Bonjour,
Il est connu que pour intégrer numériquement les lois de Newtons pour des systèmes conservatifs il est recommandé d'utiliser des intégrateurs symplectiques (qui conservent l'énergie mécanique) comme Verlet-vitesse par exemple.
Si l'on prend l'exemple de calcul orbital on peut voir qu'avec des schémas classiques comme Euler la trajectoire diverge alors que au contraire avec un schéma symplectique on va rester sur la trajectoire attendue.

Ce que je voudrais savoir c'est comment se manifeste l'erreur numérique avec des schémas symplectiques. En effet avec un schéma d'Euler on peut mesurer l'erreur lié à la position (éloignement par rapport à la trajectoire attendue par exemple) mais qu 'en est-il pour les intégrateurs symplectiques. Que doit-on s'attendre à avoir si l'on a des pas de temps trop grossiers?

Merci d'avance pour votre aide

Basphi