quelle est la vitesse maximum du vent sur la terre en théorie?
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quelle est la vitesse maximum du vent sur la terre en théorie?
Bonjour et bienvenu au forum.
Je vous invite à lire la charte du forum, en particulier le point 2.
Les gens seront plus enclins à vous répondre.
Pour la modération.
bonjour au gens du forum, à la question "vitesse théorique du vent terrestre" je reformule ma question autrement, imaginez un instant que dans l'équation la valeur solaire = 0, nul, ainsi le système terre: (hydrosphère, atmosphère) sont restés identiques a peu de choses prêt, une grosse boule de roche et de glace tourne a la même vitesse que l'astre, sans mouvement de surface, l'atmosphère toujours avec 4/5 de N² et 1/5 de O² mais sans vapeur d'eau condensée (100% air sec) sans mouvements ascendants, sans appel d'air horizontal, sans pompage ionique, bref sans vent.
Je résume 1 tour de la planète sur elle même = 1 tour pour la glace = 1 tour pour l'air, tout le système est synchrone et de masse inerte, en première analyse. La gravitation reste simple, l'élément le plus léger en haut, le plus lourds en bas, sans brassage, sans nuages et sans effet de serre.
Je remets la véritable valeur solaire dans l'équation; quel est la vitesse théorique du vent ? A+
Bonjour.
Même s'il n'avait pas de convection (ce qui est absurde comme hypothèse) Il y aurait toujours la viscosité des gaz qui feraient que l'atmosphère tournera, quoi qu'il arrive, à la vitesse de la terre et la vitesse du vent sera zéro.
Mais il y a la convection qui crée les vents.
Au revoir.
bonjour au gens du forum,
petit 1) copier/coller de encyclopaedia universalis
La logique formelle « classique » (cf. histoire de la logique, logique mathématique, théorie de la démonstration) est une théorie de l'inférence valide qui ne prend pas en considération le contenu sémantique de l'argument. Elle est une logique bivalente, excluant toute position intermédiaire entre le vrai et le faux (tertium non datur : le tiers est exclu), et une logique extensionnelle.
Les logiques « non classiques », « déviantes » ou appliquées – l'incertitude des désignations témoigne de l'étendue des domaines d'application recouvrent un large ensemble de systèmes qui, tout en demeurant des calculs formels, ne respectent pas l'un ou l'autre, ou plusieurs à la fois, des traits caractéristiques de la logique formelle classique. Ce sont des logiques à plus de deux valeurs de vérité (many-valued logic), telles la logique intuitionniste et les logiques du flou, ou, tout au contraire, des logiques non vérifonctionnelles : la logique modale, la logique déontique, la logique épistémique, la logique des impératifs, la logique des interrogatifs... Entre les deux extrémités, d'autres systèmes prennent en charge l'analyse des degrés de confirmation (logique inductive), recourent à des critères de plausibilité (logiques non monotones), ou encore emploient des critères d'implication « affaiblis », entraînant des restrictions aux règles de la déduction.
Ensuite, à la différence de la logique traditionnelle, les logiques non classiques peuvent examiner la vérité et la fausseté des propositions dans leur rapport à l'action (logiques déontiques), au temps (logique temporelle), ou en relation avec le fait (nécessaires, possibles, ou contingentes, dans les calculs modaux). En d'autres termes, ces logiques présentent des contenus sémantiques : non seulement la temporalité ou les modalités, mais également la croyance et le savoir, les commandements, les interrogations, le permis et le défendu, la confirmation empirique et les présomptions de normalité, les interrogations, etc.
Enfin, la plupart de ces systèmes sont intensionnels et non simplement extensionnels : l'extension des expressions n'y est pas déterminée de façon non ambiguë, complètement et exclusivement par les extensions de leurs parties constitutives. Tel est notamment le cas des logiques modale, déontique, épistémique, temporelle, de la pertinence ou des logiques non monotones – bien que plusieurs de ces systèmes puissent être interprétés dans un cadre extensionnel.
Les logiques non classiques sont un champ en pleine expansion. Aux systèmes qui suivent (choisis en vertu de la généralité de leur portée), il faudrait ajouter, entre autres, la logique prohairétique (ou logique des préférences), la logique méréologique (ou des parties et des touts), les logiques paraconsistantes (ou « dialectiques »), la logique dialogique, la logique opératoire, la logique topologique.
petit 2) copier/coller du petit robert
synchrone: Qui se produit dans le même temps ou à des intervalles de temps égaux; qui a la même période, la même vitesse. simultané, synchronique. Mouvements, oscillations synchrones. « un souffle lent, qui n'était pas synchrone avec les battements du cœur » (Aragon). Les rues « résonnaient sous leurs pas synchrones » (Perec).
petit 3) copier/coller de encyclopaedia universalis
–l'ensemble des vecteurs vents appelé champ de vent (ou de mouvement) ;
–l'ensemble des masses volumiques, appelé champ de masse volumique ;
–l'ensemble des pressions, appelé champ de pression ;
–l'ensemble des températures, appelé champ de température.
Le premier de ces champs est un champ vectoriel, les autres sont des champs scalaires.
question: quelle est la vitesse maximum théorique des vents terrestre, (en régime normal, sans événements extraordinaires) pour savoir répondre, les quatre paramètres citées plus haut suffit ils ?, ou faut-ils encore intégrées d'autres paramètres et comment ?
Bjr à toi,
Hum, que viennent faire ces copié/collé (logique et synchrone)...dans TA demande ?
Je doute qu'on y trouve un lien quelconque !!!
Nota: Vitesse des vents terrestres n'indiquent en RIEN à quelle altitude (courant jet ) et c'est TOUJOURS...terrestre!!
A+
Dernière modification par f6bes ; 05/03/2013 à 10h36.
Bonjour.
Votre "hors sujet" est très mal venu.
Je n'ai plus envie de continuer à vous expliquer des choses.
Vous n'avez qu'à les chercher dans l'encyclopédie.
Adieu