Il y a ces conflits provisoires qu'on appelle dissonances cognitives et qu'on n'appelle pas schizophrénie.
On peut se demander ce qu'il y a d'intrinsèque à l'individu dès qu'on s'est libéré de l'essentialisme. Et il va être difficile de faire abstraction des autres, des relations avec les autres, puisque nous nous influençons mutuellement. vep vous a suggéré un bon chapitre (incontournable) : l'influence sociale.
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
avec un point de départ posé comme une affirmation sans source, on peut dire n'importe quoi.
comment peux tu affirmer que les animaux n'ont pas de maladies mentales ?
Bonjour
C’est très fort comme réplique.
Les animaux n'ont pas de maladies mentales, car aucun cas n’a été signalé.
Il y a des cas de stresse et d’angoisse mais c’est du à des situations ponctuelles de danger.
Par ailleurs s’ils ont des maladies mentales ça ne sera pas de la schizophrène
ben, si tu le dis.
pourtant, ils peuvent souffrir de forme d'alzaimer, d'épilepsie, et j'en passe....
qui sont bien des maladies du système nerveux.
la schizophrénie est essentiellement étudiée chez l'homme, ce n'est pas pour autant qu'elle serait absente dans le genre animal.
mais comme tu persistes à y voir une forme de dysfonctionnement psychanalytique, il est difficile d'en débattre.
Des modèles animaux de schizophrénie ont été créés chez la souris, par la modification de l'expression d'un gène, et les troubles comportementaux observés ont été améliorés chez ces souris par l'utilisation de neuroleptiques atypiques...comme chez l'humain.
http://en.wikipedia.org/wiki/Animal_..._schizophrenia
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2833123/
"Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
Rachmaninoff
Tant qu'on ne pourra pas discuter avec eux, on ne pourra pas en être certain.
Vous êtes en train de nous dire que parce que vous ne voyez pas quelque chose que vous ne pouvez pas voir, cette chose n'existe pas et ça, c'est très fort, comme raisonnement.
http://www.3piliers.com/troubles-du-...ment-du-chien/
A l'inverse, vous postulez que le moi/surmoi que personne n'a jamais constaté, ni directement, ni indirectement, existe chez les uns et pas chez les autres (l'humain est un animal, au cas ou vous l'ignoreriez).
De toute façon, on n'en est plus à une erreur ou approximation près.
Puisque dans la théorie analytique du développement psychique, les psychoses apparaitraient lorsque le sujet n'aurait pas atteint le stade oedipien.
Selon le stade de fixation (pré-anal / anal / oral) c'est un type de psychose différent qui se développerait (schizophrénie, psychose maniaco-dépressive ou paranoïa).
Le surmoi n'est intériorisé qu'ultérieurement, au moment du conflit oedipien, quand l'enfant intériorise les interdits. C'est un stade ou le moi ne serait plus morcelé.
S'il y a donc un conflit entre "ça" et "surmoi" c'est bien que l'enfant aurait un développement psycho-affectif suffisant pour échapper aux pathologies psychotiques.
Dans ce cas c'est une névrose qui serait développée en cas de conflit. Selon le stade atteint, le sujet aurait des angoisses de type différent et mettrait en place des mécanismes de défense et il y aurait donc une pathologie névrotique (névrose d'angoisse, obsessionnelle ou phobique).
J. Bergeret l'explique assez bien : http://schizophrenies.fr/PDF/la_pers...es_de_base.pdf
Mais encore une fois, ce modèle théorique qu'est la psychanalyse est un modèle parmi d'autres et n'a pas fait l'objet d'une validation scientifique pour le moment. A lire avec précautions et regard critique donc.
Bonjour à tous, bonjour vep
Je voudrais vous mettre en garde contre ce qui ressemble ici à une "dogmatisation" psychologisante des "frayages" tentés dans le cadre psychanalytique.
Je ne peux pas revenir sur tous les points qui doivent être discutés. Je m'en tiendrai à celui ci seulement :
1) L'idée de "stade" doit définitivement être abandonnée : elle est sous tendue par une conception finaliste, anti scientifique et normative (et profondément anti analytique).Puisque dans la théorie analytique du développement psychique, les psychoses apparaîtraient lorsque le sujet n'aurait pas atteint le stade oedipien
2) N'importe qui peut constater que les conditions de l'Oedipe sont présentes dès avant la naissance de l'enfant et qu'elles s'imposent d'emblée au petit d'homme (à cet égard il faut également abandonner cette idée idiote selon laquelle l'oedipe consisterait dans le désir sexuel pour le parent de sexe opposé et le désir de tuer l'autre parent).
