Bonjour.
Une des règles de ce forum est que l'on essaie d'écrire en français correct en évitant des abréviations inutiles et le langage des SMS. Au revoir.
Au revoir.
ok exusez moi je suis nouveau dans le forum donc je ne le savais pas. Mais pouvez vous répondre à ma question s'il vous plaît.
lukeichi
Salut luckeichi!
Ce que fait le verre quand il rencontre une onde? Eh bien, pour répondre à cette question, je serais tentée de regarder mes cours de l'année dernière, pas toi?! Le chapitre sur la réfraction de la lumière lorsque le rayon passe d'un milieu à un autre te dis quelque chose? Je PENSE donc qu'avec les ondes sonores, c'est la même chose! Une partie est réfléchie, l'autre est réfracté. Est-ce que c'est ce que tu cherches?
Bonne continuation!
Bonjour, ou plutôt bonsoir..
J'aimerais que quelqu'un me confirme une chose dont j'ai déjà entendu parler :
Le son (dans l'air, à température ambiante et pression normales) se déplace à environ 340 m/s.
Il me semble avoir entendu que, en maintenant tous ces paramètres constants, il existe un seuil (de puissance ou de fréquence) au delà duquel cette vitesse augmente (phénomène au niveau des molécules lorsque la pression acoustique dépasse un certain seuil), je ne sais plus si c'est la fréquence ou la puissance qui entre en jeu, mais je sais que ce phénomène existe (hypersons ?)
Merci de votre réponse
Bonjour.Bonjour, ou plutôt bonsoir..
J'aimerais que quelqu'un me confirme une chose dont j'ai déjà entendu parler :
Le son (dans l'air, à température ambiante et pression normales) se déplace à environ 340 m/s.
Il me semble avoir entendu que, en maintenant tous ces paramètres constants, il existe un seuil (de puissance ou de fréquence) au delà duquel cette vitesse augmente (phénomène au niveau des molécules lorsque la pression acoustique dépasse un certain seuil), je ne sais plus si c'est la fréquence ou la puissance qui entre en jeu, mais je sais que ce phénomène existe (hypersons ?)
Merci de votre réponse
Il y a du vrai.
- Le son produit des variations de pression. Pour les sons ordinaires, ces variations sont très petites comparées à la pression atmosphérique.
-Quand vous comprimez un gaz, sa température augmente. Donc, le son implique des variations de température aussi.
- La vitesse du son dépend de la température et augmente avec celle-ci.
Donc, pour des sons de très forte amplitude, comme les explosions, le son augmente la température ce qui augmente sa vitesse de propagation. Cela donne de ondes de choc.
En rayonnant, l'amplitude décroît et l'onde de choc se transforme en onde sonore classique.
Mais il n'y a pas seuil.
Au revoir.
Merci, mais j'avais des détails très explicites que je ne retrouve pas :
Vous me parlez de température, ce qui me fait penser à la puissance sonore...
Il me semble qu'un son de très haute fréquence transporte "plus d'énergie".
Je n'en suis pas sûr, mais il me semble que cela concernait les "hypersons" (longueur d'onde tendant vers les distances inter-molécules).
Est-ce l'origine de ce gain de vélocité ?
Il existe bien d'autres relations entre son et température, mais peut-être que ceci n'est pas directement l'objet du fil. Tant pis je donne l'info quand même. Ça peut pas nuire.
"L’hélium liquide étant capable d’animer deux mouvements simultanés opposés, deux types de vibrations devaient pouvoir s’y propager en même temps à des vitesses différentes. Le second son apparaît quand la température de l’hélium atteint le point de superfluidité, et sa célérité augmente à mesure que le thermomètre descend. Elle est d’environ dix-huit mètres à la seconde à deux degrés du zéro kelvin, et de trente-cinq mètres à la seconde à un demi-degré de cet absolu, des variations nettement plus grandes que celles affectant habituellement la célérité du son en fonction de la température."
Cordiales salutations.
Re.Merci, mais j'avais des détails très explicites que je ne retrouve pas :
Vous me parlez de température, ce qui me fait penser à la puissance sonore...
Il me semble qu'un son de très haute fréquence transporte "plus d'énergie".
Je n'en suis pas sûr, mais il me semble que cela concernait les "hypersons" (longueur d'onde tendant vers les distances inter-molécules).
Est-ce l'origine de ce gain de vélocité ?
À des fréquences décentes (jusqu'au GHz), l'énergie transportée ne dépend pas de la fréquence. Uniquement de la pression sonore.
Je n'ai jamais entendu parler des sons dont la longueur d'onde serait comparable aux distances intermoléculaires. Je ne connais rien sur ce sujet. Même pas s'il existe vraiment.
L'origine du gain en vitesse de propagation est liée à l'augmentation de la vitesse des particules dans le gaz. Pour les liquides et solides, la dépendance avec la température est tout autre.
A+
Merci pour ce complément de réponse, mais ce n'est pas celui que j'espérais.
En effet, le document auquel je faisais référence traitait de l'air à température ambiante et non de l'hélium dans des conditions extrêmes, cela dit, je vous remercie quand même pour votre modeste contribution.
En effet l'air (à température ambiante) pourrait transmettre un son beaucoup plus vite en fonction de certains paramètres uniquement propres au son.
A un atmosphère : on oscille par ex entre 0.5 bar et 1.5 bar, mais lorsque la pression "différentielle" dépasse 1 bar, on aboutit à des "pressions négatives" ce qui ne devrait avoir aucun sens, pourtant cela est possible...
Pardon, nos messages se sont croisés, je ne vous avais pas lu.
Je pense qu'effectivement, sous certaines conditions l'agitation des molécules provoquées par l'onde sonore devient plus rapide.
Je crois que la limite actuelle des hypersons est de 10^13 hertz ce qui est déjà pas mal si l'on considére une longueur d'onde qui avoisine 0,3 Angströem.
Données numériques : pour 1/3 de Watt/cm², l'amplitude de vitesse des molécules dans l'air est de 3,9 m/s, ce qui reste faible par rapport à l'agitation thermique.
J'imagine donc qu'il faut une puissance proportionnellement plus grande pour que l'amplitude de vitesse atteigne puis dépasse celle qui est due à l'agitation thermique et qui est considérable.