Qu'est-ce que la psychologie?
C'est une science?
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Qu'est-ce que la psychologie?
C'est une science?
Bonjour à toi,
Qu'est-ce que la psychologie ? L'étude du psychisme.
Oui, c'est une science. Une science humaine et une science exacte (expérimentale).
Voilà.
Cyrille
Mais... tous les écoles de la psychologie sont d'accord que l'object de la psychologie est le psychisme?
Le behaviorism parle que la psychologie est une science du comportement...
Je me demande comme dans le domaine de la psychologie peut avoir autant d'écoles qui suivent différents projets épistémologiques. Parfois je pense que les écoles se comportent comme si elles étaient disciplines scientifiques independents, parce que elles ne se communiquent pas.
Je pense... Pourquoi il y a une catégorie appelée Psychologie qui inclut la psychanalyse, le béhaviorisme, la gestalt, etc.? Elles ne si communiquent pas ...
Bonjour à toi,
C'est tout à fait pertinent ce que tu dis. Plusieurs remarques:
"le comportement" pour le béhaviorisme est la partie immergée du....psychisme.... Ils sont donc bien dans la psychologie, sauf que dans leur paradigme, ils considéraient qu'ils ne pouvaient étudier que le comportement, que le reste c'était de la foutaise
Dans la plupart des disciplines scientifiques, il existe des divergences dans les projets dans la forme (par exemple, en physique, la théorie des cordes n'est pas nécessairement excessivement appréciée par la communauté des physiciens) mais pas dans le fond (d'où ma définition, volontairement proposée). Il existe aussi des différences paradigmatiques importantes entre la mécanique classique et la mécanique quantique. Pourtant, malgré cette différence, ça fait partie de la discipline "physique".
Donc ce que tu énonces est vrai dans la forme, il existe bien des divergences, des auteurs ont voulu s'attaquer à ce problème (par exemple Daniel Lagache et son Unité de la psychologie), beaucoup d'ouvrages d'étudiants en premier cycle de psychologie en parlent, il n'existe pas à l'heure actuelle de "paradigme fédérateur".
Mais si tu ouvres un ouvrage de psychologie cognitive, par exemple, tu pourras être surpris en voyant que l'ouvrage intègre en son sein "la gestalt" "le béhaviorisme"....
L'APA regroupe toutes ces disciplines:
http://www.apa.org/about/division/index.aspx
Cyrille
bonjour lucasscience
Il y a une partie ou je suis d'accord avec Cyrille 99mais pas tout.A partir de 1985 il y a eu deux études en psychologie,LA FRANCAISE 1966 1972(gestaltisme,béhaviorisme) puis l’américaine ou toutes ces données fort intéressantes étaient bannis,on était en "liberté totale" surtout pour l'enfant.
Certains psychanalystes ont repris la méthode américaine en 1995 et jusqu'en 2000.PUIS FREUD & JUNG est revenu en force a partir de 2000 jusqu’à aujourd'hui pour les américains alors qu'en FRANCE il y a FREUD & LACAN
QUAND a dire que la psychologie est une science exacte je dis non car c'est une spécialité avec une pratique a tiroir qui a 200ans,la seule science exacte est la medecine+ de 8OOans.AUREVOIR
Bonjour. La psychologie fait partie de la médecine (comportement "normal" et pathologique de l'organisme en fonction d'influences extérieures, etc ...), la seule différence relevable est que la médecine organique bénéficie de plus de facilités (données ...) pour tester ses modèles et hypothèses dont, au passage, une partie datant de quelques siècles se sont révélées fausses, pour le reste du message, je ne lis pas que ce soit en contradiction avec ce qu'a écrit Cyrille (??).
BONJOUR
D'abord je tiens a préciser que j'ai répondu a LUCASSCIENCE et non a CYRILLE 999.
Ensuite,au cours des siècles,les médecins ont pu utiliser toutes les nouvelles technologies(physique,chimie ETC)
ce qui a apporter des précisions dont certaines ont pu mettre a mal des croyances ancestrales.Aurevoir
Ok, alors, j'ai donc mal saisi.
C'est bien une partie de ce qui était a comprendre dans mon message (il a bien fallu avoir les moyens de mettre en évidence les erreurs du passé).
"Une science humaine et une science exacte (expérimentale)"
- C'est une science humaine et une science naturel, nom?
-Je suis d'accord que l'object de la psychologie en general c'est ce qui nous apellons de psychisme et que chaque théorie a une manière d'approcher cet objet. Mais, c'est possible avoir une science independant qui est science humaine e science naturel dans le même temp?
