il me semble que ce n'est pas exactement ça
ton message est un peu en dehors des clous .
il a laché semble t-il au cours de la première année.
pour des raisons personnelles.
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il me semble que ce n'est pas exactement ça
ton message est un peu en dehors des clous .
il a laché semble t-il au cours de la première année.
pour des raisons personnelles.
ansset
Si j'ai mal interprété votre propos, je vous prie de m'en excuser. C'est le reflet de ce que j'avais traduit de votre premier message.
J'assume ouvertement le fait de "cracher dans la soupe". Chacun se fait sa propre opinion, encore une fois.
van_fanel
J'ai mentionné l'ENS en effet. Mais je ne m'y suis pourtant jamais intéressé.
Je m'étais inscrit au concours de l'ENS de Cachan car le concours était exactement le même que celui de l'X (sans aucune épreuve supplémentaire contrairement à Ulm et Lyon).
Aujourd'hui, je pense être nettement en deça du niveau "raisonnablement requis" pour suivre à peu près intelligemment les cours de l'ENS (et ce dans l'ensemble des disciplines scientifiques).
Pour être exact, je ne suis pas sur Paris. Je suis originaire de la région PACA, près d'Avignon. Et a priori, je n'envisage pas de remonter à Paris, du fait notamment des contraintes budgétaires (la vie étudiante y revient nettement plus cher qu'à Avignon) et comme j'ai fait une croix sur les nombreux avantages des Mines (à commencer par leur logement), la donne n'est plus la même.
Bref : dans le Sud, il y a légèrement moins de choix, mais je pense que si je cherche bien, et que je trouve enfin le plus importante (la profonde motivation !!!), je devrais bien trouver chaussure à mon pied.
Enfin, je suis content de savoir que je ne suis pas le premier à quitter les Mines sans le diplôme Ingénieur Civil des Mines.
Je serais ravi d'avoir l'occasion un jour de rencontrer quelqu'un qui a fait le même choix.
frany59
La L3 maths est en effet la première idée qui m'est venu logiquement. Cependant...et là, c'est peut-être très personnel...je ne suis pas aussi sûr de ma "réussite" que vous ne le dites car il s'avère qu'au cours de ma première année aux Mines j'ai eu (évidemment) des cours de mathématiques (Calcul Différentiel, Calcul Intégral, Probabilités) auxquels je n'ai...peu ou prou...rien compris. Et c'est encore peu de le dire.
En sup' (PCSI) pourtant, les maths n'étaient pas ma bête noire. épreuves discriminantes à la sauce Polytechnique me laissaient perplexe.
Les choses se sont compliquées en spé' (PC*), où le rythme de classe étoile était assez écrasant, et les formidables subtilités des concours.
Ceci étant, je comprenais "assez bien" les concepts, et je pense que, sans la surcharge de travail annexe, j'aurais peut-être pu être plus à l'aise (en math, j'entends).
Mais voilà, passées les Mines, tout s'est effondré. Je dois aussi cela aux "raisons personnelles" que je n'évoque pas. Car de manière générale, vous avez tout à fait raison : aucune raison d'échouer en L3 Maths après avoir "réussi" une Maths sup/Maths spé. Le problème c'est que mes échecs aux Mines ont été aussi la conséquence de pléthore de facteurs. Difficile de là d'en pondre un axiome sur mes lacunes en maths.
J'aurais aimé recueillir ici des paroles d'universitaires étant passé par une L3 Maths, pour qu'ils me parlent de leur expérience concrète dans
cette filière. Car bon, quand même, jusqu'à Bac+1 bien pesé, je trouvais cette matière plutôt (très) sympa...
Enfin, je sens que j'ai, quoi qu'il en soit, un profil plutôt scientifique mais j'ai des capacités d'abstraction limitées...on me dira peut-être que la physique, c'est beaucoup moins abstrait que les maths pures. Seulement...parlez moi de physique quantique, et je chavire...Et comme la physique quantique n'est, non pas une branche, mais rien de moins que le socle de la physique...
Dernière modification par Rizmoth ; 09/02/2015 à 23h54.
