Donc nous sommes d'accord
Ça répond parfaitement à ma question. Merci !non. Mais on sait aussi que la formation d'un trou noir est inévitable dans certaines conditions bien définies (cf théorèmes de Penrose et Hawking) et aussi que plus un objet est compact, plus il est difficile de trouver une équation d'état le décrivant qui soit stable et ne mène pas à un trou noir par effondrement gravitationnel...
Quelque chose me chiffonne là-dedans. À moins que je ne me trompe, la rayonnement de Hawking se produit après la formation d'un horizon. Comment un observateur asymptotique (c'est-à-dire nous) pourrait-il observer un rayonnement de Hawking, car ceci serait synonyme de détection par l'observateur d'un horizon déjà formé, ce qui mènerait à une contradiction. À moins que ce rayonnement puisse se produire avant l'apparition de l'horizon ?
en fait il est difficile de localiser le rayonnement en ce sens où c'est un truc obtenu par un calcul sur tout l'espace-temps [l'histoire des fluctuations du vide c'est une interprétation en termes de particules d'un truc qui se fait avec une transformation de Bogoliubov sur les champs]...
par ailleurs, l'horizon est lui aussi un truc global et les coordonnées de S sont imparfaites pour le décrire, ce qui implique qu'il est vu à l'infini temporel uniquement [pour rappel le temps est relatif ]... pour te donner une analogie, essaie de décrire les propriétés du Pôle Nord avec une carte terrestre usuelle où celui-ci est étalé sur toute la largeur...
l'idée du calcul c'est : on envoie un signal (qui a la particularité d'être le signal nul : champ sans particules) à l'infini passé (enfin, pas l'infini spatial ni l'infini temporel mais une compilation des deux, cf ce qu'on fait quand on introduit un "temps retardé ou avancé") et on observe ce qui ressort à l'infini futur (au sens du "temps avancé")...Comment un observateur asymptotique (c'est-à-dire nous) pourrait-il observer un rayonnement de Hawking, car ceci serait synonyme de détection par l'observateur d'un horizon déjà formé, ce qui mènerait à une contradiction. À moins que ce rayonnement puisse se produire avant l'apparition de l'horizon ?
La théorie quantique des champs est construite sur un espace-temps plat. Comment justifier l'utilisation d'un tel formalisme pour étudier ce qui se passe dans le voisinage d'une courbure spatio-temporelle extrême et, en plus, dans un univers en expansion ?en fait il est difficile de localiser le rayonnement en ce sens où c'est un truc obtenu par un calcul sur tout l'espace-temps [l'histoire des fluctuations du vide c'est une interprétation en termes de particules d'un truc qui se fait avec une transformation de Bogoliubov sur les champs]...
par ailleurs, l'horizon est lui aussi un truc global et les coordonnées de S sont imparfaites pour le décrire, ce qui implique qu'il est vu à l'infini temporel uniquement...
...l'idée du calcul c'est : on envoie un signal (qui a la particularité d'être le signal nul : champ sans particules) à l'infini passé (enfin, pas l'infini spatial ni l'infini temporel mais une compilation des deux, cf ce qu'on fait quand on introduit un "temps retardé ou avancé") et on observe ce qui ressort à l'infini futur (au sens du "temps avancé")...
dans sa formulation usuelle...
en changeant complètement l'approche... pas trivial, mais nécessaire :Comment justifier l'utilisation d'un tel formalisme pour étudier ce qui se passe dans le voisinage d'une courbure spatio-temporelle extrême et, en plus, dans un univers en expansion ?
The History and Present Status of Quantum Field Theory in Curved Spacetime : un état des lieux récents du sujet par l'un des experts...
Le soleil est proche d'un corps noir. Il n'a rien d'un trou noir, il est trop peu massif.
C'est un article de 2007, dépassé depuis longtemps.
Tu vas réveiller tous les threads de plus de 10ans??
Et pour dire quoi?
Et après le post de 2009, tu en as trouvé un de 2007 pour dire la même chose ?
Au vu du pseudo, peut-être un besoin de faire dans le littéraire, et uniquement cela....