Il n'y a pas d'explication psychanalytique de la psychose: seulement des hypothèses que des analystes particuliers peuvent former grâce aux patients dont ils s'instruisent - et qu'ils doivent remettre en cause à chaque séance ! (faute de quoi ce sont de dangereux imposteurs)
On ne compte pas le nombre de psychotiques qui ont une conscience morale (= un surmoi) : ce seul fait suffit pour réfuter l'affirmation selon laquelle le psychotique serait complètement étranger à la structure oedipienne (et non pas le "stade"); on se demande comment cette contradiction logique a pu échapper !!!
A la limite pouvons nous indiquer qu'on a pu observer à maintes reprises un rapport particulier avec l'instance d'où s'origine la loi, chez certains psychotiques... c'est d'ailleurs pourquoi la plupart des "psychanalystes" ne veulent pas de psychotique en analyse.
Je voudrais insister là dessus : les analystes (qui me paraissent) sérieux sont en position d'apprentissage par rapport aux psychotiques; ceux qui assument la position opposée sont des "dangers publics" (les mères d'autistes pourraient vous en parler)
Enfin, il n'y aura JAMAIS validation scientifique d'une construction psychanalytique (à moins de céder aux mirages de la métaphore) : la psychanalyse est, par essence, hors du champ de la science : elle s'intéresse avant tout au "sujet" - celui que la science doit oublier pour se développer. Pour le dire autrement, chaque analyse, chaque texte, chaque construction psychanalytique est une expérience résolument singulière: on peut s'instruire de l'expérience d'un autre, mais pas la confondre avec une construction scientifique qu'il suffirait de connaître pour pouvoir l'utiliser efficacement ensuite (c'est là le reproche qu'il faudrait adresser à ceux qui se réclament du titre).
C'est l'inverse qu'il faut penser: le psychanalyste doit connaître les avancées de la science pour éviter de s'égarer
Je pense aussi que c'est une erreur de diviser l'esprit en ça, moi et en surmoi comme le fait le courant psykk. En effet, la plupart de nos comportements font appel à l'ensemble des fonctions de notre cerveau, et on utilise à peu près les mêmes régions cérébrales que ce soit pour respecter les respecter les règles sociales ou pour les transgresser. Les concepts de ça, moi et surmoi ont été créés artificiellement par l'homme et ils ne correspondent pas à l'architecture de notre cerveau.
Ce que je trouve chiant dans la culture psykk, c'est qu'elle "n'analyse" le psychisme qu'en réaction à une autorité extérieure. Elle ne voit qu'une partie de la réalité.
Si à peu près veut dire "le cerveau", c'est vrai mais un certains nombres d'aires cérébrales a quand même commencé a être délimité dans certains cas mais de toutes façons, il existe des théories valides qui n'ont strictement aucun rapport avec l'anatomie du cerveau qui sont quand même valides.
Ces deux sciences sont complémentaires.
Bonjour
J'ai du mal à comprendre le sens de cette phrase. Ou plutôt comprendre où vous voulez en venir.
Pourriez-vous développer votre point de vue ? (Ayez pitié des simple d'esprit )
Je ne faisais que reprendre les explications et points de vue de psychanalystes (pourtant actuels) Comme Jean Bergeret1) L'idée de "stade" doit définitivement être abandonnée : elle est sous tendue par une conception finaliste, anti scientifique et normative (et profondément anti analytique).
2) N'importe qui peut constater que les conditions de l'Oedipe sont présentes dès avant la naissance de l'enfant et qu'elles s'imposent d'emblée au petit d'homme (à cet égard il faut également abandonner cette idée idiote selon laquelle l'oedipe consisterait dans le désir sexuel pour le parent de sexe opposé et le désir de tuer l'autre parent).
Là, je suis d'accord même si vous risquez de vous faire huer en incluant l'autisme dans le champ des psychoses.Il n'y a pas d'explication psychanalytique de la psychose: seulement des hypothèses que des analystes particuliers peuvent former grâce aux patients dont ils s'instruisent - et qu'ils doivent remettre en cause à chaque séance ! (faute de quoi ce sont de dangereux imposteurs)
On ne compte pas le nombre de psychotiques qui ont une conscience morale (= un surmoi) : ce seul fait suffit pour réfuter l'affirmation selon laquelle le psychotique serait complètement étranger à la structure oedipienne (et non pas le "stade"); on se demande comment cette contradiction logique a pu échapper !!!
