Pour ma part je dirai :
- herbe ~ 100 m
- goudron ~ 250 m
Sur les voitures électriques effectivement c'est la tendance : des pneus beaucoup moins larges (avec la même adhérence).
\o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/
Bonjour,
Les pertes dites de roulement concernent tout ce qui tourne ... mais sur une voiture, les pertes de roulement sont pour plus de 95 % celles dues à la propagation des déformations des pneus sur le route... donc elles dépendent du poids de la voiture, des pneus, de leur gonflage et de l'état de la route.
Donc améliorer la suspension et utiliser des pneus pleins (sans air) donc sans bourrelet (déformation) réduirait en moyenne de 15 à 20% la force de résistance au roulement et peut être d'une manière identique la consommation de carburant ?Bonjour,
Les pertes dites de roulement concernent tout ce qui tourne ... mais sur une voiture, les pertes de roulement sont pour plus de 95 % celles dues à la propagation des déformations des pneus sur le route... donc elles dépendent du poids de la voiture, des pneus, de leur gonflage et de l'état de la route.
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
Bonjour,
et si on remplace les routes par des rails et que l'on utilise des roues en fer c'est le pérou!
JR
l'électronique c'est pas du vaudou!
Bonjour,
Calcul simple :
Voiture de 1300 kg à 50 km/h de vitesse initiale, moteur débrayé
S*Cx = 0,65
Rho air = 1,29 kg/m³
Sur une bonne route en macadam (ou béton) horizontale.
Sans vent.
On trouve v(t) = 21,55*tan(0,573 - 0,00696t) (avec v en m/s et t en s)
durée avant arrêt : 82,3 s
distance parcourue : 538 m
J'ai trouvé une estimation à 450 m pour une Zoé avec Vo = 40 km/h ... donc un bon ordre de grandeur.
Néanmoins ...
Il y a des dispersions qui engendrent des différences non négligeables :
- sur le coeff de roulement (entre 0,01 et 0,015) pour des pneus "normaux" de voitures sur une "bonne" route.
- sur la valeur de S*Cx
- la vitesse et la direction du vent (qui forcément influencent les essais pratiques)
- La valeur de Rho(air) (environ 1,29 kg/m³ au niveau de la mer, mais environ 1 kg/m³ à 2000 m d'altitude et environ 0,82 kg/m³ à 4000 m d'altitude)
- la non horizontalité de la route (même quasi indécelable au conducteur).
...
Tout cela joue évidemment sur la distance parcourue.
C'est bien une façon simple pour réduire la consommation de carburant en jouant du point mort avant les arrêts ou les ralentissements.
1/2 km de parcouru à très faible consommation (0,5 à 1 L/heure)
800 m de parcouru à 100 km/h uniquement réalisable aux sorties des voies rapides qui le permettent si il y a une longue bande de décélération prévue hors de la bande de circulation.
Dans les descentes par trop raides qui n'emballe pas la vitesse de la voiture, encore des centaines de mètres à parcourir à très faible consommation.
J'ai connu certaine boite de vitesse automatique qui passait en roue libre dès que l'accélérateur était relâché.
Une 2 CV avait même une version à embrayage centrifuge, même effet qu'au point mort une fois l'accélérateur lâché.
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
Sauf que là vous faites le calcul pour un avion...Bonjour,
Calcul simple :
Voiture de 1300 kg à 50 km/h de vitesse initiale, moteur débrayé
S*Cx = 0,65
Rho air = 1,29 kg/m³
Sur une bonne route en macadam (ou béton) horizontale.
Sans vent.
On trouve v(t) = 21,55*tan(0,573 - 0,00696t) (avec v en m/s et t en s)
durée avant arrêt : 82,3 s
distance parcourue : 538 m
A faible vitesse (genre 50Km/h, et c'est d'ailleurs pour ça que j'ai choisi cette vitesse...) la résistance de l'air devient vite négligeable au fur et à mesure de la baisse de vitesse, relativement aux effets de frottement.
D'ailleurs pour celui qui a déjà essayé de pousser une voiture (sur du dur), on se rend compte que les frottements sont importants (sur du plat une voiture ne roule pas loin une fois qu'on arrête de pousser)
Le GPS connait aussi les panneaux. Il suffit de coupler avec le régulateur.
En montagne, le frein moteur est utile si on veut garder ses plaquettes jusqu'en bas de la pente...
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Ben non je n'ai pas fait le calcul pour un avion.Sauf que là vous faites le calcul pour un avion...
A faible vitesse (genre 50Km/h, et c'est d'ailleurs pour ça que j'ai choisi cette vitesse...) la résistance de l'air devient vite négligeable au fur et à mesure de la baisse de vitesse, relativement aux effets de frottement.
D'ailleurs pour celui qui a déjà essayé de pousser une voiture (sur du dur), on se rend compte que les frottements sont importants (sur du plat une voiture ne roule pas loin une fois qu'on arrête de pousser)
J'ai fait le calcul adéquat et résolvant l'équation différentielle facile à déterminer et tenu compte que la variation de vitesse influençait évidemment la force aérodynamique. Et j'ai également tenu compte de la force de roulement (qui est essentiellement due à la déformation des pneus)
Et bien entendu, à faible vitesse (même 50 km/h), on trouve que la force de roulement est prépondérante.
La force de roulement dans mon exemple vaut : F2 = 0,015 * Poids = 0,015 * 1300 * 10 = 195 N
C'est également la force qu'il faut pour pousser la voiture à la main (à vitesse constante) sur sol horizontal en bon état.
La force aérodynamique vaut environ 81 N à 50 km/h ... et décroit bien entendu avec la vitesse (le carré de la vitesse)
On remarquera que les calculs donnent une force moyenne F de ralentissement telle que 1/2.m.Vo² = F*d
F = 1/2 * 1300 * (50/3,6)² / 538 = 233 N forcément comprise entre 195 N (quand v = 0 km/h) et (195 + 81) = 273 N (quand v = 50 km/h)