- La science moderne a lutté contre les aspects subjectifs, il est possible avoir une science qui étude des aspects subjectifs?
"La psychologie fait partie de la médecine"
"la seule science exacte est la medecine+ de 8OOans"
- La psychologie que je me réfère est la psychologie comme une science indépendante et nom la médicine.
Et pour cause soigner n'est pas qu'un acte scientifique et donc la médecine n'est pas a proprement parler une science...[B]- La science moderne a lutté contre les aspects subjectifs, il est possible avoir une science qui étude des aspects subjectifs?
"La psychologie fait partie de la médecine"
"la seule science exacte est la medecine+ de 8OOans"
- La psychologie que je me réfère est la psychologie comme une science indépendante et nom la médicine.
Quand a la question d'une science des etats subjectif ...... n'est ce pas ce que fait la phénoménologie même si en pratique cela se fait dans une dialogique continue avec l’idée du general ?
Le béhaviorisme est mort depuis longtemps (Certains datant symboliquement la date de la review de Verbal Behavior de Skinner par Chomsky en 1959, http://cogprints.org/1148/1/chomsky.htm), bien qu'il en reste des vestiges (par exemple l’appellation "behavorial science" pour la psychologie en anglais)
On ne peut pas comprendre l'état actuel de la psychologie dans le monde si on ne mentionne pas la révolution cognitive, et l'essor impressionnant des neurosciences cognitives depuis les années 1980 (époque d'où datent à la fois le début d'un fort progrès dans l'imagerie cérébrale et le retour en force des modèles de réseau de neurones formels). Il existe des dizaines de grandes publications internationales de behavioral and brain sciences jusqu'à Nature publiant dans ce courant théorique. La psychologie cognitive est quantitativement et de très loin le premier champ de recherches en psychologie à l'échelle mondiale.
La psychologie tend ainsi de plus en plus à se biologiser (ou plus précisement se neurologiser). C'est un grand courant unificateur de la discipline.
Ceci bien entendu n'enlève rien à l'intérêt d'autres "paradigmes" (selon l'expression consacrée) comme notamment la psychologie sociale, qui diffère tant par ses méthodes que ses objets, et se développe ainsi plus en parallèle de la psychologie cognitive qu'en concurrence (théorique) avec elle.
Pour ce qui est de la psychanalyse, le sujet est très épineux. Soulignons que
1) En grande majorité les psychanalystes publient dans leurs propres revues, à part de toute la psychologie internalionale
2) Les psychanalystes sont assez à l'écart des instances universitaires et de recherche (il n'y a par exemple, à ma connaissance, aucun psychanalyste au CNRS contre des centaines de psychologues)
3) Les psychanalystes n'ont pas tous une prétention à la scientificité, et pour ceux qui l'ont elle est vivement contestée. La psychanalyse se veut avant tout comme une pratique (bien que Freud et ses disciples aient écrits de nombreux ouvrages théoriques sur ce qu'est l'homme, la structuration de son psychisme, etc).
4) La psychanalyse est une "exception" française et argentine (plus largement sud américaine), ce sont des pays où il a une très forte prévalence de psychanalystes - des dizaines de fois supérieurs au reste du monde occidental - mais dans les pays anglophones, c'est-à-dire là où se produit une grande part de la recherche psychologique, la psychanalyse c'est peanut.
Alors là, désolé non et milles fois non.La psychologie fait partie de la médecine
La médecine vise à soigner et bien des médecins et philosophes la conçoivent comme une technique (recourant fortement aux sciences) et non une science.
Mais même à considérer la médecine comme une science, des pans entiers de la psychologie ne rentrent absolument pas dans la médecine (en psychologie sociale, en quoi les expériences de Milgram auraient un quelconque rapport avec un acte thérapeutique ? ou dans la psychologie cognitive, l'effet Stroop ? pour ne piocher que parmi des exemples célèbres). Tout au plus, il existe une intersection entre médecine et psychologie, la psychiatrie - branche qui quantitativement représente un petit domaine de la psychologie - auquel on peut adjoindre la psychologie clinique.
Certes il y a bien plus (en France tout de moins) de psychologues cliniciens que de psychologues expérimentalistes, mais réduire la psychologie à la psychothérapie revient au même que réduire la biologie à la médecine - on éjecte alors la très grande majorité des travaux et savoirs.
Au passage, la psychologie ne relève pas des mêmes institutions universitaires que la médecine ou la biologie, elle dispose de sa propre section du Conseil National des Universités (la section 16), de ses propres diplômes, et de ses propres centres de recherche.
