Bonjour, j'ai réfléchi à propos de l'énergie cinétique et j'ai fini par pondre cette théorie (dsl, les schémas passent pas, si vous voyez des phrases pas finies, c'est normal ; pourriez-vous me donner votre avis ?[ si vous pouviez éviter les avis du genre "le titre est déjà utilisé ou autre de ce genre svp, parlez moi plutôt du contenu, MERCI]) :
La théorie de l’énergie cinétique
L’interaction gravitationnelle est décrite par de nombreuses théories et sous différentes formes. Dans ma théorie, je propose un nouveau modèle, usant principalement des concepts relativistes. La relativité prévoit que le temps s’écoule plus lentement pour un corps en mouvement. Permettant à des rayons lumineux émis dans le sens du mouvement et dans le sens inverse de posséder la même vitesse. Ce principe relativiste ne s’applique que lorsque le rayon lumineux étudié est confondu avec l’axe de déplacement du corps. Mon modèle se base sur le principe d’après lequel les corps émettent leur masse sous forme de rayonnements énergétiques. Ces rayons peuvent être déviés de leur direction initiale si le corps qui les émet est en mouvement. Ce principe est similaire à un concept relativiste. Le fait que les corps émettent leur masse impose que celle-ci varie au cours du temps, ce qui s’oppose à la mécanique de Newton qui voit la masse comme une propriété invariable de la matière.
Cette mécanique de Newton démontre qu’un corps pseudo-isolé ou isolé est en mouvement rectiligne uniforme : le principe d’inertie. La déviation des rayons énergétiques permet d’expliquer le principe d’inertie. Principe qui n’est vérifiée que si le corps considéré est pseudo-isolé, donc si les forces qui s’exercent sur lui se compensent. Le modèle qui je présente permet également de comprendre la notion de gravitation, qui est expliquée comme une déviation des rayons énergétiques émis par le corps considéré, entraînant alors une modification de la trajectoire.
I - L’émission d’énergie
Le modèle présenté ici s’appuie sur un principe démontré, celui d’après lequel les corps cherchent à posséder une énergie minimale. La relativité ayant déjà prouvé que la matière est énergie, ce modèle prédit que la matière émet son énergie sous forme de rayonnements énergétiques pour posséder une énergie minimale. La matière émet son énergie sur 360°.
Cette émission est responsable du déplacement ou de l’immobilité de la matière. En effet, l’émission d’un rayon énergétique provoque un mouvement de même direction et de sens opposé à l’émission de ce rayon. La matière émettant des rayons énergétiques sur 360°, chaque rayon possède son opposé, le corps considéré est donc immobile.
La disposition des rayons énergétiques émis par un corps est propre à chaque niveau d’énergie. Donc, lorsqu’un corps se déplace, son énergie totale est égale à la somme de son énergie massique et de son énergie cinétique. Ce modèle prévoit que lors du déplacement d’un corps, il n’y a aucun gain d’énergie, seul la disposition des rayons énergétiques est modifiée. Ce changement de disposition nous donne l’impression que l’énergie totale du corps considéré est modifiée.
Dans le cas d’une particule de masse nulle, il n’y a aucune émission, ce modèle ne peut donc prévoir une quelconque émission d’énergie de la part de cette particule. Seulement, la relativité dit qu’un corps se déplaçant à la vitesse de la lumière possède une masse nulle. Une masse nulle correspond à une certaine disposition des rayons énergétiques, mais dans cet exemple il y a une émission d’énergie. En effet, cette masse nulle est acquise par un corps possédant une masse non nulle initialement. Dans cet exemple, seuls les rayons émis parallèlement à l’axe de déplacement sont émis, induisant une masse nulle au corps se déplaçant. En effet, si un corps possède une masse non nulle, il peut engendrer un champ de pesanteur. Or, un seul rayon énergétique ne peut créer un tel champ. Ce rayon étant émis, il ne peut dévier qu’un seul rayon énergétique émis par un second corps, ce qui n’est pas suffisant à la création d’un champ de pesanteur. Un corps se déplaçant à la vitesse de la lumière possède donc une masse nulle malgré une émission.
II - La déviation des rayons énergétiques
Les corps émettent leur masse sous forme de rayonnements du fait de l’interaction gravitationnelle qu’ils engendrent.
