Bonjour,
j'ouvre un nouveau fil en rapport avec l'interpretation relationnelle de Rovelli.
Il donne comme exemple l'observation de pauvre chat de Schrodinger ou ce qui revient au meme la vérification de la désintégration d'un atome dans la boite.
a l'instant 0 on les met dans la boite (chat, fiole et atome) sous les yeux de Schrodinger et de ses amis.
l'atome évolue avec le temps d'un état e> comme excité vers un étét d> comme désintégré
avec une loi de probabilité d'etre mesuré e> a l'instant t qui décroit de 1 vers 0 selon une exponentielle décroissante exp(-t) pour simplifier.
a l'instant t1 Schrodinger va ouvrir la boite et regarder mais avant il va demander a ses amis de sortir de la piece.
Pour lui la probabilité que le chat soit vivant et la fiole intacte est exp(-t1).
il sauve le chat (s'il est toujours vivant mais laisse la fiole et l'atome et referme la boite.
Pour Schrodinger la loi n'est plus exp(-t) mais exp(-t + t1)
en revanche pour ses amis la loi de départ n'a pas changé . ils pouraient faire des mises en fonction de exp(-t2)
que la fiole est intacte et si l'expérience etait tépétée N fois il y aurait une moyenne de N exp(-t2) fioles intactes
mais Schrodinger meme s'il voit le meme nombre de fioles cassées ou non a l'instant t2 il pourrait parier a coup plus sur avec la deuxieme formule.
C'est pourquoi Rovelli dit qu'il y a une loi pour Schrodinger et une autre pour ses amis lors de la mesure de l'etat du meme atome.
En serait il de meme si a la place d'un atome excité on mettait une particule de spin u> ou d>
avec un champ qui le ferait tourner et qu'une mesure soit faite a rythme réglulier qui ferait casser la fiole si d>
Rovelli n'a t il pas choisi un cas spécial car il n'y a pas de fonction d'onde donnant des amplitudes de probabilités phi(t) pour les désintégration a ce qu'il me semble.
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