Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
L'unité de longueur n'est qu'une convention. En quelque sorte c'est arbitraire. C'est donc encore plus surprenant
J'en suis à me demander s'il n'y a pas des unités de longueur, surface et volume naturelles différentes pour éviter ce phénomène?
Quand on dit que l'information d'un volume se retrouve sur sa surface, cela revient à identifier S et V en choisissant correctement les unités pour que V=S (=1?)
Citation Envoyé par alovesupreme Voir le message
Eureka Stefjm j'ai compris ce que tu veux dire:
Prenons un solide de volume de 0.2^3 cm^3 = et de surface 0.2^2 cm^2 = . Doublons les longueurs, le volume devient 0.4^3 cm^3 soit et la surface .
Le volume a augmenté de tandis que la surface a augmenté de
C'est bien cela.
Citation Envoyé par alovesupreme Voir le message
Ta gene vient de l'augmentation numérique plus grande pour la surface.
Et surtout que cela dépend du quantum choisi. (de l'unité choisie)
Pour des grandeurs mesurées supérieures à 1, on retrouve bien le fait que le volume croit plus que la surface. (C'est vrai numériquement et en rapport.)
Citation Envoyé par alovesupreme Voir le message
On ne peut comparer la variation en cm2 et en cm3 de cette facon:
En fait le volume a été multiplié par 8 et la surface par 4. (meme avec des valeurs < 1.
L'aspect multiplicatif des grandeurs est sauf. (C'est normal, puisque c'est fait pour.)
Ce qui me gène est que l'on n'a plus l'aspect additif. (et quand on adimentionne, on compare bien des grandeurs numériques, ie des nombres sans dimensions.)
On ajoute une information à une autre. (à priori, on ne multiplie pas...)

Cordialement.