Salut,
Tout à fait d'accord. Ceci dit, je trouve quand même intéressant d'en parler. Même si on est la la lisière de l'aspect scientifique (les interprétations étant par définition non réfutable par l'expérience, sauf exceptions mais alors le mot "interprétation" est abusif). Mais ce n'est pas trop grave dans la mesure où :
- on ne peut faire l'impasse en MQ (au minimum il faut l'interprétation instrumentale ou dite aussi opérationnelle, la plus basique).
- l'interprétation influence la formulation/présentation et peut-être une aide ou une gêne dans certains cas (par exemple, Copenhague est totalement inutilisable en cosmologie quantique où on utilise plutôt par exemple le relationnel ou les histoires consistante).
Si, si (mais je n'ai plus les noms en tête).
Il lui a été reproché d'avoir introduit une telle "interaction instantanée et mystérieuse à distance". On l'a pointé comme étant une hypothèse a caractère métaphysique et un retour au mysticisme précédant la naissance de la science rationnelle (grosso modo depuis Galilée).
Sa réponse a été qu'il se contentait de le constater et de le décrire mathématiquement. Une démarche somme-toute extrêmement moderne.
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