peut étre la fin du sida?????

[invite9a464dea]

Bonsoir,

De toute les façons même si un remède est trouvé pour combattre le sida, celui ci ne sera pas éradiquer car il y'aura toujours des personnes qui ne se protegeront pas (qu'elles soit hétero ou homos) et le virus réaparaitra forcemment... ou alors il faudrait trouver un vaccin et le rendre obligatoire tel que le BCG, mais d'ici là l'homme remarchera sur la lune, vu la fréquence incroyable de mutations du HIV, l'espoir est faible. Enfin bon on peux toujours espérer quand même
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[b1a2s3a4l5t6e7]

vu la fréquence incroyable de mutations du HIV, l'espoir est faible. Enfin bon on peux toujours espérer quand même

Salut. Non l'espoir n'est pas faible car grace au connaissance actuel on n'a plus besoin de s'attaquer
directement aux virus, car étant donné que l'on sait que
c'est une protéine du corps humain qui empeche le systeme immunitaire des humainn de se féfendre et que des spécialistes savent comment faire pour empecher
cette protéine de nuire alors ce n'est qu'une question de délai avant que les moyens de thérapie soient donné a
tout le monde.
Source: une personne qui m'a parlé en personne
d'une nouvelle de Radio-Canada qui portait sur un congres sur le SIDA qui s'est tenu a Toronto.
Merci de votre attention.

[invite39343aba]

Salut. Non l'espoir n'est pas faible car grace au connaissance actuel on n'a plus besoin de s'attaquer
directement aux virus, car étant donné que l'on sait que
c'est une protéine du corps humain qui empeche le systeme immunitaire des humainn de se féfendre et que des spécialistes savent comment faire pour empecher
cette protéine de nuire alors ce n'est qu'une question de délai avant que les moyens de thérapie soient donné a
tout le monde.
Source: une personne qui m'a parlé en personne
d'une nouvelle de Radio-Canada qui portait sur un congres sur le SIDA qui s'est tenu a Toronto.
Merci de votre attention.

Bonsoir à tous,


Sans vouloir remettre en cause ta source et ses propos, même en admettant qu'il existerait "la protéine cellulaire miracle", il me semble qu'il reste quand même un sacré bout de chemin avant l'éradication du VIH.

Une protéine qui empêche le système immunitaire de se défendre? Si je suis, il faudrait "supprimer" cette protéine pour que le système immunitaire puisse se défendre, en supposant que celui-ci ne se mette pas à attaquer tout et nimporte quoi (non-soi et soi!). Encore plus important, il faudrait déterminer une stratégie ultra spécifique pour inhiber/masquer et/ou détruire cette protéine, sans doute par thérapie génique. Or à l'heure actuelle, nous ne sommes pas (du tout) au point de ce côté-là il me semble, du moins en ce qui concerne les études à l'échelle humaine. (c'est très très beau les manips in vitro, in vivo dans les souris etc.....mais voilà quoi!)


Tout çà pour dire que oui la recherche contre le VIH avance, mais qu'on n'est pas non plus (à moins d'un projet ultra ultra secret, les petits hommes verts?? ) à l'aube de l'éradication du VIH.

Vive l'amour, la force, tout ce que vous voudrez, et les préservatifs!


Bonne soirée
Mumu

[Jean-Luc P]

Le truc c'est qu'il ya bien une reconnaissance gP120 CD4, mais les lymphocytes portent d'autres corecepteurs membranaires nécessaires au virus pour la contamination.Or, ces persones ne portent ce recepteur sur les membranes de leur cellule et effectivement le virus ne peut alors pas injecter son génome dans la cellule. Les persones ne sont donc pas séropositives et je pense que le virus,hors des cellules est vite éliminé

Il s'agit d'une version tronquée du récepteurs aux chimiokines CCR5, présent chez une grande proportion (10% je crois....) des indo-européens (la race caucasienne dans les publis). Par contre pas de trace d'une protection par défaut de CXCR4 qui est utilisé dans les étpaes plus tradives du développement de l'immunodéficience.

[Jean-Luc P]

Il y a d'ailleurs eu pas mal de recherches pour pouvoir enlever toute trace de CCR5 dans l'organisme par thérapie génique à effet limité dans le temps, ou des approches similaires mais aucune n'a porté de fruits.

Le but aurait été de faire un traitement pour éviter la primo-infection en cas de comportement à risque, un peu comme la pilule du lendemain pour la grossesse.