pour quoi buvez vous de l'alcool

[invite8948411f]

bonjour je me demandez pour quoi vous buvez .
j'ai 18 ans est j'ai but pour la premier fois il y a 4 jours un seven ( rhum blanc brun wisky ...je sais plus ) est j'ai aimez les effets parce que je suis une personne extrêmement stress est anxieuse je suis tellement stresse que je manque d'aire ( sensation ) .
est j'aimerais savoir si cela pourrais me faire devenir alcoolique ( mon père buvez énormément est quand on a 15 ans est que l'on voie sont père vomir
partout a causse de la bison ça nous reste dans la tete . )
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[invite778f5451]

Si le fait d'aimer les effets de l'alcool suffisait pour devenir alcoolique, alors 90% des Français le serait. Je pense qu'il ne faut pas trop se stresser avec ça, mais il est bon d'avoir en tête les dangers de la consommation de ce produit et de rester dans une consommation occasionelle.

La consommation d'alcool pour se "déstresser", ou pour répondre à un malaise est une fausse bonne idée. Au début il y a effectivement des effets qui peuvent "soulager" certaines personnes mais la dépendance arrive vite et les problèmes ne s'en trouvent qu'agravés.

En ce qui concerne un stress "sévère", d'autres solutions existent, sans produits (travail sur soi, yoga pourquoi pas, ...). Vous êtes vigilant et c'est bien, vous devriez arriver sans trop de mal à consommer "normalement" de l'alcool.

[invite765732342432]

bonjour je me demandez pour quoi vous buvez .

Il faut déjà se rappeler que l'alcool n'est en aucun cas un médicament, c'est un divertissement.
Si tu justifies ta consommation d'alcool par un "bienfait" sur ton comportement, il peut devenir un besoin pour toi (et qui dit besoin dit dépendance)

Cela dit, il ne faut pas stresser pour autant: des millions de jeunes (dont moi, il y a quelques années) se sont payé des gueules de bois carabinées, voir des blackouts, sans pour autant devenir alcooliques.
Il faut juste rester attentif à ton propre comportement. Normalement, avec l'expérience de ton père, tu devrais être capable de prudence (ce qui est d'autant plus probable que tu te poses déjà la question, contrairement à la plupart)

Le meilleur conseil qu'on puisse te donner est d'apprendre où sont tes limites (qui varient en fonction de ta forme, de ton humeur, etc)
De ne pas stresser si un "accident" arrive, mais de faire en sorte qu'il se reproduise rarement.

[invite231234]

Salut à tous !

Le truc c'est qu'à mon humble avis tant que tu ne te mets à boire tout seul jusqu'à ce que tu sois bourré ce n'est pas maladif !

[A voir en vidéo sur Futura]

[interferences]

Bonjour,

@arxiv: euh je crois qu'on peut quand même avoir une dépendance sans jamais avoir été bourré.

Je pense que je bois parce que c'est bon...les effets je m'en balance un peu du moment que je bois modérément (mm si être joyeux peux sembler agréable être c** est un effet des plus regrettable).

bref :

On peut à ce gourmet
comparer l'honnête homme
Qui face à l'étranger
agit en gastronome !

Allant vers sont prochain pour goûter la saveur
Du sel d'un bel esprit, du sucré d'un bon cœur,
Il fait fi du faciès, du comment-on-s'habille
Et franchit le limes dont se rient les papilles !
(dcdc)

[invite765732342432]

Le truc c'est qu'à mon humble avis tant que tu ne te mets à boire tout seul jusqu'à ce que tu sois bourré ce n'est pas maladif !

Non. Etre bourré, seul, c'est déjà qu'il y a un énorme problème.
Il faut faire attention bien avant d'en arriver à cette extrêmité.

[invite231234]

Non. Etre bourré, seul, c'est déjà qu'il y a un énorme problème.
Il faut faire attention bien avant d'en arriver à cette extrêmité.

OK, mais moi j'en étais arrivé à cette extrémité ...

[invite778f5451]

Les medecins conseillent en général de s'en préoccuper si on ne peut pas passer une journée sans boire un verre et sans en ressentir le "besoin" (le petit verre en rentrant du boulot par exemple, si on le zappe et que cela nous dérange, il faut se poser la question de son raport à l'alcool).