Bonjour,
Le problème, en effet, c'est que quand tu rentres directement en L3, c'est forcément plus réducteur, il faut faire un choix, maths, physique, SI,..., sans être passé par la L1, qui est plus générale et où tu peux t'apercevoir que telle ou telle matière qui te plaisait au lycée ne te convient pas du tout. Renseigne-toi bien des contenus des programmes que tu peux trouver sur internet, vas aussi aux portes ouvertes qui ont lieu en ce moment pour discuter avec des professeurs et des étudiants. En L3 maths, tu as aussi des variantes PE ou bio, qui modifient un peu les enjeux. Je pense qu'il est peut-être temps pour toi de savoir aussi ce que tu veux faire plus tard, et en attendant essaie déjà de valider une licence.
non, c'est plutôt moi qui ait utilisé une expression trop dure.
pour l'essentiel, je rejoins frany.
cela ressemble plus à une histoire de motivation que de capacité.
quand on est admis dans ce type d'école, les cours demandent beaucoup moins d'efforts que le travail pour y entrer.
Il y a une chose que tu n'as pas précisé, c'est la date.
as tu laché l'année dernière, c-a-d il y a qcq mois, ou bien as tu pris une année "sabbatique" entre temps ?
Quand à la L3, il faut effectivement déjà choisir une spécialité ( donc retour à la question de la "motivation" )
courage, et ne prend pas mal ce que j'ai probablement mal exprimé.
cordialement.
Je suis désolé, encore une fois, à titre individuel, je me permets de nuancer.cela ressemble plus à une histoire de motivation que de capacité.
quand on est admis dans ce type d'école, les cours demandent beaucoup moins d'efforts que le travail pour y entrer.
Il est vrai, certes, que quand on passe de la prépa à une grande école, il y a un changement de rythme, de charge de travail, et d'exigences.
Il est également vrai que les cours demandent, en général, moins d'effort, mais attention.
Il faut bien voir que les Mines, c'est une école d'ingénieur "généraliste". L'idée là-bas, c'est qu'il y a à boire et à manger. Les enseignements sont extraordinairement nombreux, et souvent, ils sont dispensés sur une période très courte dans le temps. Si courte qu'en fait on ne fait que survoler, qu'effleure la discipline abordée. Et ça, ce n'est pas moi qui le dit, mais les professeurs eux-mêmes qui le défendent.
Exemple canonique : La physique Quantique est un enseignement de 1ère année qui dure une quinzaine d'heures tout au plus, complété de 5 séances de Petites Classes, correspondant à la réalisation de 5 exercices-types. C'est tout.
Et il en est ainsi pour les 139 autres enseignements (tronc commun + enseignements au choix), tout au long des 3 années.
Qu'en est-il des exigences ? Evidemment, on ne demande pas aux étudiants une grande maîtrise des concepts. Quand bien même, maîtriser la totalité d'un cours qui n'est que le reflet très partiel d'une discipline, ce n'est jamais que maîtriser très partiellement la discipline en question.
A ce sujet (j'ouvre une parenthèse), il est fort dommage de voir tant d'étudiants croire à l'inverse qu'ils ont de grandes connaissances sur des champs qu'ils effleurent du bout de l'index. Un camarade de ma promotion a publié son CV en ligne*, sur lequel il affirme avoir des POURCENTAGES de maîtrise : ainsi, il connait les maths à 80%, la physique à 85%, la programmation Web à 95%...un tel cas isolé de narcissisme extrême prête à rire, il n'empêche que ce petit rigolo s'apprête à embrasser une belle carrière. Grand bien lui en fasse, si les employeurs ne sont pas trop regardants sur l'absurdité intrinsèque d'une telle attitude (80% des maths, Oh ! ça équivaut à combien de Médailles Fields ???)
Je ne veux pas ici faire de généralités. Une majorité des étudiants a quand même suffisamment d'esprit critique pour faire la part des choses. Certains ont même l'impression qu'on les condamne à "demeurer nuls en tout" (citation d'un numéro du journal de l'école), et cela les gêne particulièrement...Je referme la parenthèse.
