La motivation au départ est toujours la même je suppose, l'attrait pour le métier.
Difficile de répondre à la question de savoir à quoi ressemble le terrain, tout dépend du type d'exercice.
Ce qui est sûr, c'est que le résultat final n'est jamais ou très rarement en accord avec ce à quoi on s'attend au départ. C'est un métier qui présente suffisamment de facettes différentes, à mon avis, pour que chacun y trouve son compte selon ses inclinations, ses centres d'intérêt plus spécifiques, mais qui est toujours psychologiquement difficile. Faut le savoir. Les études le sont déjà, l'exercice en tant que praticien l'est encore plus. Et ça c'est quelque chose qu'on ne réalise vraiment que quand on a mis les mains dans le cambouis.
Mais je n'en changerais pas pour autant.
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