préoccupation du chemin et donc de sa durée quand le l'empreinte, passe au second plan dans l'ordre des priorités donc, subjectivement, la durée semble plus courte.
Donc et j'en aurai sfini sur ce sujet pour ma pomme que les modérateurs se rassurent
bonne journée
Les modérateurs n'étant en rien rassurés, et les digressions et théories personnelles persistant malgré la mise en garde, ce fil est clos.