Pour en revenir aux exigences, on va pas se mentir : elles sont très basses. Si j'osais, je vous dirais qu'il est quasiment IMPOSSIBLE de ne pas valider une année aux Mines. En tout cas la première, car après, les stages entrent en jeu, et ce n'est plus du seul bon-vouloir de l'école, en définitive...
Ainsi, les notes sont gonflées, surgonflées, sur-lissées, et ne reflètent...rien. Ou presque.
J'ai réussi à obtenir des B dans des matières desquelles je n'avais compris...
J'ai validé les enseignements de mathématiques, y compris celui de Calcul Intégral, alors que je suis proprement incapable de vous expliquer ce qu'est l'Intégrale de Lebesgue. Et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres.
Alors voilà, c'est pourquoi je nuance. "Valider" demande "peu" d'effort. "Suivre" réellement les cours, c'est quand même une autre paire de manche, dès lors qu'on veut se fixer des objectifs légèrement plus ambitieux que la simple acquisition de crédits ECTS sonnant très creux...
D'accord, mais j'ai quand même fait une prépa PCSI-PC, très chargée en maths, physique, chimie, et sciences de l'ingénieur (que j'ai décidé cependant d'arrêter au S1 lorsque j'ai choisi l'option "Chimie", conduisant à la PC)Le problème, en effet, c'est que quand tu rentres directement en L3, c'est forcément plus réducteur, il faut faire un choix, maths, physique, SI,..., sans être passé par la L1, qui est plus générale et où tu peux t'apercevoir que telle ou telle matière qui te plaisait au lycée ne te convient pas du tout
Quelle est la différence, du coup ?
Pour être vraiment précis :Il y a une chose que tu n'as pas précisé, c'est la date.
as tu laché l'année dernière, c-a-d il y a qcq mois, ou bien as tu pris une année "sabbatique" entre temps ?
Quand à la L3, il faut effectivement déjà choisir une spécialité ( donc retour à la question de la "motivation" )
- J'ai terminé l'année dernière en Juillet 2014, mais à la fois pour des raisons "médicales" et par la négligence de certains intervenants, je n'ai pas pu valider 2 enseignements. C'est pourquoi mes crédits de l'année 2014-2015 sont incomplets (57/60)
- Je ne suis pas revenu physiquement à l'école en Septembre 2014. L'adminstration m'a placé en semestre sabbatique.
- Malgré de très longues discussions (et devrais-je dire, en partie à cause de ces dites-discussions), j'ai refusé de reprendre le cursus (même adapté à mon cas particulier) en Février 2015.
Je suis donc, actuellement, en année sabbatique. Mais je ne suis pas encore officiellement désinscrit de l'école (c'est l'affaire d'un mail en cours de rédaction....)
*Je ne mens pas, je donne l'adresse web à qui sera éventuellement intéressé.
je connais une autre école généraliste équivalente.
ta description générale me semble bien amère.
Cdt.
Décidemment, j'aimerais bien savoir ce qu'il y a de foncièrement mal à ne pas se retrouver dans une telle philosophie d'enseignement.
Si le problème c'est de se conformer à un certaine mode de pensée, alors oui effectivement, on peut dire que je n'entre pas certaines cases. Et que je suis amer.
Cordialement.
mais je n'ai pas utilisé les mots "bien" ou "mal".
juste dis que je te trouvais bien amère....
et de là à dire qu'on est "formatés" , faut pas exagérer , ce n'est ni l'X, ni l'ENA ! par exemple.
Personnellement, je comprends tout à fait qu'on puisse ne pas se retrouver dans les valeurs d'une école ou d'un mode de formation.
Et votre analse montre ue vous n'avez pas agi à la légère.
Ceci dit, je trouve dommage d'interrompre ses études sans avoir réfléchi à une autre issue, à une solution de repli.
Vous ne savez pas à l'heure actuelle (si j'ai bien compris) ce à quoi vous aspirez professionnellement et personnellement.
Vous ne savez pas si un secteur professionnel vous attire plus qu'un autre, si vous voulez plus vous engager dans le domaine de l'environnement, des nouvelles technologies, du social ...