A la limite pouvons nous indiquer qu'on a pu observer à maintes reprises un rapport particulier avec l'instance d'où s'origine la loi, chez certains psychotiques... c'est d'ailleurs pourquoi la plupart des "psychanalystes" ne veulent pas de psychotique en analyse.
Je voudrais insister là dessus : les analystes (qui me paraissent) sérieux sont en position d'apprentissage par rapport aux psychotiques; ceux qui assument la position opposée sont des "dangers publics" (les mères d'autistes pourraient vous en parler)
Je suis d'accord également.Enfin, il n'y aura JAMAIS validation scientifique d'une construction psychanalytique (à moins de céder aux mirages de la métaphore) : la psychanalyse est, par essence, hors du champ de la science : elle s'intéresse avant tout au "sujet" - celui que la science doit oublier pour se développer. Pour le dire autrement, chaque analyse, chaque texte, chaque construction psychanalytique est une expérience résolument singulière: on peut s'instruire de l'expérience d'un autre, mais pas la confondre avec une construction scientifique qu'il suffirait de connaître pour pouvoir l'utiliser efficacement ensuite (c'est là le reproche qu'il faudrait adresser à ceux qui se réclament du titre).
On est ici dans le champ des croyances et non de la science.
Bien que nous soyons hors-sujet par rapport à la question initiale, je me permets une question :
Quelle différence faites-vous entre autisme et autisme infantile qui permettrait de classer l'un dans les psychose et l'autre non ?
Bonjour à tous, bonjour vep
Cela veut dire très simplement que les écrits de Freud ou de Lacan partent d' expériences sur lesquelles ils se sont appuyés pour tenter de dégager quelques faits de structure: les théorisations doivent toujours être comprises dans un contexte - à la fois clinique et historique- et jamais comme des dogmes. Chaque texte reprend le "travail" et ne le prolonge que partiellement : beaucoup trop d'analystes font comme s'il y a avait une théorie constituée et opératoire - ce qui est à l'opposé même de l'expérience psychanalytique (qui est une mise en question continue).
Je n'inclus pas l'autisme dans le champ des psychoses (et je n'ai aucun avis là dessus) : mon exemple visait à souligner les dangers causés par l'attitude de l'analyste qui prétend plaquer un savoir sur son patient, au lieu de faire l'inverse (s'instruire de ce qui se révèle dans les paroles de son patient).Là, je suis d'accord même si vous risquez de vous faire huer en incluant l'autisme dans le champ des psychoses.
de fait , je me suis appuyé sur la lecture rapide du sujet sur l'autisme dans wiki. ( qui vaut ce qu'il vaut ).
deux points me sont apparus.
-la classification de l'autisme dans la hiérarchie des troubles mentaux semble différente entre les pays anglo-saxons et la france.
-l'autisme infantile semble faire l'objet d'analyse et de prise en charge spécifique, car il serait plus facilement réversible.
c'est bien court comme réponse et je dis celà sous toute réserve.
cordialement.
Bonjour Ansett
La difficulté avec l'"autisme" tient à ce qu'il s'agit là d'un terme qui désigne avant tout un syndrome assez généralement défini. C'est ainsi qu'on a pu ranger sous la même bannière des comportements dont les causes peuvent être très différentes. Pour le dire vite: c'est un mot "fourre tout"qui peut indiquer des troubles dont la cause est manifestement génétique (comme dans la trisomie 21 on constate des traits physiques communs chez les personnes concernées) et d'autres troubles dont la ou les causes est (sont) encore énigmatique(s).
Personnellement, le peu que j'ai pu lire ou voir me porte à penser que la plupart des formes d'autismes est d'origine physiologique (mais j'insiste : je n'en SAIS rien).
Nous sommes ici face au même problème que celui posé par "la" dépression. Le terme désigne un syndrome; mais on doit supposer qu'il existe plusieurs formes bien différentes de "dépression" (chacun ici se doute bien qu'une dépression qui fait suite à une perte n'a pas grand chose en commun avec la "dépression saisonnière", liée à un déficit en vitamine D)
bonjour et merci karlp.
c'est bien ce que j'en retire.
quand aux causes, certains semblent y voir des différences selon l'age d'apparition.
mais je suis bien néophyte pour prolonger cette analyse.
ps : comme beaucoup étrangement, mon pseudo est souvent transformé ( un A majuscule , un seul s et deux t )
je dis celà par respect pour l'auteur de SF qui en est à l'origine.