Faire un panorama de la psychologie dans son entier serait l'objet d'un bouquin entier (bouquins qui existent d'ailleurs ), mais à mon sens la psychologie est aussi unifiée que peuvent l'être des disciplines comme la biologie et la physique, c'est-à-dire qu'elle est divisée en de multiples sous-disciplines en fonction des objets de recherche, sous-disciplines qui sont pour certaines traversés par de grands débats théoriques, mais la discipline-mère n'est pas complètement explosée ou un champ de bataille en ruine. Pour reprendre l'exemple plus haut, il n'y a guère plus de guerre entre psychologie sociale et psychologie cognitive qu'entre biologie moléculaire et écologie des écosystèmes ou physique des hautes énergies et physique statistique.
Dire que l'objet d'étude de la psychologie c'est l'esprit ou la psyché c'est tout dire et ne rien dire. La question qui suit inévitablement c'est : qu'est-ce que l'esprit/le psychisme ? Et là il y a bien sûr des désaccord nombreux. Mais de même, si on pose la question à des biologistes "qu'est-ce que la vie ?" leurs réponses divergeront - s'ils en ont chacune une.tous les écoles de la psychologie sont d'accord que l'object de la psychologie est le psychisme?
ça n'empêche pas les uns et les autres de travailler ensemble (ou cote-à-cote). Parce que le biologiste n'a pas affaire à "la Vie" dans sa paillasse mais à telle complexe enzymatique, telle gène de telle espèce, etc De même les psychologues n'étudient pas "L'Esprit" mais telle ou telle capacité cognitive (capacité à lire, à reconnaître des visages, à se repérer spatialement, à acquérir des schémas moteurs, à effectuer des inférences, etc).
Bonjour Wart
Je partage l'idée que la psychologie est bel et bien une science: elle construit son objet et le mesure quantitativement de façon rigoureuse.
Vous dîtes par ailleurs:
Sur le 4) : vous avez entièrement raison pour les pays anglo saxons (Aux Etats Unis Lacan est étudié à l'université de Lettres).3) Les psychanalystes n'ont pas tous une prétention à la scientificité, et pour ceux qui l'ont elle est vivement contestée. La psychanalyse se veut avant tout comme une pratique (bien que Freud et ses disciples aient écrits de nombreux ouvrages théoriques sur ce qu'est l'homme, la structuration de son psychisme, etc).
4) La psychanalyse est une "exception" française et argentine (plus largement sud américaine), ce sont des pays où il a une très forte prévalence de psychanalystes - des dizaines de fois supérieurs au reste du monde occidental - mais dans les pays anglophones, c'est-à-dire là où se produit une grande part de la recherche psychologique, la psychanalyse c'est peanut.
Il faut ajouter à l'autre liste le Benelux, l'Italie et l'Espagne pour l'Europe. Le Maroc qui a vu sa première Ecole fondée en ce siècle. Pour les pays du Moyen-Orient il faut ajouter le Liban (où s'était déroulé le premier congrès international de langue arabe), la Syrie (où elle rencontre des difficultés actuellement) et l'Egypte.
Ceci n'a qu'un intérêt très "sociologique"; il concerne avant tout les paradigmes (et peu m'importerait finalement qu'elle ne fut plus l'affaire que de quelques uns).
3) Vous savez sans doute que je parle avant tout de la psychanalyse lacanienne: celle ci ne saurait, de par son objet même, être une science. Néanmoins cela n'exclut pas du tout la référence à la scientificité (il faut malheureusement le rabacher sans cesse à l'intérieur du paradigme - qui nous offre un spectacle déplorable, et peu de raison d'espérer).
Outre le fait que nous ayons bien retenu la leçon (admirable - celle là) de Popper, dans un texte intitulé "Science et vérité", Lacan insiste sur le fait que nous ayons affaire au "sujet de la science"; pour distinguer celui ci du sujet du mythe ou de celui du discours religieux.
Il ne saurait y avoir de psychanalyse (lacanienne) sans la science. L'idée d'une psychanalyse (lacanienne) d'un homme dit primitif est une contradiction (ce que nous appelons "inconscient", en tant qu'il est le produit de ce que tout le processus de symbolisation exclut nécessairement du fait des limites internes de tout système signifiant, sera par un primitif rapporté à l'oeuvre d'un dieu ou d'un "esprit").
