Bonjour je dois faire un travaille sur les maladie psychotique, mais je bloque sur un point: le rapport a la réalité dans les troubles psychotique ( paranoïa ; schizophrénie ; maniaco-dépressive ). J’espère que vous pourrez m'aider
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Bonjour je dois faire un travaille sur les maladie psychotique, mais je bloque sur un point: le rapport a la réalité dans les troubles psychotique ( paranoïa ; schizophrénie ; maniaco-dépressive ). J’espère que vous pourrez m'aider
quel genre de "travail" spécifique ?
il y a de la littérature existante sur ce sujet.
Bonjour ansset, c’est un travail de psychologie
Bonjour, on peut aussi rajouter l'héboïdophrénie...mais pour quel type de travail?
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Montrer le rapport à la réalité de chaque maladie psychotique (La schizophrénie, la paranoïa, Maniaco-dépressifs ) voilà la question
Pour une petite dissertation, sur l’analyse de la psychose
OK, tu suis quel parcours actuellement ( Lycée, Fac, école de psy, ...) ?
Le terme "psychose" renvoie souvent à un référentiel psychanalytique lorsqu'il est utilisé dans le cadre des études.
Un peu plus de précisions sur le contexte de la question serait mieux, mais comme apparemment il s’agissait d'un examen, il est à craindre qu'on ne revoit pas l'auteur.
Ce qui m’intéresse dans cette question , c'est ce que cela sous entend une définition du rapport à la réalité en dehors de la maladie.
Quelle est-elle pour autant qu'elle puisse exister formellement?
Non, le DSm se veut a-théorique et n'utilise justement pas les termes "psychose" et "névrose". Dans le DSM on va parler de "trouble de la personnalité paranoïaque " et non pas de "psychose paranoïaque"
Bonjour,
La question est "Montrer le rapport à la réalité de chaque maladie psychotique (La schizophrénie, la paranoïa, Maniaco-dépressifs ) voilà la question "
Du coup ce n'est pas pour philosopher que je me demande si un tel "rapport à la réalité" est définissable comme référentiel car pour autant que les écarts extrêmes et évidents sont facilement identifiables dans certaines pathologies il n'en reste pas moins que ce rapport puisse sembler "normal" chez des individus hautement pathologiques.
merci, et par exemple ce trouble n'est pas relié à celui où la personne se sent le maitre du monde. Dans la psychanalyse ce sont dux psychoses. Dans le DSM elles ne sont pas dans la même catégorie ?
Non ce n'est pas le même trouble
Ce que vous décrivez est ce qu'on appelle "psychose maniaco-dépressive" dans le référentiel psychanalytique ou "trouble bipolaire de l'humeur" dans le DSM.
La crise pendant laquelle une personne se sent le maître du monde est une crise maniaque (rien à voir avec l'excès de propreté)
Non je ne parle pas de ca, je parle en faitpour être clair de la schizophrénie dans laquelle peut se développer des sentiments de toute puissance ou de paranoia (le symptomes peuvent alterné). La schizophrénie apparait-elle dans le DSM elle?
Bonjour
Oui, ce sont les "Troubles du spectre de la schizophrénie et autres troubles psychotiques".
Mais quand il y a délire de grandeur dans le cadre d'une schizophrénie, ce délire est en général beaucoup moins organisé (moins cohérent, moins stable dans le temps) que dans le cadre d'un délire maniaque. Et ce n'est pas le seul symptôme.
Pour info : http://www.psychomedia.qc.ca/dsm-5/2...-diagnostiques
Le DSM est sujet à discussions, est-ce le praticien ou le système de santé qui en font un référentiel?
Voir en particulier cette approche alternative qui me semble intégrer plus de complexité:
http://www.psychomedia.qc.ca/dsm-5/2...ternatif-hitop
Moi on m’a diagnostiqué psychose paranoïaque j’ai du tercian seresta mais sa m’aide pas j’ai arrêté la clozapine mais quand je mange sa bloque dans le cerveau et sa me donne pas denergie
Moi je bloque sur la nourriture j’ai un blocage psychologique
J’ai perdue mon vrai frère jumeau en 2005 et y’a plus que la clozapine mais quand je mange et sa coince sa me donne pas d’énergie quelqu’un pourrait me répondre moi c Christophe
Bonjour,
La meilleure réponse qu'on puisse vous faire est d'en parler à votre psychiatre.
Les traitements ont souvent des effets secondaires, 'est fréquent. Il ne faut pas hésiter à bien les expliquer au médecin qui vous suit pour qu'il puisse ajuster le traitement au mieux.
Lui seul pourra vous apporter les réponses par rapport à votre cas personnel.
Je ferme cette discussion au vu de la règle du forum qui veut qu l'on ne traite pas des cas particuliers ici.