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Bonjour,
Pour poser ma question, j’ai choisi de m’appuyer sur une définition du zéro absolu qui, à mon avis, ne devrait pas prêter à polémique mais bien à discussion, car c’est bien là le but.Mon souci vient de la conclusion qui est tirée de l’application du principe de Heisenberg au cas du zéro kelvin. Est présentée comme une évidence indiscutable l'hypothèse qu’à 0 K ces particules continueraient de posséder une quantité de mouvement non-nulle.Envoyé par Wikipédia
Or, ça me semble totalement contradictoire avec la définition-même du zéro absolu. En effet, s’il restait encore un tant soit peu de quantité de mouvement, il resterait encore quelque chose à enlever.
Donc selon moi, l’unique possibilité envisageable est de lier le fait que l’on connaisse alors avec une précision infinie la quantité de mouvement (sa valeur est nulle) à une indétermination maximale sur la position, autrement dit à la non-localité de la particule.
Merci par avance de bien vouloir m’expliquer pour quelle raison, on ne procède pas ainsi.
Cordiales salutations.
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