Vous ne savez pas si vous vous épanouirez plus dans un métier où vous aiderez les autres ou dans un métier où vous inventerez de nouveaux ordi, où vous créerez et imaginerez des objets , ou encore dans la commercialisation de produits x ou y...
Dans de telles conditions, ne serait-il pas préférable de reprendre le chemin de l'école, en essayant d'en tirer le meilleur.
Partir un semestre à l'étranger par exemple (j'imagine qu'une telle école a des partenariats) ou aller faire des stages dans le monde du travail, vous investir dans des associations.
Tout en profitant de ce temps pour murir et affiner votre projet.
Une fois votre projet défini, vous pourrez alors poursuivre vos études ou quitter cette école sans regrets et en étant sûr de vos choix.
Là, j'ai l'impression que vous faites un grand saut dans le vide.
A titre personnel et par expérience, je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure idée.
Dernière modification par vep ; 10/02/2015 à 15h48.
je ne souhaites pas te froisser.
mais quand tu vois tous les profils et carrières de gens qui ont fait les mines ou centrale par exemple.
il est difficile de parler de "formatage".
si je ne pense qu'à celle que je connais.
quel "formatage" entre Blériot, B Vian, De Marjorie, Antoine, E Klein et j'en passe.....
Une forte impression de déjà-vu : j'ai fait face nombre de fois au même argument. Il ne m'a jamais convaincu, et je pense qu'il est de bon ton d'expliquer pourquoi.
De Marjorie ? J'imagine que tu veux parler plutôt de De Margerie, le regretté patron de Total. Un PDG du CAC40 d'une humanité et d'une intégrité suffisamment remarquables pour être soulignées, et telles qu'il en était adulé presque unanimement par ses employés (jusqu'à ses n-12...).
Ce qui m'étonne, c'est que c'est le seul exemple que tu prends qui n'a aucun rapport avec Centrale Paris...ni même avec une autre école d'ingénieur. Curieux, non ?
Christophe de Margerie (1951 - 2014), diplômé ESCP Europe (1974) : patron du CAC40 comme on en voit rarement.
Louis Blériot (1872-1936), diplômé de Centrale (1895) : pilote pionnier de l'aviation française
Boris Vian (1920-1959), le "touche-à-tout" par excellence, on oublie parfois qu'à la base, l'auteur de l'Ecume des Jours et de Monsieur le Président était un ingénieur.
Antoine (1944), diplômé de Centrale Paris (1966) : chanteur français, presque aussi célèbre pour ses pubs sur les lunettes que pour ses chansons.
Etienne Klein (1958), diplômé de Centrale Paris (1942) : directeur de recherche au CEA...et philosophe en dehors des heures de bureau.
Certes, voilà bien des parcours très différents, ayant tous pour point commun l'obtention d'un diplôme de grande école qui pour certains n'aura rien déterminé par la suite.
Mais entendons-nous bien.
Tu viens d'énumérer 4 noms de diplômés de Centrale Paris, qui ont décroché le sésame entre 1895 et 1966.
Tu as l'air de très bien connaître Centrale Paris. Soit, dans ce cas, tu sais mieux que moi qu'aujourd'hui, c'est plusieurs centaines d'élèves que forme chaque année l'ECP.
Alors, combien d'éminences grises sont sorties, diplôme sous le bras, depuis 1895 ? 5000 ? 10000 ? 20000 ?
Ces 4 noms, qu'est ce que ça représente donc...allez, 0.05 % des anciens élèves, tout au plus. Donc quand tu dis "Et j'en passe", je veux oui : Tu en passes beaucoup. Libre à toi de poursuivre la liste, mais ça va rapidement devenir fastidieux.
Je vais être franc. J'ai passé des centaines d'heures à débattre avec les têtes bien faites de Tres Grandes Ecoles. J'y ai perdu un certain nombre d'amis (qui n'en étaient peut-être pas vraiment remarque). Mais aujourd'hui encore, je ne prétends pas détenir toute la vérité. Loin s'en faut ! Et tu sais, je suis même prêt à entendre que j'ai complètement tort sur toute la ligne (comme ce qu'a tenté de me prouver par A+B le directeur des études de MINES Paristech).
