Oui, on peut même lire des trucs rigolos :"des solutions techniques sont envisagées pour réduire les émissions à la source.
C’est le cas en Nouvelle-Zélande, où le méthane issu des élevages d’ovins et de bovins contribue à 50% des émissions de gaz à effet de serre du pays. Le gouvernement a souhaité en 2003 introduire une taxe sur les flatulences et les rots afin de financer les recherches sur la réduction du méthane. Mais cette «fart tax» ayant été rejetée en bloc par la profession agricole, l’idée a été abandonnée" (source : http://www.journaldelenvironnement.n...pe=JDE&ctx=145)
Il ne faut pas lutter contre tout le méthane (surtout si c'est au prix de dégâts énormes sur les espèces vivant en zones humides), mais lutter contre le méthane d'origine humaine. Comme on ne va pas empêcher les Asiatiques de manger du riz, leur aliment de base, l'idéal est donc de lutter contre l'élevage intensif.Les marécages et autres forêts humides où ça fermente fort et de façon tout ce qu'il y a de plus naturelle existent et j'espère existerons encore longtemps.
Car si on fait la chasse au méthane, il faudrait raser toute l'Amazonie, ce lieu humide et putride, grand producteur de méthane...
Je ne conseille pas de manger plein de porc et de poulet. Je dis que si on tient à garder la viande, mieux vaut le porc et le poulet, mais une ou deux fois par semaine, c'est suffisant. Ensuite, on n'est pas obligés d'acheter les viandes produites de manière dégueulasse (d'autant qu'avec les économies qu'on fait en mangeant moins de viande, on peut s'autoriser du bio).Ensuite conseiller de manger du porc ou du poulet, quand on sait comment la Bretagne est profondément polluée dans touts ces nappes phréatiques (la France est sous la menace de très grosse amendes pour non respect de l'environnement), ça devient grotesque.
En fait, les deux sont à revoir.Comme déjà dit, ce n'est pas tant le type de nourriture qu'il faut revoir, mais la quantité et la façon de la produire.
Nous sommes d'accord.Il est débile de pomper toujours plus profond pour arroser une plante tropicale (maïs) dans des zones faiblement arrosées.
Je ne pense pas que voir la terre comme un filtre soit juste. C'est aussi et surtout un épurateur, grâce aux microorganismes présents. Mais bien sûr, il ne faut pas saturer cet épurateur, donc ne pas lui envoyer trop de pollution, comme en Bretagne.Il est débile de penser que la terre est un filtre permanent aux cochonneries qu'on y déverse. Un filtre, c'est soit à nettoyer de temps à autre soit à usage unique quand on ne sait pas le faire, et c'est le cas de la terre...
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