encore une fois, si les particules sont déjà bien déterminé (mais inconnu par l'observateur ) avant la mesure, alors tu as un état |1>|2> ou |2>|1> (mais pas de combinaison linéaire parce que tu dit qu'il n'y a pas d'ambiguité dans leurs états )et si tu mesures(par l'opérateur A) la particule 1, ben tu vas trouver (A|1>)|2> et la mesure de 1, n'affecte pas l'état de 2. (premier point.)Dans ce genre de théorie, une particule est dans un état bien déterminé avant de faire la mesure. Lorsqu'on fait la mesure sur la particule 1, par exemple, on affecte la fonction d'onde globale du système. On modifie l'état de la particule 1, mais en même temps, on modifie instantanément l'état de la particule 2 à l'autre bout du monde. C'est ça qui est représenté par l'obligation de l'ouverture simultanée de deux enveloppes.
Et donc tu rajoutes à la main, une interaction supraluminique (opérateur B qui dépend de A, donc B(A)) qui modifie également 2.
ok l'état final est (A|1>)(B(A)|2>) et tu pourrais expliquer les corrélations :"mesure de 1 affecte la mesure de 2".
Le problème est que si tu prends le carré de la norme de |1>|2>, tu as donc 100% de chance d'avoir l'état |1> pour 1.
Et en méca Q, pour une paire EPR, c'est 1/2.
En résumé, tu ne décris pas le même système physique, dans le cas le plus gentil !
Si tu veux critiquer la méca Q à partir de la méca q, ce que suggère ces propos,( enfin je crois)
ça va être difficile! peut être devrais tu reprendre ta théorie à variable supraliminique ex-nihilo.Dans ce genre de théorie, une particule est dans un état bien déterminé avant de faire la mesure. Lorsqu'on fait la mesure sur la particule 1, par exemple, on affecte la fonction d'onde globale du système.
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