C'est pour ça que je poste. J'exprime l'idée du mieux que je peux (à ce jour) avec comme objectif d'essayer de compléter ma réflexion en m'appuyant sur les retours qui en résultent. Si vous avez des idées de principe plus précises ou mieux adaptées selon vous pour bâtir un plan de route plus clair en vue de tester la possibilité de biaiser le hasard de la mesure quantique je suis intéressé par votre avis.Envoyé par ChipCette distinction nécessiteEnvoyé par Chip
* de cerner de façon très rigoureuse, toutes les incertitudes liées à la maîtrise des paramètres expérimentaux et aux possibilités d'auto-corrélation accidentelles susceptibles d'en découler, caractérisées d'un point de vue statistique et
* le choix d'un contrôle (de type méthode du Xhi^2 par exemple) permettant de chiffrer le caractère statistiquement significatif du nombre de déviations standards observé par rapport aux statistiques quantiques parfaites attendues...
...Autant dire que "ce n'est pas de la tarte" et que le risque de conclusion de corrélation provoquée par une action volontaire de l'observateur alors qu'il s'agit d'une corrélation accidentelle est élevé sans précaution draconnienne dans la maîtrise des paramètres expérimentaux et dans le traitement statistique des résultats de mesure (car on cherche à extraire un signal extrêmement ténu qui se cache au milieu du bruit engendré par le hasard de la mesure quantique).C'est ça. Etant donné qu'une transmission instantanée d'information par effet EPR exige la possibilité de biaiser le hasard quantique, la première chose à faire est d'essayer de vérifier cette hypothèse. Tant qu'on n'y parvient pas, ça ne sert à rien d'aller plus loin. J'ai distingué (en restant au niveau de l'idée de principe et non en présentant un protocole expérimental) les deux expériences sur le site http://perso.wanadoo.fr/lebigbang/epr.htmEnvoyé par Chip
Bernard Chaverondier
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