Si une analyse est possible avec un croyant actuel, c'est seulement dans la mesure ou il est "divisé" (partagé, indécis, incertain) par rapport à ses croyances, et que coexistent en lui les effets qu'a imprimé dans l'homme le développement de la science. Un croyant "pur et dur" ne peut faire une analyse (et n'en aura jamais l'idée).
Ce n'est là qu'une des faces de la référence à la science.
Karlp, je ne crois pas. Il y a de grands scientifiques croyants qui n'ont aucun problème ni avec la
Science ni avec la religion.
J'ai l'impression que ce que vous dites n'illustre qu'un point de vue.
À vous entendre la psychanalyse lacanniene s'est fixé comme objectifs et fondements de trouver les armes pour abattre les arguments des croyants.
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Dernière modification par Zozo_MP ; 19/11/2011 à 13h04. Motif: Petit amendement en accord avec Jeerman
Je me permet d'esquisser quelques réponses possibles de Karlp de ce que j'ai pu comprendre de son texte.
Je ne pense pas que Karlp est avancé une quelconque incompatibilité entre pratique scientifique et pratique religieuse.
Je crois que karlp a seulement dit que d'après la psychanalyse lacanienne l'analyse ne peut s'adresser à des personnes entièrement baignées dans la pratique religieuse et n'ayant senti aucun des effets symboliques du développement scientifique, ou dit avec des mots qui ne sont pas ceux de karlp : qui n'ont pas été sociabilisées dans nos sociétés modernes/technoscientifiques.
Dans une interprétation nécessairement déformante (et un peu provocante ), je dirais que karlp nous présente la pratique analytique comme substitut à la religion. Dans la mesure où la religion couvre les besoins de l'analyse (ou plutôt empêche le développement de l'angoisse qui conduirait à l'analyse). Je ne suis pas certain que karlp adhérerait à cette caricature de l'analyste en prêtre des temps modernes
Là encore ce n'est pas ce que comprends. Karlp nous dit plutôt que la psychanalyse est sans effet et même sans objet chez les croyants. Elle ne peut les atteindre et n'a pas de raison de les atteindre, il n'y a aucune prise possible sur leur univers mental.À vous entendre la psychanalyse lacanniene s'est fixé comme objectifs et fondements de trouver les armes pour abattre les arguments des croyants.
Mais, dans un sens je vous rejoins jreeman, je ne suis pas persuadé qu'il fallait évoquer la religion pour montrer en contraste le le lien entre l'analyse et la science. Ou plutôt le mot "religion" recouvre des phénomènes trop variés pour pouvoir être employé dans ce genre de conversation sans danger.
Déjà il n'a pas été question de religion directement le terme n'a pas été evoqué.
Sinon jai compris dans le sens ou jai dit car il ma semble que lhomme croyant a ete presente comme un vestige de ljomme primitif, ca me semblait assez clair dans le message de karlp, dailleurs vous me dites au debut avoir mal interprete le propos mais au final, vous arrivez a la meme conclusion. Par contre, personnellement, moi, je ne recherche pas le confirmation de mon interpretation, peut être à tord mais c'est pas un bien grand mal dans le fond.
Dernière modification par invite7863222222222 ; 19/11/2011 à 11h59.
Je vous suis infiniment reconnaissant, cher Wart, de faire preuve d'une honnêteté intellectuelle qui soit capable de surmonter les sentiments que la psychanalyse peut vous inspirer
C'est exactement cela !Je me permet d'esquisser quelques réponses possibles de Karlp de ce que j'ai pu comprendre de son texte.
Je ne pense pas que Karlp est avancé une quelconque incompatibilité entre pratique scientifique et pratique religieuse.
Je crois que karlp a seulement dit que d'après la psychanalyse lacanienne l'analyse ne peut s'adresser à des personnes entièrement baignées dans la pratique religieuse et n'ayant senti aucun des effets symboliques du développement scientifique, ou dit avec des mots qui ne sont pas ceux de karlp : qui n'ont pas été sociabilisées dans nos sociétés modernes/technoscientifiques.
Détrompez vous: ce que vous dénoncez là est tout à fait juste: les esprits corrompus -et ils ne manquent pas- ne se comportent pas en analystes mais en "prêtres des temps modernes" (en utilisant le transfert à des fins douteuses).Dans une interprétation nécessairement déformante (et un peu provocante ), je dirais que karlp nous présente la pratique analytique comme substitut à la religion. Dans la mesure où la religion couvre les besoins de l'analyse (ou plutôt empêche le développement de l'angoisse qui conduirait à l'analyse). Je ne suis pas certain que karlp adhérerait à cette caricature de l'analyste en prêtre des temps modernes
Mais ceci relève d'un dévoiement (qui ne correspond pas du tout à l'ethique de la psychanalyse: la fin d'une analyse doit conduire à la désupposition du savoir prété à l'analyste par l'analysant.
