Emotion : tristesse - Page 2
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Emotion : tristesse



  1. #31
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse


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    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    Une émotion dite psychoaffective peut elle influencer un individu jusqu'à lui faire ressentir une peur pouvant être défini comme non archaïque dans ce cas, et dont il ne connais pas l'origine => ego + psychoaffectivté.
    De même pour le dégout.
    Rapidement: comme je ne vois pas ce qu'une émotion pourrait être d'autre que "psychoaffective" et que les affects ou tout autre influence psychologique (ou n'importe quoi d'autre) sont susceptibles d'amener ou d'influencer absolument n'importe quel autre affect (ou même action cognitive), par définition ou par construction, une peur peut donc bien en être issue.
    Je ne comprend pas ce que pourrait être ici une peur archaïque ou non archaïque (ce qui les différencierait en tant qu'émotions) mais il est évident qu'un individu n'est pas forcé de pouvoir reconnaitre l'origine de tous ses affects, y compris la peur, ni même de savoir qu'il la subit (c'est même un des boulots des psy de les faire (re)connaitre quand ça devient pathologique ou simplement trop gênant).
    Enfin, l'individu et ce qu'il ressent est la somme de ce qu'il est et de ce qu'il ressent, donc en particulier son égo et la "psychoaffectivité": c'est une tautologie (à moins que quelque chose ne m'échappe).

    -----

  2. #32
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Il s'agit donc d'avoir une définition claire sur le sens que peut avoir les termes "psychoaffectif" et "archaïque" d'après la perception de Philippedelimoges.

  3. #33
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Oui, parce que pour l'étude scientifique de cette spécialité, la psychologie, les émotions sont par définition psychoaffectives, ce qui est déjà une tautologie puisque l'affect ne peut ici être que psychique. Archaïque voulant en général dire "inné et réflexe"/"réaction primaire ou primitive" ; à voir si on veut la définir, par exemple, suivant la partie du cerveau concernée.
    Il vaut mieux donc, je pense, se référer aux définitions qui seront utilisées dans les références qui seront utilisées.

  4. #34
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Avoir donc, si il y a eu malentendu sur ce que l'on intègre dans l'affectif ou l'affect.
    Pour ma part, ce fut le cas. Et je comprend mieux pour quelle raison on ne pas considérer une émotion telle la peur ou le dégout comme non-psychoaffective.
    Dernière modification par soulscryer ; 11/08/2014 à 12h35.

  5. #35
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Concernant le terme "psychoaffectif", je conçois que c'est bien une tautologie. Mais le terme "psycho" me parait nécessaire pour préciser le sens qu'à "l'affectif", dans une démarche scientifique, bien que cela ne saute pas forcément aux yeux du premier coup pour un "non-scientifique".
    Dernière modification par soulscryer ; 11/08/2014 à 13h05.

  6. #36
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    Avoir donc, si il y a eu malentendu sur ce que l'on intègre dans l'affectif ou l'affect.
    Pour ma part, ce fut le cas. Et je comprend mieux pour quelle raison on ne pas considérer une émotion telle la peur ou le dégout comme non-psychoaffective.
    Ça éclaire certains détails. Juste pour me fixer les idées, quelles seraient les émotions qui ne seraient pas (psycho) affectives ?

  7. #37
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Pour ma part, la peur et le dégout sont les plus faciles à envisager dans des cas non liés aux social.
    (Exemple : Peur d'être percuté par une voiture. Dégouté par une odeur.)

  8. #38
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    Pour ma part, la peur et le dégout sont les plus faciles à envisager dans des cas non liés aux social.
    (Exemple : Peur d'être percuté par une voiture. Dégouté par une odeur.)
    C'est à dire qu'une émotion qui n'est pas lié au social (autre individu ou autre organisme vivant) est non affective (pour vous) ?

  9. #39
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Dans un certain sens oui elle est non affective (sens limité)
    Dans un autre elle est affective (sens général)
    Dernière modification par soulscryer ; 11/08/2014 à 18h54.

  10. #40
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    Dans un certain sens oui elle est non affective (sens limité)
    Dans un autre elle est affective (sens général)
    Vous avez raison, il vaut mieux ne pas utiliser ces qualificatifs !

  11. #41
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Je ne sais pas vraiment ce qu'il vaut mieux utiliser ou pas.
    Je pense que l’emploi du terme "affectif" est tout simplement interprété différemment selon le contexte dans lequel l'individu a appris ce terme.
    Sans doute faudrait t'il préciser dans le dictionnaire les différents sens qu'il peut avoir , à moins que ce ne soit qu'une vision toute personnelle.

