En exposant des généralités et en affirmant qu'elles vont s'appliquer au cas particulier, je pense que vous allez un peu vide en besogne.
Donc, le calcul est simple (mais inutile de faire des applications numériques avant d'avoir un modèle qui tient la route).
La poussée totale, son module et surtout son sens, dépend de la différence entre la force d'attraction et la force d'Archimède.
Ce qui est intéressant ici, c'est qu'augmenter la taille du ballon permet à un moment donné (mais inéluctablement...) de compenser la force d'attraction qui est également à l'origine de la "force d'Archimède".
Là, vous me dites, et c'est aussi la première approche que j'ai eu : Oui, mais le ballon va se faire écraser.
C'est vrai... mais après réflexion ça dépend peut-être aussi de quel vide il est question.
La réponse au problème est d'ailleurs connu, il s'agit du principe de la montgolfière (même si dans ce cas on ne ferme pas le ballon, pour des raisons évidentes)
Le principe est basé sur la relation PV=nRT.
Donc, si vous chauffez votre vide (comprenez accélérez les quelques particules dans votre dirigeable au vide), vous produisez une pression qui peu compenser l'écrasement du ballon sans même avoir besoin d'une charpente (c'est plus la membrane qui doit éviter de se rompre en se gonflant (avec transparence variable aux différents rayonnements, ce serait un plus)
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