Et ces rayons peuvent être déviés si le corps qui les émet est en mouvement :
Sur ce schéma figure le rayon énergétique droit (représenté par le segment [A]), émis lorsque le corps présent n’est pas en mouvement. Le segment [B] représente le rayonnement émis lorsque le corps est en mouvement. Le segment [V] représente la vitesse. Le point G représente le centre de gravité du corps considéré. Les trois segments forment un triangle rectangle, mais un triangle quelconque permettrait d‘obtenir des résultats similaires à ceux ci-dessous :
a = Sin-1[V/Vr ] x b/90
Avec : a : l’angle de déviation des rayons énergétiques émis par le corps considéré, en degrés ; Vr : la vitesse d‘émission des rayons énergétiques (égale à la vitesse de la lumière dans les éléments considérés, exemple ; si le corps considéré est dans le vide, la vitesse d‘émission des rayons énergétiques est égale à la vitesse de la lumière dans le vide, soit 299 458 792 mètres par seconde) ; V : la vitesse du corps considéré, en mètres par seconde ; b : l’angle formé par le rayon énergétique émis lorsque le corps considéré est au repos, et par l’axe de déplacement, en degrés.
Démonstration :
Lorsque la vitesse du corps considéré augmente, l’altitude par rapport à l’axe de déplacement est plus petite. Comme la longueur d’un rayon énergétique ne peut diminuer, l’altitude ne peut diminuer par une simple diminution de longueur des rayons. Pour que l’altitude soit plus petite, les rayons énergétiques doivent être déviés. Ainsi, pour des rayons de même longueur, ceux déviés permettront une altitude plus petite que ceux droits. La longueur des rayons énergétiques est égale à la vitesse de la lumière dans le vide multiplié par la variation de temps. La vitesse est indiquée sur le premier schéma comme étant parallèle à l’axe de déplacement. La longueur du segment [V] est égale à la vitesse multiplié par la variation de temps. Grâce aux règles de trigonométrie, on peut dire que :
Sin(a) = v x Dt = v
c x Dt c
L’angle a est proportionnel à l’altitude par rapport à l’axe de déplacement. L’altitude initiale (lorsque le rayon émis perpendiculairement à l’axe de déplacement est droit) est égale à c. L’altitude finale (lorsque ce même rayon est dévié, représenté sur le premier schéma par les segments [do] et [da]) est égale à da.
Plus l’angle b (formé par le rayon énergétique non dévié et par l’axe de déplacement) est petit, et plus l’angle a est petit. En considérant un angle b =90 égal à 1, on peut dire que l’angle b correspondant est égal à b/90 d’après la règle de trois.
L’angle a est alors :
a = Sin-1[V/Vr] x b/90
Cette relation est utilisée principalement pour décrire une déviation de rayons énergétiques de par une accélération. Mais, l’accélération et la gravitation présentant des effets similaires, on peut retrouver une relation similaire dans le cas d’une force gravitationnelle entrant en jeu. En effet, lorsqu’un corps est placé dans un champ de pesanteur, ses rayons énergétiques sont déviés par les rayons énergétiques émis par le corps créant ce champ de pesanteur. Les rayons énergétiques émis par ce corps sont similaires à un vent gravitationnel, emportant les rayons énergétiques émis par le corps placé dans le champ de pesanteur. Lorsqu’un corps est placé dans un champ de pesanteur, ses rayons énergétiques sont autant déviés que si ce corps était en mouvement. La vitesse égale à la vitesse gravitationnelle peut se calculer grâce aux seuls lois de la trigonométrie :
.a = Tan-1 [V x Cos(a’) /Vr] x b/90
Démonstration :
Le schéma suivant aidera à la démonstration suivante :
Sur ce schéma, on retrouve comme sur le premier schéma, les segments [A] et [V] à la seule différence que le segment [V] est dévié par un angle a’, correspondant au mouvement du corps créant le champ de pesanteur considéré. Un second triangle rectangle est présenté sur ce schéma avec le segment [D]. On peut utiliser les règles de trigonométrie avec l’angle a’ tel que :
Sin(90 - a’) = Cos(a’) = D/V = D/(a x Dt) Û D = a x Dt x Cos(a’)
Le second côté adjacent du triangle rectangle créé dans ce schéma est nommé [E], on a :
Cos(90 - a’) = Sin(a’) = E/V = E/(a x Dt) Û E = a x Dt x Sin(a’)
On peut alors écrire une relation faisant intervenir l’angle a tel que :
a = Tan-1[D/(A + E)] = Tan-1[a x Dt x Cos(a’) / 1 - [a x Dt /Vr]² + a x Dt x Sin(a’)]
L’angle b intervenant également dans cette relation et, cette présence étant déjà démontrée, on a :
a = Tan-1[a x Dt x Cos(a’) / 1 - [a x Dt /Vr]² + a x Dt x Sin(a’)] x b/90
III - L’énergie cinétique
L’énergie cinétique est une énergie dite fictive, ce qui signifie que lorsqu’un corps entre en mouvement, il n’y a aucun gain d’énergie. Seuls ses rayons énergétiques changent de disposition, imitant une énergie plus importante. L’énergie totale (énergie massique et énergie cinétique [fictive]) d’un corps en mouvement est égale à :
Ek = Eo/Cos(a)
Démonstration :
Pour les explications qui suivront, on considérera que le rayon énergétique considéré est émis perpendiculairement à l‘axe de déplacement, ainsi, b = 90, donc b/90 = 1. Ce choix de rayon permet de ne pas faire intervenir l’angle b dans la relation correspondante.
