Il n'y a rien de plus subjectif
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Il n'y a rien de plus subjectif
"Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
Rachmaninoff
rhôôô qu'ils sont méchants ces médecins ... à vouloir faire que ce qu'ils veulent sans tenir compte des envies des patients et à vouloir les soigner envers et contre tout.
Finalement, si le monde part en vrille, c'est de leur faute !
Pas tous, certains seulement.
Pas de généralisation hative.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Il y a des trains, des fenêtres, des escaliers et plein d'autres chose qui permettent à tout un chacun de choisir l'heure de sa mort et pourtant ils ne choisissent pas ; étrange, non ?
des escaliers ?
Faut y mettre une sacrée bonne volonté là quand même !
J'ai déjà testé à de multiples reprises les escaliers -involontairement biens sûr - je ne m'y suis jamais cassé le moindre petit doigt -
(Quoique, en CHS, j'ai vu quelqu'un pendu ...au gond central de la porte ... à 1.20 du sol ... comme quoi ...)
Le suicide en France
En France, on dénombre 10 371 suicides en 2010, soit 27 suicides par jour. Plus de 700 personnes tentent de se suicider tous les jours, soit 250000 personnes chaque année. Des chiffres encore sous-estimés en France.
Le suicide au Japon
Le taux de suicide japonais était de 23,6 sur 100 000 habitants et largement devancé par des pays d'Europe de l'Est, comme la Lituanie (38,8) ou la Russie (32,3) par exemple12. Le Japon était alors au 8e rang mondial13.
Les suicides ont atteint le nombre record de 34 427 en 2003
Bah, quand il faut mourir dignement, il n'y a pas à chipoter, c'est la tête la première et les mains dans le dos et puis, qu'est ce qu'on risque, dans ce cas ?
Il y a des gens qui se sont déjà jeté de la fenêtre du rez-de-chaussée ; enfin, au moins deux...
Disons pour revenir au sujet qu'il y a des préludes à la mort plus pénibles que d'autres. Après c'est une question de conviction personnelle de savoir si on préfèrerait une sédation finale avec ou sans arrêt des perfusions, un suicide assisté ou une euthanasie active. La loi évolue lentement sur ce sujet mais il faut aussi comprendre que dans le cas d'une euthanasie active c'est un poids important (que certains jugeront peut-être intolérable) qui repose sur les épaules du médecin.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Alors que ce n'est pas utile dans ce cas (ça me fait penser, paradoxalement, à certains médecins US quand ils ont clamé (!) qu'il fallait un médecin pour superviser la peine de mort).
Je ne comprends pas trop la remarque. Le train et les fenêtre sont souvent utilisés dans ce but.
Les escaliers, c'est plutôt utile pour finir dans un fauteuil. (C'est une cascade difficile et dangereuse.)
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Il voulait juste dire que si, comme vous le dites, la cause principale de l'angoisse de mort, était qu'on ne pouvait pas connaître et choisir l'heure de sa mort, il y aurait beaucoup plus de suicide (permettant ainsi de maîtriser le paramètre "date"), car il y a pléthore de moyens à notre disposition.
Quand quelqu'un veut mourir il trouve toujours la solution. La seule limite en la matière étant l'imagination.
Oui, c'est juste donc pour indiquer que le suicide n'est pas du "à l'angoisse de ne pas connaitre le moment de sa mort" mais que ces gens veulent simplement mettre fin à leurs souffrances (ils ne veulent pas mourir pour mourir dans la plupart des cas, sinon tous mais il ne reste, à leurs yeux, que cette solution) et tout ce qu'on connait des maladies à pronostic limité nous indique le contraire.
Les seuls cas ou les gens se suicident avec l'envie de mourir sont les cas ou il est relié à une croyance plus ou moins délirante qu'il va se passer un phénomène magique après la mort qui ne serait donc pas une fin en soi.
Ou un délire ou idée délirante, qui nous reste peu compréhensible...
C'est la qualification de délire qui est peu compréhensible.
J'ai des activités que certains estiment "normales" et que la plupart des autres estiment "délirantes".
C'est très subjectif, tout comme les raisons subjectives ou intersubjectives de vouloir mettre fin à ses jours.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
C'est une cause possible, pas forcément la principale.Il voulait juste dire que si, comme vous le dites, la cause principale de l'angoisse de mort, était qu'on ne pouvait pas connaître et choisir l'heure de sa mort, il y aurait beaucoup plus de suicide (permettant ainsi de maîtriser le paramètre "date"), car il y a pléthore de moyens à notre disposition.
Pas évident de savoir s'il y aurait plus ou moins de mort avec une hypothèse contra-factuelle.
Certes mais est-il considérer malade ou délirant pour autant?
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
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Rachmaninoff
Par exemple,
Mais aussi les délires mystiques ou non, les personnes ayant des croyances d'une vie meilleure dans l'au delà, ou croyant en une réincarnation en un être divin ou meilleur.
Ou encore certaines personnes convaincues que leur suicide est un sacrifice nécessaire au reste de la communauté pour le bien de celle-ci (cf le cas des kamikazes japonais et autres attentats suicides).
Les cas sont multiples
bjr vep,
tu m'as coupé les doigts sur le clavier.
castratrice , va
Cdt
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Je préfère ça effectivement. Sauf que encore une fois, cette dernière volonté consciente ne sera pas applicable à ceux qui meurent en état de démence, parce que personne ne peut dire à leur place à quel moment de l'évolution de leur maladie ils voudraient en finir.
Et qu'eux-même n'en seront plus capables.
(Réponse à stefjm.)
"Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
Rachmaninoff
La réponse froide de l'informatique est le chien de garde : un truc simple à faire qui s'il n'est pas fait régulièrement entraine la fin.Je préfère ça effectivement. Sauf que encore une fois, cette dernière volonté consciente ne sera pas applicable à ceux qui meurent en état de démence, parce que personne ne peut dire à leur place à quel moment de l'évolution de leur maladie ils voudraient en finir.
Et qu'eux-même n'en seront plus capables.
(Réponse à stefjm.)
A adapter à l'humain?
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
un chien de garde en informatique c'est ça :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chien_d...nformatique%29
Dans le cas présent, cela consisterait à demander régulièrement à la personne de faire une action pour montrer que ses capacités cognitives lui permettent de décider par elle même de vivre ou non .
Mais quelle action permettrait de décider de cela ?
Vu la diversité infinie des cas cliniques, pour trouver le critère qui fera que ..... Bon courage
Tout à fait.
Suivi des veprécisions (350).
Le délire au sens médical du terme, aurais-je du préciser, bien que ce soit les seules références objectivables, qui est objectif, tout comme les raisons de mettre fin à ses jours qui sont clairement objectivées par les intéressés.
Non mais mis à part quelques cas, c'est ce qui est constaté.
Encore une fois, malade au sens médical du terme (qui permet d'objectiver le fait grâce à des critères qui permettent de le déterminer).
Au maximum à ceux qui le choisissent parce qu'il y a une multitude de raisons pour que le couperet tombe alors que l'individu ne le désire plus, quelques soient ses capacités (et qu'il est heureux) car on ne parle pas d'un redémarrage système, la...
Ok merci, je savais pas que ça existait.un chien de garde en informatique c'est ça :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chien_d...nformatique%29
Effectivement, c'est totalement inapplicable à l'humain.
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