Pourquoi ne pas l'avoir dit dès le début ?
Dans ce cas il faut plus de puissance Scotty. Si le produit de ne pas dépasser une température limite il faut une sonde de contact sur l'IBC et un asservissement.
Si ça ne suffit pas il faut agiter le contenu (si possible) ou augmenter la surface d'échange ; il n'y a pas d'autre solution.
Ce temps de chauffe est du à la transmission de chaleur dans le produit, les parois n'ont que peu d'importance.Envoyé par Nicotik
La forme parallélépipédique est une catastrophe, il est difficile de remuer le mélange au voisinage des parois, les arètes forment des points chauds et le nettoyage pose un problème...
Une cuve cylindrique avec un fond elliptique éviterait les angles vifs, serait facile à malaxer et à nettoyer. C'est pourquoi cette forme est souvent utilisée dans l'industrie alimentaire.
Comprendre c'est être capable de faire.
Le problème ici est qu'il ni possible d'agiter, ni de modifier la forme, vu que le moyen de chauffage doit s'adapter à ce qui existe déjà.
Tout à fait on ne peut changer la forme.
Concernant l'augmentation de la puissance je ne pense pas que cela aura un impact car nous sommes limité par le transfert thermique dans le miel.
Il y aura forcément un impact, l'augmentation de puissance se traduit par une température plus haute.
Le mieux serait d'expérimenter : Il faut placer un manteau actuel sur un IBC de miel, et faire un suivi de la température de paroi. A partir de la courbe tu pourra voir si il est possible d'augmenter la puissance, et sur quelle période de temps.
B'jour,
Je pense à un système de tubes plongeurs. Tubes (inox) verticaux en U ou concentriques dans lesquels circule de l'eau à 40°. Des tubes espacés d'une dizaine de cm en x et y soit une centaine disposés sur une platine.
Quand le miel est figé ils devraient pouvoir s'enfoncer ou même laisser faire le poids et liquéfier le miel au furet à mesure (car ces bestioles mesurent très bien) de l'enfoncement.
Toute partie du produit serait à moins de 10 cm d'une source de chaleur, ce qui n'est pas une grande distance pour une conduction au cas où le produit reste figé plus longtemps que le miel.
Mais si t'as l'gosier, Qu'une armure d'acier, Matelasse. Brassens, Le bistrot.
L'auteur l'a répété plusieurs fois : Rien ne doit entrer dans l'IBC. Par ailleurs il serait difficile de faire entrer beaucoup de tubes plongeurs par une si petite ouverture, et le gain serait insignifiant étant donné la surface d'échange ajoutée.
Dernière modification par RomVi ; 23/12/2017 à 14h02.
Tout à fait, rien de doit rentrer dedans. Mais s'il n'y a pas de solutions, tant pis on laisse tomber. Mais ce que j'aimerais bien pouvoir faire, c'est démontrer avec un raisonnement clair que le problème n'est pas faisable.
Tu as bien lu les messages que j'ai posté ? Il y a une solution, celle d'ajuster la puissance selon la température.
Merci de ta réponse, cependant je ne peux pas expérimenter...
Concevoir un nouveau produit sans expérimenter c'est quand même assez difficile...
