Boujour à tous,
Je suis complètement paumé avec ces notions, et les quelques recherches effectuées m'ont encore plus embrouillé...
En fait en travaillant une démonstration, j'ai remarqué qu'une matrice définie positive (produit d'une matrice et de sa transposée) apparait naturellement entre les deux vecteurs d'un produit scalaire lors d'un changement de base (les deux vecteurs faisant partie du même espace vectoriel) : normal, si le changement de base ne conserve pas les angles, les produits scalaire nuls ne seront plus ceux pour qui les vecteurs sont orthogonaux une fois la base changée (La dessus j'ai à peu près tout compris, même l'histoire des diamètres conjugués d'ellipse qui remplacent l'orthogonalité)
Mais j'ai aussi remarqué que lorsqu'il s'agit du produit scalaire d'un vecteur avec un gradient, une telle matrice n'apparait pas, car le vecteur et le gradient se comportent à l'inverse vis-à-vis du changement de base.
J'ai donc cru comprendre qu'il s'agissait du caractère covariant de l'un et contravariant de l'autre, mais je n'arrive pas à démêler le vrai du faux entre les pages qui disent que le gradient est covariant et d'autre plutôt qu'il vaut mieux dire qu'il est contravariant pour d'obscures raisons. J'ai l'impression que si on ne fait pas déjà parti du club on ne peut guère y entrer... déjà j'ai toujours pas pu assimiler ce que voulais dire ces deux mots "covariant" et "contravariant".
bref je suis un peu perdu avec ces notions, quelqu'un pour éclaircir ma lanterne? en essayant de rester le plus simple possible dans un premier temps s'il vous plait
merci
m@ch3
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est le projecteur orthogonal 
Je connais la notion de projection sur un sous-espace, mais pas sur un vecteur (et ce même pas dans le cas d'un espace vectoriel quelconque). Et je ne comprends pas ce qu'est la "composante sur un vecteur". Je connais la "composante sur le ième vecteur de tel base", qui ne dépend pas seulement du vecteur mais aussi du reste de la base.
). Mais au deuxième ordre certainement pas. Penser le gradient comme "la plus grande pente" ne permet pas de se faire un modèle clair de la distinction entre sommet, point selle, point de thalweg, point de ligne de crête, point cuvette... Par contre, la 2-forme, qui étend la fonction qui à ma direction associe le polynome du second degré qui approche ma montée/descente, est une idée naturelle quand on "perçoit" ce qu'est le gradient, autrement que comme un vecteur. (Précisément, les deux signes des composantes de la 2-forme m'indique le type de point, -+ pour un point selle, -- pour un sommet (on ne peut que descendre!), -0 sur une ligne de crête, 0+ en thalweg, etc.)