La relativité permet de dire :
Ek = gmc² = gEo avec :
g = 1/Ö[1 - (v/c)²]
Le modèle présenté nous dit :
Sin(a) = v/c Û Sin²(a) = (v/c)²
Donc :
g = 1/Ö[1 - Sin²(a)] = 1/Ö[Cos²(a) = 1/Cos(a)
Ainsi :
Ek = Eo x g
Û
Ek = Eo/Cos(a)
Cette relation rejoint entièrement la relation énoncée en relativité et ne permet que d’adapter celle-ci au modèle présenté.
Grâce à la relation permettant d’obtenir l’énergie totale, on peut définir une relation décrivant l’énergie cinétique. En effet, la relativité dit :
Ec = (g - 1)mc²
Et les relations précédentes permettent d’écrire :
g - 1 = [1/cos(a)] - 1
Ainsi :
Ec = Eo([1/cos(a)] - 1)
L’énergie cinétique est acquise par un corps lorsqu’il est en chute libre dans un champ de pesanteur. En effet, il y a conversion de l’énergie potentielle de pesanteur en énergie cinétique. Plus l’énergie cinétique est grande, et plus la vitesse du corps considéré est grande, donc, plus l’angle a est grand. Cet angle est acquis par le champ de pesanteur qui impose une vitesse gravitationnelle au corps considéré. Et, comme ceci est indiqué précédemment, un champ de pesanteur crée par un corps en mouvement impose une vitesse gravitationnelle plus faible, donc une énergie cinétique plus faible, et donc une énergie potentielle de pesanteur plus faible. L’énergie potentielle de pesanteur est décrite dans ce modèle par la relation suivante :
Epp = m x g x z x Cos(a’)
Démonstration :
L’énergie potentielle de pesanteur est proportionnelle à l’altitude z. Une certaine altitude correspond à un niveau d’énergie. Lorsque le corps impliquant le champ de pesanteur est en mouvement, le niveau d’énergie est plus faible pour une altitude donnée. Le schéma suivant permet une meilleure compréhension de la démonstration. Ce schéma montre l’altitude réelle z (la distance droite reliant les deux centres de gravité des deux corps) ainsi que l’angle a’ illustrant la déviation des rayons énergétiques du corps imposant le champ de pesanteur. Le schéma montre également l’altitude engendrée par l’angle a’ : z’.
Grâce aux lois de trigonométrie, on peut dire :
Sin(90 - a’) = Cos(a’) = z’/z Û z’ = z x Cos(a’)
Epp = m x g x z x Cos(a’)
Ce modèle permet donc de dire que l’énergie potentielle de pesanteur dépend du mouvement du référentiel, donc, que l’énergie cinétique dépend également du mouvement du référentiel.
IV - Le principe d’inertie
La mécanique de Newton énonce sa première loi comme étant le principe d’inertie. Ce principe prévoit qu’un corps isolé ou pseudo-isolé reste immobile ou entre dans un mouvement rectiligne uniforme.
Le modèle proposé ici permet de comprendre autant la notion de force que le mouvement uniforme engendré. Le fait que le mouvement soit uniforme peut se comprendre grâce à la déviation des rayons énergétiques émis par le corps considéré.
En représentant les vecteurs forces correspondant à l’émission d’énergie sous forme de rayonnements, pour un corps au repos, ces deux vecteurs se compensent, le corps considéré est donc au repos.
Si les rayons énergétiques sont déviés, la somme des deux vecteurs forces est égale à un vecteur non nul, le corps considéré est donc en mouvement. Comme le représente le schéma ci-dessous, les vecteurs étudiés doivent composer un couple. C’est-à-dire, être symétrique par rapport au centre de gravité du corps considéré (seuls les rayons émis parallèlement à l‘axe de déplacement ne peuvent être utilisés pour former un couple).
+ = -2
Les vecteurs CA et CB correspondent au couple de vecteurs déviés. Lorsque le corps considéré entre en mouvement, ses rayons énergétiques sont déviés. Ceux-ci engendrent un mouvement selon la relation ci-dessus. Ainsi, le mouvement engendre une déviation qui engendre un mouvement. D’après ce principe, un corps isolé ou pseudo-isolé initialement en mouvement conserve ce mouvement à l’infini. L’émission de rayons énergétiques n’est pas considéré comme une force, ce qui signifie qu’il n’y a pas de force nécessaire à la conservation du mouvement d’un corps isolé ou pseudo-isolé.
-----