Mais je trouve que le fait de lister de manière disparate des noms célèbres ne pèse, en soi, pas bien lourd...
Le plus marrant dans tout ça, c'est que je suis venu ici quérir des conseils sans afficher mes positions, et que bientôt on va en arriver à me livrer un procès d'intention pour celles-ci. Désolé de si mal interpréter.
Dernière modification par Rizmoth ; 10/02/2015 à 19h11.
Salut tu es jeune,
il faut voir si au fond tu ne préfères pas la technique et une spécialité auquel cas il n'est pas trop tard.
A+
ton mess #42 est bien étrange.
je peux te citer aussi ceux de ma promo .
quand à Etienne je l'ai surtout croisé sur les cours de tennis, ou au billard.
( il était en sorti de l'école et moi en entrée ).
bon, tu m'as l'air bien énervé, donc je stop là !
Je pense qu'il faut se tourner vers le futur; ta décision a été mûrement réfléchie.
J'ai un parcours universitaire, j'ai connu un supaero qui a passé l'agreg de maths à la sortie de l'ecole; il y a plein de cas.
De plus tu as réussi le concours, c'est bien il faut positiver. Il n'y a aucune raison que tu ne valides pas un master. Il y a encore plein de possibilités.
Tu peux envisager des études d'informatique, on va avoir besoin de gens de plus en plus compétents en informatique; il y a plein de solutions.
Maths, je ne te conseille pas trop (sauf si tu veux enseigner), j'ai fait des études de maths (capes + agreg + master) et mes copains qui ne sont pas enseignants ont eu énormément de mal à trouver une solution. Maths applis, certains ont connu l'interim puis se sont découragés et ont passé le capes; où d'autres travaillent certes mais sans rapport aver les maths. Si c'était à refaire je ferai soit informatique, soit une spécialité (automatique, robotique, etc ...)
A+
Bonjour betman2014,
Je ne parviens pas à me rassurer par la réussite de mes concours de 2013. Mais tu as peut-être raison : j'ai des chances de valider un master. Une licence serait déjà fort bien pour commencer.Je pense qu'il faut se tourner vers le futur; ta décision a été mûrement réfléchie.
J'ai un parcours universitaire, j'ai connu un supaero qui a passé l'agreg de maths à la sortie de l'ecole; il y a plein de cas.
De plus tu as réussi le concours, c'est bien il faut positiver. Il n'y a aucune raison que tu ne valides pas un master. Il y a encore plein de possibilités.
Tu peux envisager des études d'informatique, on va avoir besoin de gens de plus en plus compétents en informatique; il y a plein de solutions.
Maths, je ne te conseille pas trop (sauf si tu veux enseigner), j'ai fait des études de maths (capes + agreg + master) et mes copains qui ne sont pas enseignants ont eu énormément de mal à trouver une solution. Maths applis, certains ont connu l'interim puis se sont découragés et ont passé le capes; où d'autres travaillent certes mais sans rapport aver les maths. Si c'était à refaire je ferai soit informatique, soit une spécialité (automatique, robotique, etc ...)
J'ai pensé vaguement à l'informatique...Ou à la licence math-info. Cependant, il me semble plus difficile de faire valoir mes ECTS en info, car je risque d'avoir pas mal de lacunes en L3.
Justement, si je me lance dans les maths, c'est à priori plutôt dans une démarche tournée vers l'enseignement.
Merci pour ta réponse.
ansset...
Merci de m'en mettre plein la vue.ton mess #42 est bien étrange.
je peux te citer aussi ceux de ma promo .
quand à Etienne je l'ai surtout croisé sur les cours de tennis, ou au billard.
( il était en sorti de l'école et moi en entrée ).
bon, tu m'as l'air bien énervé, donc je stop là !
Alors non seulement, tu viens sur mon sujet pour mettre ta glisser ta petite tique, comme si tu t'étais senti rempli d'une mission de défense des grandes écoles. Dois-je une n-ième fois te rappeler que je suis venu ici pour parler de ma ré-orientation ? Pourquoi venir remettre en cause gratuitement une décision purement personnelle ?
