Fautes dans mon précédent message...
Envoyé par b@z66
Pour le coup, la façon dont le temps est introduit dans le bouquin que nous a présenté Unbeotien est assez pertinente: il ne sert à rien de discourir sur la nature profonde du temps, il suffit juste de constater qu'il est possible de le mesurer de manière "physique" à l'aide d'horloges dont on attend des propriétés cycliques et régulières.
La curiosité est un très beau défaut.
Vu ce que j'ai lu sur eux ces derniers temps, je ne le ferais pas...Tu n'es pas le seul: http://webcache.googleusercontent.co...&ct=clnk&gl=fr
mais là, je ne te conseillerai quand même pas du tout de t'y aventurer pour ton propre bien!!
Mais que ce soit clair, quand je dit "j'aime bien", c'est plutôt une appréciation esthétique que philosophique...
Un pointeur sur le modèle sans bord utilisant une notion de temps imaginaire, dans le domaine la cosmologie quantique, de Stephen Hawking et James Hartle me semble plus pertinent qu'un pointeur sur les BB.Tu n'es pas le seul
Patrick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 02/01/2011 à 17h28.
Deux tentatives dimensionnelles:
Comme on a la la vitesse limite "c", on peut définir. (Ce que fait la RR)
Comme on a
Le cyclique, en transformée de Laplace, cela se traduit par une division par
Ce qui nous ramène très naturellement aux complexes, imaginaire pur, et à l'exponentielle imaginaire
Une autre façon de définir le temps est de passer par l'exponentielle réelle
L'exponentielle (réelle et/ou imaginaire) est la réponse générique des systèmes linéaires. C'est un lien très fort entre système linéaire et temps. (mais ça tourne un peu en rond...)
Cordialement.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Pour faire le lien entre formulation vulgarisée et formulation mathématisé, la Relativité d'Einstein est effectivement un bon choix, mais je trouve qu'il manque de clarté par moment et qu'il ne met pas assez l'accent sur le côté géométrique de la RR. Je conseillerais donc de lui adjoindre le tome 1 de Mécanique de Feynman, où il aborde plus de chose de manière concise et claire. En plus, cela permettrait de te rafraichir la mémoire sur les bases de la physique.
Faut pas tirer des conclusions trop simples de conventions commodes ! La pseudo métrique peut tout aussi bien s'écrire dt²-dx²-dy²-dz² et selon la même "logique" en dériver l'idée que l'espace se représente comme par des nombres imaginaires, et noter un événement en coordonnées (t, ix/c, iy/c, iz/x). Les équations physiques "marchent pareil" avec cette convention là.
Ce que cela indique n'est pas une difficulté particulière du temps, mais juste que la géométrie de Minkowski ne doit pas être confondue avec la géométrie euclidienne, i.e., qu'on ne doit pas voir espace et temps comme des dimensions similaires, mais plutôt comme des manifestations différentes des dimensions en 4D.
c'est l’idée que je souhaitais exprimer en disant "on ne peux pas manipuler cette grandeur avec les autres aussi facilement."
Je comprends. Je voulais souligner que c'est dual. On peut dire la même chose de l'espace.
On voit le plus souvent les gens exprimer l'idée que "l'espace c'est normal, simple, évident" et "le temps ne peut pas se manipuler comme l'espace".
Mais si on se penche sérieusement sur la relativité restreinte, on se rend compte que "l'évidence" de l'espace disparaît.
Du coup, d'où mon intervention, il est plus facile de "rater" certains concepts de la relativité restreinte (ou général) en se basant sur un concept "intuitif" de l'espace que sur un concept intuitif du temps.
Beaucoup des "paradoxes" mettent l'accent dans leur intitulé sur le temps, mais ne se "comprennent" qu'en prenant en compte les "risques conceptuels" liés à l'espace.
Bref, ce n'est pas une bonne idée que de penser que la relativité restreinte se contente d'introduire seulement une manière non intuitive de manier la grandeur durée.
