Pour considérer la masse comme une résistance, il faut rester au niveau force et accélération comme tu l'as fait :
Le soucis est que que la notion d'accélération ne parle pas bien aux "gens" en général, et je dirais encore moins que la notion de force, déjà pas facile...
Mettre en correspondanceavec
est possible, mais risqué.
Il faudrait dire que la masse est "la résistance à l'accélération", de la même façon que R est une résistance au passage du courant.
Là où le terme est sympa est qu'on additionne les masses comme les résistances.
En série : opération + sur R (ou m) . Je fais une boule avec deux boules :
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En parallèle : opération + sur les inverses de R (ou m) : Je satellise deux boules l'une autour de l'autre :
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Je trouve quand même que le terme "résistance" tout seul est malvenu, même avec des guillemets.
La masse agit sur la vitesse comme une inductance électrique qui agit sur le courant ou comme une turbine hydraulique qui agit sur le débit.
Il y a fondamentalement une intégration entre la cause, ici la force (tension, pression) et la conséquence, ici la vitesse (courant, débit), et donc une mémoire du système (inertie mécanique, électrique, hydraulique), modélisé par la constante d'intégration.
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