    Quand je lis "affectif". Je pense à "affection" et le premier exemple qui me viens c'est :"Eprouver de l'affection pour quelqu'un."
    A t'on déjà dis sérieusement "j'éprouve de l'affection pour X", en pensant à la peur ou la colère ?
    Dernière modification par soulscryer ; 11/08/2014 à 19h35.

  12. #42
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    Je ne sais pas vraiment ce qu'il vaut mieux utiliser ou pas.
    Je pense que l’emploi du terme "affectif" est tout simplement interprété différemment selon le contexte dans lequel l'individu a appris ce terme.
    Sans doute faudrait t'il préciser dans le dictionnaire les différents sens qu'il peut avoir , à moins que ce ne soit qu'une vision toute personnelle.

    Quand je lis "affectif". Je pense à "affection" et le premier exemple qui me viens c'est :"Eprouver de l'affection pour quelqu'un."
    A t'on déjà dis sérieusement "j'éprouve de l'affection pour X", en pensant à la peur ou la colère ?
    Moi aussi et affect est différent d'affection.
    Et l'affection n'est pas forcément sympa.
    Bref, c'est a préciser à chaque fois...

  13. #43
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Le langage a ses avantages et ses inconvénients...mais c'est une autre problématique.

  14. #44
    philippedelimoges

    Re : Emotion : tristesse

    Lorsque j'ai utilisé le terme émotion "psychoaffective", j'entendais émotion ou le sujet est acteur affectivement ; autrement dit, où la personnalité psychique de l'individu entre en ligne de compte. Personnalité qui lui est propre, innée et acquise.
    Par émotion "archaïque", j'entendais une émotion réactionnelle instinctive, indépendante de la personnalité psychique de l'individu. Exemple : réaction de dégoût face à une alimentation moisie ; retrait de la main surprise par un contact avec une zone chaude. Dans la discussion ouverte "Bactérie et intentionnalité" (forum biologie), j'interroge justement l'origine de cette émotion que je dis "archaïque".
    Dans un "C'est pas sorcier" consacré aux émotions (visible sur you tube) il est dit que des études par IREM on démontré que pour certaines émotions (ex. surprise, si ma mémoire ne me fait pas défaut) que la réaction physiologique précède la prise de conscience par le sujet.
    La définition des termes est effectivement fondamentale : elle évite des malentendus. Reste que je ne suis pas spécialiste et que j'utilise des mots du langage courant, qui sont sûrement inadaptés.

  15. #45
    philippedelimoges

    Re : Emotion : tristesse

    Myoper, je viens de lire votre définition d'affect. Elle me semble correspondre à ce que j'entends par "émotion psychoaffective".

  16. #46
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par philippedelimoges Voir le message
    Lorsque j'ai utilisé le terme émotion "psychoaffective", j'entendais émotion ou le sujet est acteur affectivement ; autrement dit, où la personnalité psychique de l'individu entre en ligne de compte. Personnalité qui lui est propre, innée et acquise.
    Par émotion "archaïque", j'entendais une émotion réactionnelle instinctive, indépendante de la personnalité psychique de l'individu. Exemple : réaction de dégoût face à une alimentation moisie ; retrait de la main surprise par un contact avec une zone chaude.
    Le problème est que ce qui est archaïque fait bien partie de l'individu, en particulier de son psychisme, donc de sa personnalité ; il faut donc encore définir ce qui ne ferait pas partie de sa personnalité, comme les réflexes (?).
    Il ne faut donc pas assimiler une réaction (dégout, par exemple) plus ou moins construite et faisant intervenir le système nerveux central et le réflexe qui est un arc qui reste médullaire.

  17. #47
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    C'est la distinction que je faisais en parlant de réaction interne (ressentir) et réaction externe (exprimer).

  18. #48
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Je me demande aussi où se situe le contrôle qu'exerce l'individu sur ses réflexes. Si l'on peut dire que le contrôle dépend de sa personnalité, et que les réflexes peuvent être non-controlés ou controlés, ça éclaircirai sans doutes les choses...

  19. #49
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    Je me demande aussi où se situe le contrôle qu'exerce l'individu sur ses réflexes. Si l'on peut dire que le contrôle dépend de sa personnalité, et que les réflexes peuvent être non-controlés ou controlés, ça éclaircirai sans doutes les choses...
    Le réflexe, en tant que boucle réflexe telle que le lien la décrit dans le message 46, n'est pas contrôlable, ni consciemment, ni inconsciemment, même si certains facteurs peuvent influer (c'est anatomiquement et physiologiquement visible). Les réactions ou émotions peuvent se travailler.
    Le contrôle va dépendre du travail effectué qui va forcément dépendre de la personnalité qui va faire ce travail sur les émotions ou réactions qui font déjà partie intégrante de la personnalité.