Tout ce que tu réussis à dire c'est que "J'interprète mal", que mes messages sont "bien étranges" ou "bizarres". Tes affirmations sont péremptoires et injustifiées. Ce serait vraiment trop te demander de développer un tant soit peu tes propos.
Non, je me casse le postérieur à donner des arguments pour éviter au maximum de froisser ou de paraître diffamant, pour éviter au maximum que l'on interprète mal mes propos. Quant à toi, tu te contentes de répondre quelques lignes, par ci par là. Sans rien à l'intérieur. Des réponses creuses, qu'évidemment, j'interprète systématiquement à l'envers. Désolé, j'ai quitté les Mines au bout de la première année, je n'ai pas eu le temps de devenir intelligent.
Au passage, je suis ravi que tu connaisses personnellement Etienne Klein. Mais qui ça peut intéresser ici ? Franchement ? Hors de propos, mais merci quand même pour l'information. Tu es classé combien au tennis. Non, je plaisante, je m'en fiche...
"Tu m'as l'air bien enervé". J'ai pourtant essayé de te répondre avec calme jusqu'ici, et tu accumules une nouvelle tique gratuite. C'est proprement inutile.
"Je stop là !". Très bien, tant mieux, ce débat avec toi était de toute façon stérile. Merci pour ton mépris et au plaisir !
Dernière modification par Rizmoth ; 10/02/2015 à 20h35.
Je conseille un cursus en maths appliquées. Pour trouver sa voie, ça ne vaut pas le cursus que tu as quitté, avec sa foule de disciplines effleurées, mais ça permet de "naviguer" au milieu d'à peu près toutes les sciences, et ça se valorise bien si tu veux te réorienter dans une autre discipline scientifique.
@Rizmoth.
ton résumé de mes propos est erroné.
le point que tu soulevais était :
"pas envie d'être formaté".
et la dessus , je suis désolé, mais les écoles dont tu parles ne "formatent" pas.
c'est la raison pour laquelle j'a cité de nombreux exemple de personnes très diverses dans leur parcours.
( E Klen est anecdotique la dedans )
là ou je ne suis pas d'accord, c'est que tu en fais la "raison" de ta "fuite".
cela ne te plait pas, j'en conviens, car il est plus facile de dire que la faute du "système".
mais en l'occurence, il ne faut pas exagérer.
j'ai approuvé les propos précédents qui appuyaient sur le fait que c'était TON choix, maintenant.
Et j'ai passé l'age de donner des bons ou des mauvais points....
La question du formatage est anecdotique, telle que soulevée par Rizmoth. Et puis pour les "nombreux" exemples, on repassera ( il y a des profils atypiques dans TOUTES les formations de tous horizons ).
J'ai surtout relevé le rejet d'une sorte de "système de valeur". Il ne sert à rien d'épiloguer sur son choix, tant il a été pesé ( et pesé avec lucidité, malgré tout ).
Je n'ai rien à conseiller, tant le cheminement de l'accomplissement personnel est une voie unique. Surtout s'adressant à quelqu'un qui est aux antipodes du mouton de Panurge que nous lisons souvent sur ce forum ( "Je veux être ingénieur" sans savoir de quoi il retourne sur un quelconque aspect - mis à part les brillants éclats renvoyés par une certaine vision sociétale ).
Bonne introspection, et bon courage.
ouai.... plus ou moins.
par contre je suis désolé si mes propos ont pu paraitre méprisants.
car ce n'était pas le point.
je suis simplement un fervent défenseur de ce modèle français de formation des ingénieurs, qui ensuite exercent des métiers très différents.
( ce n'est pas le cas de l'ENA , pour ne citer qu'elle )
la possibilité d'accès à une formation de bon niveau et quasi gratuite est très rare dans le monde.
s'inscrire dans grande université américaine coûte une fortune.
cordialement.
Salut Rizmoth,
difficile d'appréhender pleinement la situation personnelle de quelqu'un d'autre, qui plus est sur la base d'informations très parcellaires. Je te livre cependant mon ressenti personnel.