[trebor]

Bonjour à tous,
Ayant suivis de cours sur l'alcoolisme au travail lors des formations de management, j'y ai retenu ceci :

Vous pourriez croire que boire son verre ou sa bouteille tous les jours que c'est d'être alcoolique et bien non, car l'alcoolique c'est une personne qui dès quelle boit ne fusse qu'un seul verre, elle n'est absolument plus capable de s'arrêter, elle va jusque l'ivresse.

Par contre, celui qui boit chaque jour, mais qui sait s'arrêter n'est pas un alcoolique, il est a un stade proche de l'alcoolisme car il en est devenu dépend.

L'alcoolisme est une maladie incurable, seul l'abstinence permet de s'en sortir (sans pour autant en guérir), mais il faut beaucoup de volonté et de courage et surtout se faire aider.

Les femmes sont plus sensibles pour devenir alcoolique que les hommes, mais certain y arrive plus vite que d'autres et certain ne le deviendrons jamais et on ne sais pas vraiment pourquoi, ce qu'on sait c'est que quelque chose ce modifie dans le cerveau et que ce n'est plus réversible un fois qu'on est alcoolique.

Donc faites très attention à votre consommation surtout si c'est journalier et que le besoin augmente de jour en jour, car vous êtes au bord de cette maladie incurable qui détruit des vies et des familles ( travail, familles, argent et puis des maladies liées à l'alcool, cirrhose, cancer,.....)

Bonne après-midi

[invite765732342432]

Vous pourriez croire que boire son verre ou sa bouteille tous les jours que c'est d'être alcoolique et bien non, car l'alcoolique c'est une personne qui dès quelle boit ne fusse qu'un seul verre, elle n'est absolument plus capable de s'arrêter, elle va jusque l'ivresse.

Franchement, c'est du pinaillage sur une définition.

Peu importe de correspondre ou non à la pure définition de "alcoolique".
Ce qui importe, c'est l'impact de la consommation sur la vie sociale et la santé d'une personne.

[trebor]

La définition médicale de l'alcoolisme sans pinailler > http://www.vulgaris-medical.com/ency...lisme-312.html
Bonne journée sans alcool bien sûr ou le moins possible car c'est bien mieux.

[invite778f5451]

Peu importe de correspondre ou non à la pure définition de "alcoolique".
Ce qui importe, c'est l'impact de la consommation sur la vie sociale et la santé d'une personne.

Exactement, et c'est valable pour toutes les addictions. quelqu'un qui boit beaucoup de Café chaque jour sans être énervé et sans soucis cardiaques ne sera pas gêné. Quelqu'un qui boit un Café par jour, qui fait de la tachycardie et devient irritable lorsqu'il n'a pas son café, ou ne peut se réveiller sans, aura des problèmes.

[invite6f9dc52a]

Franchement, c'est du pinaillage sur une définition.
Ce qui importe, c'est l'impact de la consommation sur la vie sociale et la santé d'une personne.

+1, c'est du bon sens : s'il y a problème, c'est qu'il y a problème !

Une définition beaucoup plus opérationnelle : http://www.chuv.ch/cta/cta_home/cta_...dependance.htm

La dépendance à l’alcool est définie par la survenue simultanée pour un individu de trois parmi les sept critères suivants:

1- Tolérance augmentée (tient mieux l’alcool)
2 - Symptômes de sevrage (tremblements, anxiété, sudations, épilepsie à l’arrêt de l’alcool)
3 - Difficultés à contrôler la quantité d’alcool consommé
4 - Préoccupations liées à l’approvisionnement en alcool
5 - Désir persistant et infructueux de diminuer ou d’interrompre la consommation
6 - Répercussions négatives de l’alcool sur les loisirs et la vie sociale
7 - Consommation persistante malgré des problèmes de santé physique ou psychique.

Ex : il y a un problème et l'individu continue : il ne peut pas descendre sous une quantité qui ne poserait pas de problème ou ne veux pas (3 - 5 - 6 - 7).

[invite920ee6ab]

bonjour,

Pourquoi buvez vous de l'alcool ? est la question. Et ça dérappe sur l'alcolisme, le bourré, maladif...et définitions

L'alcool est présent depuis longtemp et dans beaucoup de civilisation (j'ai pas de réference, mais google vous en trouvera, si besoin). C'était la minute studieuse.