    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    C'est la distinction que je faisais en parlant de réaction interne (ressentir) et réaction externe (exprimer).
    En effet, c'est encore autre chose qu'il est très important de préciser pour que l'un ne soit pas confondu avec l'autre.

    Citation Envoyé par philippedelimoges Voir le message
    Dans un "C'est pas sorcier" consacré aux émotions (visible sur you tube) il est dit que des études par IREM on démontré que pour certaines émotions (ex. surprise, si ma mémoire ne me fait pas défaut) que la réaction physiologique précède la prise de conscience par le sujet.
    Oui, ou certaines réactions qui ne sont pas des réflexes de type médullaire (freinage d'urgence, par exemple) aussi mais c'est un autre sujet.

  20. #50
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Une réaction externe pourrait donc être le produit d'un réflexe associé ou non à un contrôle.
    Dernière modification par soulscryer ; 12/08/2014 à 15h14.

  21. #51
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    Une réaction externe pourrait donc être le produit d'un réflexe associé ou non à un contrôle.
    Par exemple, mais pas un contrôle du réflexe en question si on parle de réflexe médullaire.

  22. #52
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    J'ai du mal à concevoir un réflexe médullaire associé directement à une émotion, si l'information de ce réflexe ne remonte pas jusqu'au cerveau.
    Une émotion pourrait éventuellement être déclenchée dans un deuxième temps.
    Dernière modification par soulscryer ; 12/08/2014 à 17h59.

  23. #53
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    J'ai du mal à concevoir un réflexe médullaire associé directement à une émotion, si l'information de ce réflexe ne remonte pas jusqu'au cerveau.
    Une émotion pourrait éventuellement être déclenchée dans un deuxième temps.
    L'information, plus ou moins douloureuse, d'ailleurs, donc oui.
    j'avais précisé cette notion à cause de la notion qui avait été introduite ici:
    Citation Envoyé par philippedelimoges Voir le message
    retrait de la main surprise par un contact avec une zone chaude.

  24. #54
    philippedelimoges

    Re : Emotion : tristesse

    Myoper, je vais peut-être dire une grosse bêtise (vous m'en excuserez je l'espère ), mais certaines réactions émotionnelles n'ont-elle pas ce que vous appelez un réflexe "médulaire" ? Autrement dit, la réaction (avec sa stimulation physiologique) précédant la prise de conscience. Par exemple dans le cas de la surprise (cas de moutons fuyant instinctivement à l'approche surprise d'un promeneur non vu). De plus, il m'a semblé que vous considériez l'acte de retrait de la main surprise par une zone chaude non comme un acte émotionnel. Personnellement, je considérais cet acte de retrait comme une manifestation de la peur. Certes, il y a deux temps : la réaction puis l'émotion (au sens classique du terme : conscience renforcée et fortement somatisée). Si, je dis bien si j'ai bien compris, vous considérez cet acte réflexe comme non émotionnel.
    Personnellement, mon ressenti est que cet acte réflexe est une émotion, certes archaïque. Et le cerveau s'en trouve nécessairement acteur (l'hypothalamus, je crois ... si je me souviens bien de ce passage de ce "C'est pas Sorcier" précédemment cité). Mais la partie réflexive (cortex) n'est que dans un second temps stimulée.
    Après cette émotion que je qualifiais d'archaïque a évidemment une extension "psychoaffective" innée (génétique) ou acquise (par expérience ou par imprégnation culturelle). Le dégoût, par exemple, qui, me semble-t-il, est un réflexe instinctif originellement, a des manifestations diverses. Idem pour la peur, où l'expérience et aussi l'aptitude imaginative acquise par l'intellect humain sont vecteurs d'un champs émotionnel diversifié.
    D'où le sentiment précédemment exprimé : les six émotions basiques sont elles pertinentes ? Quid de l'amour ? Quid de l'empathie ? ... La tristesse est-elle un réflexe inné (instinctif) ? J'en doute. On est plus, je crois, dans le champs du psychoaffectif (ou du pathologique comme vous l'avez dit).
    J'espère ne pas avoir dit de bêtises.

    Bien à vous

  25. #55
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Je dirai qu'un réflexe médullaire dépend de l'intensité de l'information reçue. Si celle-ci est trop forte, le réflexe n'est pas médullaire car le message remontera forcément jusqu'au cerveau...

    ou bien alors, si l'intensité est trop forte, l'information produit un réflexe médullaire, mais dans sa continuité remonte jusqu'au cerveau et provoque un prolongement de la réaction...
    Dernière modification par soulscryer ; 12/08/2014 à 21h52.

  26. #56
    philippedelimoges

    Re : Emotion : tristesse

    Soulscryer, pourriez-vous me donner un exemple concret de réflexe médullaire ?