Les mines t'ouvrant (a priori) les portes d'à peu près n'importe-quel master, il me paraît être une possibilité logique de continuer ton cursus d'ingénieur tout en réfléchissant à ce que tu veux vraiment faire. Sachant que deux ans d'études, cela passe très vite. Et après:Envoyé par RizmothSincèrement, il n'y a pas de licence qui me transporte réellement.
- Au mieux tu auras trouvé ta voie et ton cursus te permettra d'accéder aux formations requises (que cela soit un CAP plomberie, un master en enseignement ou un master en études arctiques),
- Au pire tu auras un diplôme te permettant d'accéder à un emploi qualifié (même si ne correspondant pas exactement à tes aspirations). Et ça c'est déjà quelque-chose d'énorme. J'ai connu une période de précarité, je ne dis vraiment pas cela en l'air.
Et peut-être peux tu faire pour un temps un échange avec une université étrangère pour voir autre chose que ton école si celle-ci ne te plaît pas? Peut-être peux tu dès la dernière année bifurquer vers une spécialité différente dans un établissement partenaire ou autre?
Concernant les doutes que tu exprimes concernant tes aptitudes à suivre un cursus (si je comprends bien): tu as réussi ta prépa, donc tu sais assimiler du savoir scientifique, il n'y a pas de raisons que tu ne puisse pas valider un master ou équivalent. Quand je parle de valider, je parle de réussir des examens, pas d'avoir cerné la quintessence des enseignements. Rarissimes (si même ils existent) sont les gens qui maîtrisent toutes les subtilités d'un champ de connaissance scientifique en trois mois de cours. Tu parles à un moment de mécanique quantique: je te rassure, personne ne la comprend (citation de Richard Feynman). Il m'a fallu personnellement des années de réflexion quasi quotidienne pour avoir l'impression de commencer à me sentir à l'aise avec les bases les plus basiques de la méca Q. Et si ce que j'ai appris en cours m'a servi, ce sont surtout les informations que j'ai trouvées par ailleurs par moi-même qui m'ont été utiles. Le recul vient avec le temps et la persévérence, et cela est vrai pour tout le monde.
Bon courage
Dernière modification par Vladzol ; 11/02/2015 à 11h39.
Ca me rappel un stagiaire des mines qu'on a eut et qui en faite n'avait jamais ete diplome et on ne sait pas ce qu'il est devenu... je ne sais pas quel est le taux d'abandon dans les ecoles post-prepa. Mais ca ne m'etonne pas.
Il y avait eut deux cas de suicide les annees ou j'ai ete dans mon ecole ... sur trois ans.
J'ai aussi ete decu par l'ambiance de mon ecole la premiere annee, je viens d'une prepa de province, d'un milieu "normal", le 1/3 de mon ecole venait des prepas parisiennes et versaillaises.
J'ai choisis l'ecole - meme sur Centrale - car contrairement a toi je n'ai pas eut les Mines qui etait ma cible - car je pensais suivre une voie qui me passionnait et je me suis retrouve avec pour la moitie de la classe des bon-chic bons genre, qui en avaient rien a faire de ce qu'on etudiait et qui etaient la parcequ'ils n'ont pas eut une des trois generalistes.
Mais bon j'ai continue, je suis parti a l'etranger, j'ai fais mon cercle d'amis car il y a quand meme des gens sympas et passionnes, et meme en dehors de l'ecole ( les mines c'est quand meme bien situe pour cela ) et 10 ans apres je suis tres satisfait des portes que m'a ouvert le diplome, j'ai fais ce que je veux de ma carriere, le reste c'est du souvenir lointain. Bref c'est juste 3 ans a passer .... c'est comme la prepa, une fois sorti on en oublie vite.
On a du mal se comprendre, car je n'ai justement pas choisi les mines, mais centrale.
parce que ( à tort ou à raison ) l'ambiance, les activités et le campus ( taille et situation ) semblaient bien plus cool.
et qu'en plus c'était à coté de chez moi, donc avec aussi l'avantage très pragmatique de poursuivre mes activités extra-scolaire ( sport en particulier , et anciens amis )
ps : je ne comprend pas le terme ( -même sur Centrale - )
cordialement.