Malgré tous les risques cités plus haut, faut quand même avouer que "boire un petit coup c'est agréable". Autour d'un bon repas entre copain ou en famille, il a toujours le vin d'un copain, la goutte à papi, le calvas de tonton...

Pour les excessifs (dont je fais parti, suis pas mormon), une bonne fête ne passe pas forcément par l'alcool mais faut reconnaitre que ça mets du boom au coeur, ça détend, ça libère...ça permait de faire de bonnes rencontres avec des gens a qui vous n'auriez pas forcément parlé et qui ne vous aurez pas forcément parlé sans en avoir un petit coup dans le nez. La france a perdu son triple A, on s'en fout, on est saoul; et vous voilà parti à discuter, vous refaites le monde... C'est sur que ça résoud pas les problèmes (et ça peut en créer, je ne le nie pas) mais ça peut etre un exutoire d'un soir, d'un week-end. Et pis, c'est rigolo d'aller courir tout nu dans la neige (exemple de choses loofoques faites sous l'emprise de l'alcool), offir à votre voisin de festoch' une bonne bière bien fraiche même s'il n'est pas frais et que vous n'ont plus, et je ne sais quoi d'autres. On peut pas nier que l'alcool est socialement implanté (je viens de me faire des ennemis avec cette phrase, c'est pas forcément en bien, mais c'est comme ça),
Alors que celui ou celle qui n'a jamais été boire un demi avec ses collègues après le boulot, ou qui n'a jamais proposé à son facteur une petite mirabelle...me jette la première bière.

Je m'arrête là, après on va dire que je fais l'apologie de l'alcool (alors que je dis juste que l'alcool ce n'est pas que le mal)

het

Ps : la vie tue, à consomner sans modération.

[invite8948411f]

un grand merci de vos réponses .pour si que est de mon stress c'est du stress chronique est on ne sais rien y faire même yoga psychothérapie auto-hypnose ...
ne servent a rien

[invite59f36e67]

Bonsoir Maxime,

Pourquoi il m'arrive de boire ? A peu près les même raisons que les autre quand il s'agit d’alcoolisme mondain et pis le petit verre de temps en temps qui passe bien.

Mais, étant (relativement) névrosé il m'est arrivé de remarquer un certain brouillard cérébral non désagréable lors de la consommation d'alcool, et comme toi j'ai eu peur de me mettre à chercher cet oubli, mais j'ai vite douché cette idée en me rappelant ma dépendance à la clope ... La seule satisfaction qu'elle m'apporte à présent, c'est le soulagement du manque qu'elle a crée, c'est fou non ? Ben c'est le même fonctionnement pour l'alcool et toutes les autres drogues (à des degrés différents évidemment). Donc en fait avec la tolérance vient l’inefficacité de la médication recherché, on ne consomme plus pour mettre fin à son anxiété caractérielle mais pour mettre fin aux affreuses sensations de manque. Quand on y pense c'est relativement idiot comme dépendance mais pourtant on continue à espérer un apport qui s'est fait la malle avec l'installation de la dépendance.

J'ai un schéma qui résume tout ça mais, mettre la main dessus ça va pas être évident.

[invitee19b9e1e]

Bonjour Maxime,
J'ai 20 ans, je fais des soirées bien arrosées tous les weekends (parfois le vendredi et le samedi soir...) mais je ne ressent jamais le besoin ou l'envie de boire de l'alcool en semaine. Je ne pense donc pas que cela fasse de moi un alcoolique ou une personne tendant vers l'alcoolisme tel qu'on le perçoit ( je connaits mes limites). Sache que ce n'est pas la gueule de bois ou un gros blackout qui te conduira sur le chemin de l'acoolisme car à 18 ans, je peux sans trop de pb supposer que cela t'arrivera (si ce n'est pas déjà fait). Sauf si bien sur tu ne participes à aucune soirée (ce qui peut arriver mais qui est dommage socialement à cet age-là).
Sinon pour répondre à ta question innitiale pourquoi bois-t-on de l'alcool, je répondrais d'abord pour faire comme tt le monde et ensuite parce qu'on y a pris goût et que ces effets (une fois alcoolisé ) peuvent être agréables...
Enfin je repéterais la mm chose que tt le monde.
Repère tes limites et surtout NE BOIS JAMAIS TT SEUL....
Bonne journée



Il n'y a que les gens qui ne font rien qui ne se trompent jamais...