    Bonne nuit !

  27. #57
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par philippedelimoges Voir le message
    Myoper, je vais peut-être dire une grosse bêtise (vous m'en excuserez je l'espère ), mais certaines réactions émotionnelles n'ont-elle pas ce que vous appelez un réflexe "médulaire" ? Autrement dit, la réaction (avec sa stimulation physiologique) précédant la prise de conscience. Par exemple dans le cas de la surprise (cas de moutons fuyant instinctivement à l'approche surprise d'un promeneur non vu). De plus, il m'a semblé que vous considériez l'acte de retrait de la main surprise par une zone chaude non comme un acte émotionnel. Personnellement, je considérais cet acte de retrait comme une manifestation de la peur.
    Ce n'est pas une bêtise ; si une réaction (qualifiée de réflexe) peut être émotionnelle (mais il faut donc la décrire neurologiquement pour que soit bien compris ce dont il est alors question), l'activité réflexe médullaire, elle, ne peut pas être émotionnelle (j'ai mis un lien avec schéma pour que ça ne laisse aucun doute: c'est juste un "cours-circuit").

    Sinon et en général, c'est l'idée, il y a un ensemble de choses, stimulus, informations, réflexes ou pas, perceptions, activités conscientes ou pas, activités cognitives, etc. plus ou moins importantes qui vont se produire. L'émission "c'est pas sorcier" vous a donné quelques pistes mais pour vous éviter de tourner en rond entre ce que vous considérez et ce qui est déjà connu et mis en évidence, vous devriez prendre un bouquin de neuroanatomie fonctionnelle et physiologique simple, puis de psychologie (il faut éviter les trucs compliqués qui risquent d'être interprétés de travers sans les bases correctes pour le faire), en quelques pages, vous gagnerez plusieurs dizaines d'années d'errances.
    Ensuite, vous saurez si votre classement (ou autre idée) a une pertinence ou un intérêt et donc, par rapport à quoi et pourquoi.

    Citation Envoyé par soulscryer Voir le message
    Je dirai qu'un réflexe médullaire dépend de l'intensité de l'information reçue. Si celle-ci est trop forte, le réflexe n'est pas médullaire car le message remontera forcément jusqu'au cerveau...

    ou bien alors, si l'intensité est trop forte, l'information produit un réflexe médullaire, mais dans sa continuité remonte jusqu'au cerveau et provoque un prolongement de la réaction...
    Oui et non (au point ou en est l'état des connaissances) car vous dites que la longueur du trajet dépend "de l'intensité de l'information reçue" alors que c'est le trajet en lui même (la voie neurologique ou les nerfs empruntés) qui va dépendre de cette intensité et remonter plus ou moins haut pour permettre une intégration centrale plus ou moins consciente, plus ou moins rapide avec un certain nombre de rétro-contrôles, d'adaptations physiologiques, etc.
    J'ai donc dit non car en cas de sensation nociceptive, plus l'intensité est grande, plus le réflexe doit être rapide et plus il sera court, donc plus au moins une voie sera la plus courte possible.

    C'est impossible de résumer, il faut lire un peu ; en fonction des types, du nombre et de la façon dont les récepteurs vont être stimulés, l'information ou le stimulus, va utiliser un certain nombre de fibres qui seront autant de voies vers des centres qui vont provoquer des réactions spécifiques (qui vont du réflexe mono-synaptique à l'intégration consciente de la douleur, en passant par un nombre plus ou moins importants de centres qui vont interagir entre eux et donner des réponses de plus en plus complexes).

  28. #58
    myoper
    Modérateur

    Re : Emotion : tristesse

    Citation Envoyé par philippedelimoges Voir le message
    Soulscryer, pourriez-vous me donner un exemple concret de réflexe médullaire ?
    C'est celui-la: http://bilingue.iesvegadelturia.es/arc_ref.htm

  29. #59
    soulscryer

    Re : Emotion : tristesse

    Je crois qu'il y en a eu un plus haut : ce que fait le médecin pour vérifier les réflexes en percutant une zone particulière du genou.

    Si il percute trop fort, je ne sais pas trop si le réflexe médullaire va bien s'opérer, mais ce qui est sure c'est que le patient va souffrir, si il souffre c'est que l'information ne va pas produire uniquement un réflexe médullaire puisque l'information est vraisemblablement remontée au cerveau par un chemin annexe.

    Je ne dit pas que c'est le réflexe médullaire qui est perçu douloureux.

  30. #60
    philippedelimoges

    Re : Emotion : tristesse

    Myoper et Soulscryer, merci pour vos réponses. De plus, j'ai vu la vidéo sur le réflexe médullaire qui est très pédagogique.

    Bonne journée à vous deux.

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