J'ai mis mines en premier voeux, c'etait l'ecole qui me faisait rever, puis j'avais Telecom et Supaero dans mes voeux, suivi de Centrale et Ponts pour la forme, et apres Supelec sans aucune conviction. Finalement, je me suis completement foire a l'oral et je n'ai pas eut les Mines. Et je suis alle a une ecole specialiste et non a Centrale.On a du mal se comprendre, car je n'ai justement pas choisi les mines, mais centrale.
parce que ( à tort ou à raison ) l'ambiance, les activités et le campus ( taille et situation ) semblaient bien plus cool.
et qu'en plus c'était à coté de chez moi, donc avec aussi l'avantage très pragmatique de poursuivre mes activités extra-scolaire ( sport en particulier , et anciens amis )
ps : je ne comprend pas le terme ( -même sur Centrale - )
cordialement.
A tord ou a raison, ni Centrale, ni Supelec ne me faisaient rever, je preferai les petites promos, et le cote recherche/concours un poil plus difficile/eliste/ecole d'application de l'X des ecoles du concours des mines. A l'epoque je trouvais que Centrale etait rempli de glandeurs et que c'etait trop "manager" l'enseignement, bref les memes raisons pour lesquelles certains preferent Centrale, moi j'aimais pas.
De plus je savais exactement ce que je voulais faire ( traitement du signal et certaines specialites en informatique ) et centrale n'offrait pas un large eventail de choix dans le domaine. J'ai etudie ce que j'aimais a l'ecole d'ingenieur et j'en suis content.
J'avais 19 ans quand j'ai passe les concours, on pense toujours avoir raison a cet age. Mais deja a mon epoque la plupart des gens prenaient les Mines sur Centrale et Supaero/Ponts/Telecom sur Supelec pour les memes raisons. Mais oui, choisir Ponts/Telecom sur Centrale justifie deja moins. Meme si dans ma promo il y avait d'autres gens qui avaient refuse centrale. C'est pas comme maintenant ou la plupart des eleves de prepa classent les ecoles surtout par "prestige" et ne savent pas du tout ce qu'ils veulent faire.
A posteriori j'aurai peut etre choisi Centrale cependant, c'est quand meme un poil mieux en finance.
Dans mon esprit elitiste de mes 19 ans je trouvais justement Centrale un peu trop "cool" niveau ambiance et que les gens allaient un peu trop dans des jobs hors recherche/R&D, mais a posteriori, c'est super bete venant d'un type comme moi qui bosse maintenant en finance.
On devient moins passionne et plus pragmantique en vieillissant
ben, ce qui est drole à postériori c'est les critères de choix.Dans mon esprit elitiste de mes 19 ans je trouvais justement Centrale un peu trop "cool" niveau ambiance et que les gens allaient un peu trop dans des jobs hors recherche/R&D, mais a posteriori, c'est super bete venant d'un type comme moi qui bosse maintenant en finance.
On devient moins passionne et plus pragmantique en vieillissant
vrai que c'était une école très cool, d'ou mon choix ( jamais été un acharné du boulot ) mais d'y entrer n'était pas plus facile qu'aux mines.
d'ailleurs dans le concours commun, il y avait justement dans l'odre.
Centrale
Supelec
Suparéro
Centalre Lyon
etc.
et de même pour les mines
Mines puis
les Ponts ( me souvient plus des autres )
je serais très surpris si aujourd'hui , il était plus difficile de rentrer à Supaéro qu'à Centrale par exemple.
mais je parle peut être d'un autre temps.
ps : il y a ( puisque tu en parles ) 400 chercheurs à Centrale aujourd'hui.
je continue éventuellement par MP, car je ne veux pas polluer le fil du primo-posteur.
ce que je viens malheureusement de faire.
Cdt
C'est une question de mode les classesments. Les groupes d'ecole ont pas change depuis 50-100 ans. Mais a l'interieur, il y a des effets de mode. Dans les annees 90 supaero etait largement devant les Ponts -l'aeronautique avait le vent en pompe - , quand j'ai integre Telecom, il etait plus difficile d'y entrer que les Ponts egalement - bulle internet .... - mais les Ponts sont revenus de loin depuis que la finance est devenue a la mode.