Bonjour,
J'ai eu l'occasion de lire récemment le livre 'La Matière' de George Lakhovsky (un ingénieur/chercheur francais d'origine russe qui s'est beaucoup intéressé aux rayonnements cosmique, dans les années 30). Au début du livre, deuxième chapitre je crois, il s'attarde un peu sur le soleil et le présente comme un corps froid...
Pour expliquer son point de vue, il prend l'exemple d'un thermos pour lequel un couche de vide de 5mm d'épaisseur permet d'isoler (presque) parfaitement le récipient de la chaleur (du moins ca l'isole suffisement pour qu'on puisse prendre un thermos dans la main aprés l'avoir remplie d'eau bouillante...). De fait, pourquoi les quelques cent millions de kilomètre de vide spatial (et glacial) qui nous sépare du soleil n'agissent pas comme un isolant ?
D'autre part, si le soleil brule, que brule t il ? Pourquoi ne s'est il pas transformé en tas de cendre depuis le temps ? Qu'est ce qui alimente cette combustion sans dégradation apparente ?
Pour G. Lakhovsky, le soleil serait une sorte de planète "froide" doté d'un sol composé de différent métaux et matériaux isolant provoquant, sous l'action de rayon cosmique, une activité electrique intense dont on percevrait les radiations qui, au contact de la terre, par friction, se transformerait en chaleur.
Il conclut, en plaisantant (ou pas), qu'on estime la température du soleil à partir de sa couleur (ce n'est sans doute plus vrai aujourd'hui) et que si ce raisonnement était viable, la température d'un vers luisant serait de 1200°C
Qu'en pensez vous ?
Merci d'avance !
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