Le problème, c'est qu'un électron peut se retrouver dans une superposition d'état (interférence à la sortie des fentes d'Young). Une molécule (C60) aussi peut se retrouver dans un superposition d'état (interférence à la sortie des fentes d'Young).Envoyé par Ludwig
En fait, d'après la MQ, on pourrait retrouver à peu près n'importe quoi en superposition d'état. Or, regarde autour de toi, à ton échelle. Il n'y a rien superposition d'état (quand tu mesures un courant dans un fil, il ne va pas dans deux sens en même temps, etc.). Le problème, c'est qu'en MQ (sous certaines condition d'interprétation qui implique un certain réalisme), les objets de la MQ peuvent être en superposition d'état, alors qu'on observe jamais cette superposition à notre échelle. Mais que ce passe-t-il entre les deux? Pourquoi y a-t-il une coupure, un changement de description entre le petit et le grand?
Cela peut être fait par le formalisme de Tomonaga-Schwinger. Regarde par exemple l'article de de Ghose et Home, Manifestly Lorentz covariant formulation of the Einstein-Podolsky-Rosen problem using the Tomonaga-Schwinger formalism que je donne dans le post en lien.De mon point de vue la MQ est incomplète, car elle n’a pas su incorporer le temps propre des systèmes quelle étudie.
Salutations,
Simon
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