La théorie nous dit que : " l'énergie du photon ne dépend que de la longueur d'onde". Un simple seau remplit d'eau, et dans lequel nous trempons le bout d'un bâton coloré, nous démontre qu'il n'en est rien!
La "courbure" du bâton que nous observons est sans équivoque. Elle confirme bien les effets dus au coefficient de réfraction responsable de la variation de la célérité de l'onde électromagnétique dans l'eau. Mais nous constatons aussi, que les deux parties du bâton, aérienne et immergé, éclairés par la même lumière, reflètent, sans aucune altération les couleurs du bâton confirment ainsi, les invariabilités des fonctions de temps fréquence et énergie d'une onde électromagnétique et cela, quel que soit le milieu où elle se trouve. De plus et malgré la chute de la célérité de l'onde dans l'eau, la nouvelle onde issue de la réflexion du rayon incident née (puis que dans l'eau) raccourcie. Malgré cela, cette onde possède les mêmes caractéristiques de temps de fréquence et d'énergie que celle du rayon réfléchit.
On remarque donc, que le vecteur qui détermine l'énergie de l'onde électromagnétique n'est pas une longueur, (cette dernière s'adapte aux différents milieux) mais un temps. Un temps qui est avec fréquences les deux variables qui différencient chacune des ondes électromagnétiques. Donc, tant pis si je me répète, calculer une énergie à partir d'un grain du même nom multiplié par une fréquence est, sauf à démontrer clairement le contraire, une aberration. Même si les résultats ainsi obtenus sont satisfaisants, tous calculs d'énergies supposent nécessairement un temps, une durée! Hors le nombre de périodes qui déterminent une fréquence ne peuvent, d'aucune manière, être assimilées comme dans la formule de Planck à quelques durées que ce soit. Cela équivaudrait à essayer de mesurer la capacité de mon seau (ci-dessus) en fonction du nombre de personnes ayant participés à sa fabrication.
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