salut, y'a truc qui me chifonne...
l'on dit que l'espace/temps est une métrique... et que l'univers est en expension... c'est donc la métrique de l'univers qui s'expend ?? pas le substrat (qui n'existe pas depuis morley-michelson)
si je prend un metre-ruban elastique et que je tire-dessus, l'on conçoit aisément que ce metre s'expende, mais puisqu'il est l'étalon de la mesure, toute mesure reste égale au mètre malgré l'expension du mètre-ruban...
soit, le redshift est un effet doppler du à l'eloignement des galaxies (et étoiles), l'on déduit de ce doppler-effect le fait que l'univers s'expende... que l'esapce-temps s'expende et gagne en taille...
mais, puisque l'on a pas de substrat de suport pour la lumière, la lumière est element de la métrique de l'espace temps... qu'elle rend "visible"
comme vu plus haut, si la métrique de l'esapce-temps s'expend, et expend la lumière avec lui, puisque les distance malgré cette expension reste physiquement identique... il devient impossible de percevoir aucun changement de métrique dans la nature de la lumière...
percevoir un changement signalerait que la métrique spaciale ne change pas, et que la lumière, elle s'expend du à l'éloignement des astres... virant donc au rouge...
c'et affirmer un ether ce faisant... impossible donc... mais affirmer que l'espace s'expend en entrainant les astres, c'est aussi s'interdire de le percevoir (la métrique croissant avec l'éloignement)
il ne reste plus qu'a dire que les astres s'éloigne dans un espace à métrique fixe, ce qui explique la présence d'un décalage... reste un détail, l'on ne peu expliquer la ré-accélération des astres qu'avec une augmentation générale de la taille de la métrique universelle... donc impossible...
question subsidiaire: ou me plantais-je dans cette apparence de logique ?? (je suis un peu perplexe en fait)
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