c'est pas un nom c'est une phrase.
Si pour vous, parler de quelque chose c'est en donner un attribut quelconque alors effectivement votre idée est triviale et sans intérêt. C'est trop large, par exemple on peut parler de l'existence des licornes mais elles n existent pas. Parler de quelque chose c'est plus qu'en donner un attribut arbitraire, c'est parler de ce qui fait sa valeur, son fondement.
Dernière modification par Merlin95 ; 21/09/2019 à 18h04.
Les vecteurs en physique sont tellement utilisé qu'ils peuvent acquérir un rôle leur conférant dans une certaine mesure le droit d'être désigné comme existant (suivant un sens scientifique).
Mais comme d'habitude parler d'existence amène à plus de questions que de réponses claires c'est pourquoi il vaut mieux ne pas l'employer.
Dernière modification par Merlin95 ; 21/09/2019 à 22h55.
À résoudre tous les problèmes de la vie. Il suffit de faire le rapprochement entre la théorie et la pratique.
Salut,
Ca marche aussi pour la recette du gâteau licorne (qui contrairement à ce qu'on disait plus haut existe bien ).
On fait comment ? On prend la racine carrée de la meringue ?
De toute façon, la théorie ça ne marche jamais mais on sait pourquoi mais en pratique ça va, même si on ne sait pas pourquoi (merci à Einstein qui avait même réussi à réunir les deux )
Dernière modification par Deedee81 ; 23/09/2019 à 15h02.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Défi retenu.
Comment dites-vous : Monsieur l'extraterrestre, j'ai faim, s'il vous plait donnez-moi votre sandwich ?
Salut
Le néant
Si on en parle, on le détruit car on en fait une entité, on le matérialise, on l'objectalise, on le conceptalise
Or il ne peut l'être
Le nombre d'imbéciles est incalculable,il y a de fortes probabilités que j'en suis
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Salut,
Non, personne n'a été choqué. Je suis sûr par contre que beaucoup ont trouvé ça bêtement sans intérêt.
Pas moi, puisque j'y ait répondu, mais j'ai été amusé, pas choqué.
Sa contraposée est "ce dont on ne peut parler existe".
(EDIT rhoooo, non, pas la contraposée gros bêta, sa négation, évidemment. Désolé)
Ca va être difficile à démontrer
Mais bon, tu peux t'y essayer. Ce forum ludique est là pour s'amuser avec des trucs scientifiques. Lâche-toi.
Dernière modification par Deedee81 ; 02/10/2019 à 08h16.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Il suffit de prendre le problème par le bon bout (ici un raisonnement par l'absurde) :
Si c'était vrai, cela voudrait dire que pour un bébé de 1 an, ne sachant pas encore parlé, rien n'existerait encore.
Tu commets un sophisme assez connu, du style :
"ce qui est rare est cher, ce qui est bon marché est rare, donc ce qui est bon marché est cher"
C'est la même faute.
Ici, tu dis "ce dont on ne peut parler" mais pourquoi est-ce que c'est le bébé qui devrait parler ? On peut parler à sa place, non ?
Et il y a aussi une autre faute, indice : le bébé peut-il parler des licornes ?
(selon ta démonstration, les licornes existent, et là j'utilise la contraposition, pas la négation)
=====> réessaye. J'insiste, pour démontrer que quelque chose est faux, il est souvent préférable de prouver que sa négation est vraie.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Lorsqu'on dit "ce dont on peut parler existe", "parler" n'est pas prendre au pied de la lettre.
Sinon, ce serait un anthropomorphisme (le monde n'existe pas pour les cochons ?).
Parler signifie ici, conceptuellement, qu'il est possible de produire une image interne cohérente (logique) vis à vis des sollicitations extérieures.
Et ça ne s’arrête pas au vivant...
Visiblement tu comprendrais mieux ce que je veux dire, que moi même...
Je vous laisse discuter entre vous, pour ma part je n'ai rien à ajouter à ce sujet, en cas de problème mon exégète est avec vous...
C'était ton idée.
Je me vois mal démontrer la proposition que j'ai indiqué.
Donc, on laisse tomber, ça me va
Ca me fait penser à une actu d'hier : aux Pays-Bas, un perroquet mis en garde à vue. Véridique.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Salut,
Surtout quand pas grand chose a été dit
Je pensais à Voldemort
Quand j'écris en noir je ne suis pas modo, la bonne humeur est toujours de bon aloi et surtout dans ce forum
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Bonjour,
et sinon pour la petite histoire, le perroquet n'était pas plutôt brésilien, assez cocasse cette histoire de garde à vue.
Une chose qui existe: le silence, si on en parle, il n'existe plus !
Bon exemple.
Ca me fait penser à l'onde des particules qui cesse d'exister (et "devient" particule) lorsqu'on interagit avec.
Pour repréciser, à mon sens "parler de", consiste à constater un effet.
Ce qui existe, c'est ce qui est en rapport avec un effet.
De ce point de vue, les licornes existent .... dans la tête de l'esprit imaginatif.
Bonjour,
Je tiens tout d'abord à m'excuser pour la façon peut cavalière dont j'ai quitté le débat.
Et finalement dans le cadre de mes travaux (sur le raisonnement) cela peut être très intéressant.
Avant de commencer je tiens à te dire que je connais le raisonnement mathématique pour le pratiquer (j'ai fait des études poussés (master) de mathématiques).
Je ne vois pas en quoi, je commets un sophisme.
En effet je suppose que : "ce dont on ne peut parler, n'existe pas" c'est à dire "tout ce dont on ne peut pas parler, n'existe", or un bébé de 1 an ne sachant pas parler, ne peut parler de rien, donc (selon cette hypothèse) pour lui rien n'existe.
J'ai détaillé la raisonnement, tu peux me dire où selon toi y aurait-il une erreur ?
Ceci étant dit, je répond à Mulet, sur l'absurdité de "tout ce que l'on peut pas conceptualisé, n'existe pas"
Prends une peuplade d'Amazonie, qui n'a pas conceptualisé l’apesanteur, donc pour eux cela voudrait dire que pour eux l'apesanteur n'existerait pas ?
Bonne journée.
Salut,
En voici trois :En effet je suppose que : "ce dont on ne peut parler, n'existe pas" c'est à dire "tout ce dont on ne peut pas parler, n'existe", or un bébé de 1 an ne sachant pas parler, ne peut parler de rien, donc (selon cette hypothèse) pour lui rien n'existe.
J'ai détaillé la raisonnement, tu peux me dire où selon toi y aurait-il une erreur ?
- Tu dis "selon cette hypothèse"..... alors que l'hypothèse est ce que tu cherches à démontrer (selon ce que tu as dis plus haut). Grave erreur (assez fréquente d'ailleurs, j'en avais vu une il y a longtemps dans un article sur Goldbach dont on m'avait demandé de faire la relecture)
- Subtilité de la langue française, le verbe "parler" a un sens légèrement différent dans les deux expression. Léger mais suffisant (c'est là qu'est le sophisme analogue à celui que j'avais cité, là c'était le mot rare qui changeait de sens)
- Tu as ajouté le "selon lui" qui n'était pas présent dans la phrase a démontrer. Ca c'est parce que tu as commis la grosse faute de travailler avec du langage naturel au lieu du langage formel. Mais bon, dans le forum ludique c'est moins ennuyant que dans le forum de math. Dans ce forum ci on aime bien faire ça
Dernière modification par Deedee81 ; 03/10/2019 à 13h30.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)