Amicalement.
[HS: merci pour cette rectification : je ne connais pas l'auteur en question - je poursuis la découverte des oeuvres de K. Dick; le hasard veut que ses romans des années 60, ceux que je lis en ce moment, évoquent beaucoup l'autisme et la schizophrénie - Amicalement ]
HS suite: l'auteur en question est Orson Scott Card, à qui on doit "la stratégie Ender" par exemple ( connu de qcq uns ici ), mais j'adore K. Dick évidemment.
Je vous posais cette question car la différence que vous faites entre autisme et autisme infantile n'est pour moi pas du tout évidente et n'a pas lieu d'être.de fait , je me suis appuyé sur la lecture rapide du sujet sur l'autisme dans wiki. ( qui vaut ce qu'il vaut ).
deux points me sont apparus.
-la classification de l'autisme dans la hiérarchie des troubles mentaux semble différente entre les pays anglo-saxons et la france.
-l'autisme infantile semble faire l'objet d'analyse et de prise en charge spécifique, car il serait plus facilement réversible.
c'est bien court comme réponse et je dis celà sous toute réserve.
cordialement.
A savoir que dans le DSM 5, il n'y a qu'une seule catégorie pour les troubles du spectre autistiques et que parmi les critères diagnostiques il y a le fait que les symptômes doivent être présents dans la petite enfance.
Pour continuer à parler d'autisme, vous pouvez en discuter ici.
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
Je voudrais retourner sur le moi ou le surmoi de la maladie de la schizophrénie ...toutefois si le cœur vous en dit faite à votre oreille et revenez sur le sujet qu'il vous plait autisme ou schizophrénie . Je ne suis pas là pour critiquer ce forum . Il me fais juste plaisir de venir discuter ici .
J'ai à l'égard de la schizophrénie un question qui semble être sans queue ni tête mais qui à du cœur à la raison de l'esprit en véridicité de ce que rapporte Wikipédia .
Wikipédia affirme des choses qui me semble grotesque à propos de voix dans la tête , il est présumé que les voix sont imaginaire .
Pour moi c'est ce mot [imaginaire] qui me plonge au pays d'OZ histoire de compte pour enfant .
Au sens imaginaire est au sens d'inexistence de chose lié à la réalité , en quoi affecte notre société de déclarer des gens être malade de voix imaginaire , es que c'est professionnelle ?
Les neurones eux existes , ce n'est pas une projection de l'être anatomique , il n'est pas convenable d'étayer un diagnostique à l'abstraction de l'imagination !
Le diagnostique est physique mais il dérive au délire , es que la schizophrénie commence ici ?
J'ai du mal à comprendre certaines parties de votre message, Je ne vais donc répondre que sur un point :
Quand il est dit que les voix sont imaginaires cela veut dire qu'elles n'ont aucune réalité à l'extérieur de la tête du patient: elles ne sont pas entendues par les autres, pas enregistrables, mesurables.JJ'ai à l'égard de la schizophrénie un question qui semble être sans queue ni tête mais qui à du cœur à la raison de l'esprit en véridicité de ce que rapporte Wikipédia .
Wikipédia affirme des choses qui me semble grotesque à propos de voix dans la tête , il est présumé que les voix sont imaginaire .
Pour moi c'est ce mot [imaginaire] qui me plonge au pays d'OZ histoire de compte pour enfant .
Au sens imaginaire est au sens d'inexistence de chose lié à la réalité , en quoi affecte notre société de déclarer des gens être malade de voix imaginaire , es que c'est professionnelle ?
Les neurones eux existes , ce n'est pas une projection de l'être anatomique , il n'est pas convenable d'étayer un diagnostique à l'abstraction de l'imagination !
Maintenant, là où vous avez raison, c'est que cela ne veut pas dire que ces voix n'ont pas de réalité à l'intérieur de la tête du patient. Il y a bien certaines zones du cerveau stimulées (le thalamus notamment) lorsque le patient entend des voix. Et il y a une activité neuronale observable (par IRM par exemple).
Salut vep , l'imaginaire c'est éluder (éviter) l'obligation qui ne compose pas avec la réalité . Deux choses une réel et une deuxième , je priorise la réalité , l'imaginaire n'existe pas .