Autrement dit, la psychanalyse n'offre aucun "salut".
Il y a deux sortes de croyants: ceux qui ne doutent pas et ceux qui sont "divisés". Les premiers ne sont pas concernés par l'analyse. Les seconds le peuvent.Là encore ce n'est pas ce que comprends. Karlp nous dit plutôt que la psychanalyse est sans effet et même sans objet chez les croyants. Elle ne peut les atteindre et n'a pas de raison de les atteindre, il n'y a aucune prise possible sur leur univers mental.
.Mais, dans un sens je vous rejoins jreeman, je ne suis pas persuadé qu'il fallait évoquer la religion pour montrer en contraste le le lien entre l'analyse et la science. Ou plutôt le mot "religion" recouvre des phénomènes trop variés pour pouvoir être employé dans ce genre de conversation sans danger
C'est tout simplement parce que la psychanalyse n'a été possible qu'à partir du moment où la raison s'est libérée
de toute allégeance à une quelconque "Révélation" et que par ailleurs la dite science ait fait la promotion de l'idée que c'est par le langage mathématique et non par un vain questionnement sur la finalité ou le sens qu'il faut interroger la nature (ce qui a permis l'attention portée aux effets du signifiant et a autorisé l'abandon de l'idée mythique d'un sujet doué d'une insondable profondeur). Ce moment historique est celui de Galilée et Descartes (cf. Koyré "du monde clos à l'univers infini")
L'idée que nous nous faisons du refoulement n'aurait jamais pu s'extraire du bourbier mythique, où Freud l'avait en partie laissée, sans la connaissance de l'idée de limite interne d'un système formel que nous devons au progrès de la science
Bonjour Jreeman
Vous invoquez la charte alors que je ne vois pas où Karlp l'enfreindrait.
A contrario nous constatons que la façon dont vous rédigez votre message cela apparaît comme un reproche ad nominem.
Cette forme de reproche (pour en pas dire pique ou attaque) n'est pas toléré par la charte.
Nous vous demandons d'éditer et d'amender vous même votre propre texte pour la bonne convivialité du forum.
Cordialement
Pour la modération
Faim dans le monde. Ne laissez de contributeur "sur leur faim", informez nous
La croyance ne permet pas à mon avis de départage deux types d'individus, un croyant qui ne doute pas pourra un jour douter.Il y a deux sortes de croyants: ceux qui ne doutent pas et ceux qui sont "divisés". Les premiers ne sont pas concernés par l'analyse. Les seconds le peuvent.
Le type de croyance est sociologique non constitutive d'une personnalité. En tout cas ça na pas été prouvé (rasoir dockham permet d'éliminer cette hypothèse "en trop").
En conclusion, non toute démarche psychologique dont se défaire des étiquettes sociologiques qui ne sont que des jugements moraux qui n'ont rien a voir avec la science, à partir du moment ou cette démarche à un rôle et donc des responsabilités au sein de la société.
Raison pour laquelle même si cest tres leger et tres subtil, ce n'était pas une mauvaise intention de votre part, votre message à quand même été signale aux modérateurs "par principe".
Ou avait vu que j'ai dit que karlp avait enfrein la charte ?
J'ai parle de limites avec la charte dans la mesure ou il est fait allusion à dieu et qu'on est jamais très loin de la religion quand on parle de dieu.
Bonjour
Relisez-vous au # 14 et modifiez votre message en conséquence pour le bon fonctionnement du forum.
Cordialement
Pour la modération
Faim dans le monde. Ne laissez de contributeur "sur leur faim", informez nous
Je ne souhaite pas aller contre le bon fonctionnement du forum, désolé j'essaie d'aller doucement dans mes critiques pour ne vexer et toucher personnellement personne.
Je ne peux éditer mon message mais si vous considérez que c'était "trop dur", vous pouvez supprimer le passage.
Merci Jreeman
Cordialement
Faim dans le monde. Ne laissez de contributeur "sur leur faim", informez nous
Ce qui est un point de vue très naïf et extrêmement réducteur des sciences relative aux psychisme après tous si l'on considère que les études cognitive sur le langage les mathématiques ect ont un caractère scientifique (et elles en on un ) alors toute les structures social joue un rôle dans l’évolution générale de l'humain et donc est nécessaire a sa description et a sa compréhensionLa croyance ne permet pas à mon avis de départage deux types d'individus, un croyant qui ne doute pas pourra un jour douter.
