Bonjour,
Vous pouvez constater qu'un objet massif, comme un ballon de rugby, auquel on imprime une accélération pour atteindre une certaine vitesse stable, manifeste son inertie I en accélérant "pendant un temps (t) mesurable sur une longueur (L) mesurable". He oui, il n'atteint pas tout de suite "le repos" de mouvement rectiligne uniforme.
Donc d'un côté, pour mesurer l'inertie d'un ballon de rugby, nous avons une [Masse. acc = Force] au numérateur, et de l'autre côté nous avons la conductance espace-temps [L x t], qui est en fait une résistance, puisqu'elle se trouve au dénominateur. Même si cet objet est dans le vide de l'espace, il y aura quand même "demande de temps et d'espace" avant qu'il ne soit stable !
Faisons le calcul de l'inertie d'un objet: I= (M. a / L . t) = M /t3, donc calculé en kilogr/sec3. L'on voit que l'inertie d'un objet n'est pas seulement sa masse, mais aussi une fréquence cube. (n/sec3)associée. Cette fréquence-cube n'est rien d'autre que sa densité d'inertie (I / M).
Cela ne donne pas une autre définition de la masse M, mais on voit que l'on peut la calculer à partir de certaines mesures (il faut manipuler la fonction ci-dessus). De plus, et c'est là que c'est plus intéressant (si vous êtes d'accord avec moi), c'est que toute objet massif, comme ce ballon, possède une contrepartie temporelle, avec un superbe accès dans les 3 dimensions du temps..
Mais au fait, êtes-vous d'accord avec moi ?
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