Voilà j'ai toujours été frappé par l'analogie qui existait entre la résistance à l'avancement en milieu fluide et la formule d'Einstein : E=mC2
En milieu fluide, l'énergie nécessaire pour faire avancer un objet est proportionnelle au carré de sa vitesse multiplié par la surface directe ( orthogonale/sens de déplacement ) qui conditionne la résistance à l'avancement. E=KV2
Bien sur cette analogie est peut-être purement fortuite.
Mais si on assimile la lumière à une onde/particule. se pourrait-il que la vitesse limite de la lumière découle de l'interaction de sa surface "directe" conditionnant une résistance à l'avancement dans un Vide Quantique, qui aurait une certaine viscosité pour le photon?
Auquel cas le photon aurait une structure, et sa vitesse résulterait de l'interaction entre son énergie/impulsion de départ et la fluidité du Vide Quantique qui s'assimilerait un son milieu élastique de propagation.
Le photon aurait donc un aspect géométrique correspondant à sa nature particule et un aspect ondulatoire.
Cela donnerait également une explication au redshift, l'entropie de la lumière dans le vide.
Pourquoi la lumière perd t-elle de l'énergie, si en tant que phénomène ondulatoire elle ne rencontre aucune résistance ?
Pour moi la notion de point matériel en physique est un non-sens, ce qui implique de la photon ait une dimension.
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