Le type de croyance est sociologique non constitutive d'une personnalité. En tout cas ça na pas été prouvé (rasoir dockham permet d'éliminer cette hypothèse "en trop").
En conclusion, non toute démarche psychologique dont se défaire des étiquettes sociologiques qui ne sont que des jugements moraux qui n'ont rien a voir avec la science, à partir du moment ou cette démarche à un rôle et donc des responsabilités au sein de la société.
Raison pour laquelle même si cest tres leger et tres subtil, ce n'était pas une mauvaise intention de votre part, votre message à quand même été signale aux modérateurs "par principe".
Car de toute manière le fantasme d'une pensée objective pousse toute autant le scientifique a vouloir voir les choses la ou il veux les voir
C'est un peux comme le fantasme de certain généticien qui regardes tous les gènes "poubelle" et dise ... ca ne sert a rien ...) C'est complètement stupide c'est la donc de toute manière cela a jouer un role et çà en joueras encore un ...
Comme le disais très bien fayerabend les sciences après tous sont les premières a souffrir de leurs préjuger sociaux ...
Vingt minute a la lire skinner ne peux que nous en convaincre
arrêtez donc de me critiquer a tord et a travers un peu.
Bonjour,
Tout à fait.Envoyé par MyoperLa psychologie fait partie de la médecine (comportement "normal" et pathologique de l'organisme en fonction d'influences extérieures, etc ...), la seule différence relevable est que la médecine organique bénéficie de plus de facilités (données ...) pour tester ses modèles et hypothèses dont, au passage, une partie datant de quelques siècles se sont révélées fausses, pour le reste du message, je ne lis pas que ce soit en contradiction avec ce qu'a écrit Cyrille (??).
Ceci ne remet pas en cause les données validées du behaviorisme ni les travaux de Conrad Lorentz, ni ceux de Charcot.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Martin_CharcotEnvoyé par WikipediaJean-Martin Charcot, né à Paris le 29 novembre 1825 et mort à Montsauche-les-Settons le 16 août 1893, est un clinicien et neurologue français, professeur d'anatomie pathologique, titulaire de la chaire des maladies du système nerveux, membre de l'Académie de médecine (1873) et de l'Académie des sciences (1883). Il est le fondateur avec Guillaume Duchenne de la neurologie moderne, le précurseur de la psychopathologie et l'un des plus grands cliniciens français. Il est également connu comme chef de file de l'École de la Salpêtrière pour ses travaux sur l'hypnose et l'hystérie.
Son approche peut paraitre bien démodée.
La difficulté réside dans le fait de rendre intelligible, aux étudiants et aux chercheurs, le phénomène pensée/action.
Il existe de nombreuses approches, et chacune a ses avantages.
Faire comprendre, c'est à dire transmettre le savoir selon des normes, et comprendre, sont deux choses différentes.
Comprendre un phénomène, consiste à l'observer selon différents points de vue.
Je ne fait que constater .... Cela tiens du fantasme pur et dur de s'imaginer une connaissances dénuer d'influence moral
Voir même c'est dangereux et néfaste pour la science car sa l'encourage a s'imaginer être toujours construite sur des bases saines la ou certain de ses apriories peuvent très bien faire obstacles a des découvertes majeur
Épistémologie de base ... Si vous ne supportez pas la critique en revanche êtes vous sur que vous n’êtes pas plutôt fait pour la philosophie ?Bouveresse devrais vous plaires
Toujours les mêmes sophismes (type homme de paille) critiquant sur des points qui n'ont rien à voir.
C'est pourtant une évidence que vous parlez "à coté de la plaque" il suffit de relire sans interpréter et justement faire de la philosophie.
Dernière modification par invite7863222222222 ; 20/11/2011 à 00h23.
Des découvertes majeurs à nous proposer ?Envoyé par PhnlVoir même c'est dangereux et néfaste pour la science car sa l'encourage a s'imaginer être toujours construite sur des bases saines la ou certain de ses apriories peuvent très bien faire obstacles a des découvertes majeur
l"utilisation de la lunette astronomique par Galilée
l'intuition des quantas par Newton ect ect ect
C'est quasi cyclique dans les sciences les révolutions qu'elle soit techniques ou conceptuel vienne quasiment toujours en contradiction d'une certaine idée dominante