je pense que oui, je prefère ne pas trop m'avancer mais le fait que la couche externe est pleine il est très difficile d'arracher un electron périphérique, ca depend beaucoup d'énergie et comme tu le fait les "systemes physiques, chimiques..." sont paresseux (donc moins d'énergie a dépenser).
C'est ça. La partie sphérique des orbitales est donnée par les harmoniques sphériques conduisant aux nombres quantiques l et m. Les valeurs de m sont 0,1,2,3 qui correspondent aux lettres s,p,d,f. On les retrouve dans la table périodique, à trois exceptions près: l'hélium, le lutétium et le lawrencium.
réécrit en francais ca donneje pense que oui, je prefère ne pas trop m'avancer mais le fait que la couche externe est pleine il est très difficile d'arracher un electron périphérique, ca depend beaucoup d'énergie et comme tu le fait les "systemes physiques, chimiques..." sont paresseux (donc moins d'énergie a dépenser).
je pense que oui, je prefère ne pas trop m'avancer mais le fait que la couche externe est pleine il est très difficile d'arracher un electron périphérique, ca demande beaucoup d'énergie et comme tu le sais les "systemes physiques, chimiques..." sont paresseux (donc moins d'énergie a dépenser).
C'est une définition chimique quelque peu subjective. La mécanique quantique permet de décrire la table de façon mathématique.
peux tu me dire quelle est le lien entre les harmoniques sphériques et les modes de vibrations (c'est juste une question)C'est ça. La partie sphérique des orbitales est donnée par les harmoniques sphériques conduisant aux nombres quantiques l et m. Les valeurs de m sont 0,1,2,3 qui correspondent aux lettres s,p,d,f. On les retrouve dans la table périodique, à trois exceptions près: l'hélium, le lutétium et le lawrencium.
dsl de te contre dire mais les harmoniques sphériques ne sont pas les modes de vibration de la sphère mais en resolevant ton EDP de shrodinger tu arrives doit tomber normalement sur certaines conditions dont celle des expressions des harmoniques sphériques et celle ci represente tout simplement la forme de l'orbitale par exemple pour l'orbitale s elle est sphérique. Et pour la table de mendeleiv elle est universelle on peut l'utiliser en phsysique, en chimie en biologie... et les regles sont les memes quelque soit la discipline considérée
Les harmoniques sphériques s'obtiennent en résolvant la partie angulaire de l'équation de Laplace, appelée le legendrien. Elles apparaissent dans l'équation de Schrödinger, mais aussi lors de la résonance acoustique d'une cavité sphérique, dans les vibrations du soleil et dans d'autres phénomènes physiques pouvant se résoudre de façon sphérique avec l'équation de Laplace en donnant les polynômes de Legendre. Les modes radiaux, par contre, dont différents dans la résonance d'une sphère où la vitesse du son est constante et dans un atome où les ondes de de Broglie ont une vitesse variable fonction du potentiel coulombien.dsl de te contre dire mais les harmoniques sphériques ne sont pas les modes de vibration de la sphère mais en resolevant ton EDP de shrodinger tu arrives doit tomber normalement sur certaines conditions dont celle des expressions des harmoniques sphériques et celle ci represente tout simplement la forme de l'orbitale par exemple pour l'orbitale s elle est sphérique. Et pour la table de mendeleiv elle est universelle on peut l'utiliser en phsysique, en chimie en biologie... et les regles sont les memes quelque soit la discipline considérée
merci pour ce rappel, mais ne perdons pas de vue que nous parlons d'orbitale atomiqueLes harmoniques sphériques s'obtiennent en résolvant la partie angulaire de l'équation de Laplace, appelée le legendrien. Elles apparaissent dans l'équation de Schrödinger, mais aussi lors de la résonance acoustique d'une cavité sphérique, dans les vibrations du soleil et dans d'autres phénomènes physiques pouvant se résoudre de façon sphérique avec l'équation de Laplace en donnant les polynômes de Legendre. Les modes radiaux, par contre, dont différents dans la résonance d'une sphère où la vitesse du son est constante et dans un atome où les ondes de de Broglie ont une vitesse variable fonction du potentiel coulombien.