Bonjour,
J'ai une question au sujet de la conservation d'energie du photon dans un interferometre.
Je me demande ou va l'energie des photons en cas d'interference negative?
L'ecran de lecture, si on le remplace par un corps noir dissipe thermiquement t-il l'energie des photons?
Si on place 2 interferometres à la suite, reglé avec le meme decalage sur l'un des bras dans le but d'annuler l'interference negative, permet-il de recuperer l'onde EM?
Merci pour vos precieuses indications.
Bonjour,
Si il y a interférence négative en sortie, il y a interférence positive en entrée "le photon ressort par la face d'entrée"
interressant, j'aurais jamais deviner que c'etait le laser qui "dissiperait" l'energie à moins que les photons arrivent à rentrer dans la cavité laser pour repartir pour un tour
Dans un Mach-Zender c'est plus évident: il va d'un côté ou de l'autre du dernier miroir.
D'un point de vue très général, les interférences ne sont qu'une redistribution spatiale de l'énergie incidente. S'il y a une frange sombre quelque part, il doit y avoir une frange brillante autre part. Si la lumière ne sort pas d'un port d'un interféromètre, elle doit sortir d'autres port. Etc...
Merci pour vos reponses claires et concises. J'avais demandé à une IA = une reponse à coté, bien detaillée.
Vous avez saisi le fond de mon interogation!
Existe t-il une experience qui permet à 2 photons polarisé identiquement de se rencontrer frontalement en sens inverse et de former une interference negative.
Déja, est ce possible à cause de l'helicité des ondes EM? Comme c'est impossible de chauffer le vide, à priori ils se croiseraient sans interagir.
Et pourtant si on prend 2 antennes radios et qu'on emet avec 2 signaux en opposition de phase, finalement on peut se demander si çà revient pas un peu à courcicuiter l'ampli RF car la situation est pile à l'opposée d'un retour d'ondes stationaires qui genere une interference positive (rapport d'ondes stationnaires (ROS) ou standing wave ratio (SWR) en anglais).
Le raisonnement semble faux car si on prend 2 pointeurs lasers face à face, à mon avis le faisceau se croise sans interference.
Alors que si on prend l'experience des fentes de young, il ya une distribution spatiale par interference de l'energie des photons sur l'ecran.
De plus quand on regarde une video de reglage d'interferometre de michelson, on voit des interferences concentriques, je supose liée à la geometrie spherique des optiques mais qui ne semble pas montrer que le faisceau retourne vers la source laser.
Les anneaux sont simplement liés à l'invariance par rotation autour de l'axe perpendiculaire aux miroirs.Envoyé par nonoceb
Si vous regardez la sortie, je ne vois comment vous pouvez conclure sur l'entrée.
2 faisceaux lasers contra-propageants vont former une onde stationnaire avec des nœuds et ventres d'intensité lumineuse.
C'est le principe des réseaux optiques dans lesquels on peut piéger des atomes.
https://en.wikipedia.org/wiki/Optical_lattice
Pour les interférences au niveau "photon unique", je peux vous rediriger vers l'effet Hong-Ou-Mandel par exemple.
https://en.wikipedia.org/wiki/Hong%E...3Mandel_effect
ok donc meme si le faisceau laser est parfaitement colimaté, avec des photons parfaitement parallèles on retrouve quand meme une interference circulaire?
Je crois que cette phrase m'a definitivement perdu, çà me fait penser que la mecanique quantique est toujours locale, du moins si on met de coté les intrications d'A. AspectSi vous regardez la sortie, je ne vois comment vous pouvez conclure sur l'entrée.
super, merci coussin pour la lecture
En fait je m'interesse à la propagation de la lumiere car je cherche des indices sur la structure ondulatoire du vide.
J'ai une theorie tres fumeuse pour l'instant, qui consiste à penser qu'un vide galactique est animé par des quantité de mouvement contradictoire et que le vide cherche à s'accorder sur une onde fondamentale en isolant la quantité de mouvement contradictoire dans les protons.
En pensant ainsi, la gravite apparait spontanement sans meme avoir besoin de bosson de gravite ou de masse.
L'effondrement de la matiere dans les etoiles, la radioactivité, la quantique des electrons autour des noyaux devient logique, le tout sans contredire la RG.
La thermodynamique, la chimie, la fusion nucleaire va toujours dans un sens energetique bien particulier et cet histoire de vide qui cherche l'accord sur une fondamentale ondulatoire m'intrigue fortement.
Bref je cherche des indices qui pourrait contraindre ou invalider cette interpretation du vide
Une précision : les "optical lattice" correspondent à des interférences à 1 photon : il y a UN faisceau laser qui se divise.