Parler de chose extérieur peut-être d'un ensemble d'un sujet x applicable, mais donc dire que ce son des voix imaginaires et se rabattre sur les paroles de gens atteint me semble alors non approprié pour établir au sens réaliste en tant que professionnel un diagnostique .C'est une perte de temps qui en découlera . Voix imaginaire , signifie en un seul sens que la personne imagine entendre des voix ...
Voilà mon point de vue sur les professions concernés qui appuie avec une interprétation basé sur les relations avec leurs patient plutôt que sur les relations interprofessionnelles malgré qu'il semble être incommensurable ,d'une trop grande mesure au sens social et fondamental .
Il est donc inconvenable s'appuyer sur des choses qui n'a pas à être débattu ici l'imaginaire pour établir un diagnostique ,d'usage de mots qui devienne insensé même à l'éducation et à l'information il devient donc sensible cet usage en psychologie de dire voix imaginaire pour nier voix venant de l'extérieur . Alors il y dépend peut-être une différente nature au sens imaginaire mais pourquoi fondé imaginaire être une élude professionnelle de normalité alors qu'il n'est pas en caractère gras ou avec Astérix de précision , ma l'air d'être une prémisse par cette conclusion(voix imaginaire) qui élude la pratique .Je crois que cette acte d'éluder est en opposition avec l'information à rendre au public .
Sensible et non observable me vient à l'esprit de dire que le diagnostique n'existe pas non plus car il n'a pas la preuve d'une réalité imaginaire . par contre le spin nucléaire au été étudié par I.R.M mais n'est t-il pas laisser la tête vide de résonance si aucun bruitage lors de l'observation par I.R.M . Peut on penser lors de cet examen neurologique ou lors d'exposition au rayonnement ?
Je rentre dans un sujet qui éloigne la foulé et je deviens le moi ou le surmoi si je doute de la psychanalyse ? En physique il est prétendu que le processus de résonance magnétique a sa propre mécanique . Vrai que les I.R.M sert à des fin d'imagerie mais que devient au sens magnétique les neurones et leurs bruit neuronaux lors de l'exposition au rayonnement sur une durée ?
Es que la science à trouvé une deuxième élude ou une autre prémisse ?
Parfois les gens n'arrive pas à me comprendre mais c'est comme le débat de nature social que des gens apporte très souvent sur l'être incompris , nous sommes trop concis !
Donc voilà ce que je reproche au sens de voix imaginaire , il est très fallacieux et facile de se détourner de la réalité jusqu'à la perte de contacte avec la réalité ...ainsi de suite ici il pourrait donc être l'état de psychose . Il serait plus convenable ,plus que parfais de vivre dans ce monde si la vérité avec une fréquence plus intense que le pouvoir sur les gens .
Je ne suis pas sur de comprendre mais de ce que je comprends, au contraire, l'imaginaire est de profiter de ce qui ne compose pas la réalité ou avec et l'imaginaire existe dans l'esprit du patient et a bien une cause mais ne représente pas la réalité.
Oui et le fait que la personne entende des voix qui n'ont pas de réalité en dehors de son fonctionnement cérébral permet un diagnostic approprié par rapport à ceux qui n'en perçoivent pas.Parler de chose extérieur peut-être d'un ensemble d'un sujet x applicable, mais donc dire que ce son des voix imaginaires et se rabattre sur les paroles de gens atteint me semble alors non approprié pour établir au sens réaliste en tant que professionnel un diagnostique .C'est une perte de temps qui en découlera . Voix imaginaire , signifie en un seul sens que la personne imagine entendre des voix ...
Tout comme ceux qui perçoivent des douleurs par rapport à ceux qui n'ont pas mal.
Mais ils s'appuient tout autant sur des relations interprofessionnelles: c'est bien parce que tous ces professionnels feront la même observation qu'ils ferot le même diagnostic descriptif.
Au contraire, c'est le contraire qui serait inconcevable: aucun professionnel ne constaterait la même chose et aucun diagnostic ne pourrait jamais être posé.
Il est vrai que les symptômes peuvent être simulés dans une certaine mesure mais outre qu'il en existe d'autres pour en établir la réalité, ça ne remet pas en cause cette constatation sur ceux qui ne simulent pas.
Étudié tout autant que l'activité imaginaire et vous ne pouvez pas plus me donner un spin qu'un fait imaginaire.
Merci de tes réponses , je reviens en discuter un autre soir . Le sommeil porte conseil ..
Merci ved et merci myoper .