Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Nous prenons le problème comme il se pose. Aucun dirigeant de ce monde (= dirigeant politique, économique, religieux, ONG, institutions internationales, etc.) n'envisage une politique eugéniste / malthusienne visant à gérer la population comme un stock à réduire à marche forcée en fonction de certains critères de sélection en natalité / mortalité. Les Chinois le font un peu avec un succès très relatif et ils envisagent d'ailleurs de revenir dessus.Nous avons de l'énergie en quantité suffisante; le problème est que nous prenons le problème à l'envers : en ramenant la taille du cheptel humain à un niveau raisonnable (< 10^9 unités), les problèmes disparaissent.
C'est pour cela que je considère comme plus que bizarre toutes les discussions ne prenant pas en compte ce paramètre.
Partant de ce constat que personne n'envisage la chose (hormis de minuscules mouvements militants sans influence réelle sur la décision, et donc la démographie) , il est douteux qu'avant 2050 ou 2100 il se passe quoique ce soit en ce domaine. On est dès lors obligé de prendre ce critère comme une contrainte plus ou moins imposée à notre réflexion, avec l'équilibre "spontané" prévu par les démographes quelque part entre 9 et 12 milliards d'humains.
Pour être exact et ne pas donner une information fallacieuse, ce n'est pas le cas pour les scientifiques compétents dans le domaines, ou à de très rares exceptions.
Par exemple, un biologiste, même prix Nobel, n'a pas compétence pour donner son avis et si on prend l'avis du participant lambda qui ne comprend reien à la démarche scientifique....
A lire evrardo, on comprend par exemple, que le soleil doit être une boule au dessus de sa maison et il n'est pas imaginable qu'un événement lointain puisse en perturber le rayonnement ou les effets (et on a bien compris que si les résultats scientifiques du GIEC n'étaient pas pour lui dignes de confiances, ses propres résultats de ses propres recherches menées on ne sait ou, représentaient une, sinon la, source scientifique de référence).Pourquoi le faites-vous vous-même alors que le GIEC réunit des spécialistes dont le travail est de faire la synthèse de toute la littérature à ce sujet??? Cf rapport spécial de 2012 sur les événements extrêmes (SREX) et le rapport Vulnérabilité (WG2) de l'AR5 2014. Leur lecture incite à la prudence, non?Vous pouvez le vérifier par vous même, ce que j'ai fait: j'ai analysé toutes les catastrophes climatiques depuis 1900: il n'y a pas plus de cataastrophes climatiques que dans le passé.
Il y a même proportionnement moins de décès, parce qu'on arrive mieux à prévoir les évènements, à protéger les populations.
Les cycles de l'eau, du carbone, de l'azote, du phosphore, etc. n'ont pas une carte d'identité les assignant à un territoire donné. Les flux mondiaux d'énergie et de MP non plus (comme les flux de capitaux, biens, services, humains). Idem pour les émissions de GES, de CFC, d'aérosols. Il est par ailleurs frappant d'observer que les mêmes causes (développement techno-économique) produisent les mêmes effets partout (positifs ou négatifs d'ailleurs), l'Asie répétant ce que l'Occident fit au XIXe siècle. Bref, vous en tenez à une approche "par pays" qui ne fait pas beaucoup de sens au regard de la réalité des phénomènes dont nous parlons.Dans tous les cas, je n'ai jamais dit qu'il n'y avait pas de pollution, pas de crise de l'énergie, pas de risques climatiques. J'ai dit qu'il ne fallait pas mondialiser le problème, parce que c'était très différent pour chaque pays.
On est plus proche de la douzaine que de la demi douzaine mais vous ne les avez pas plus remarquées, lues ou comprises que vous n'avez remarqué, lu ou compris que je n'avais fait aucune prévision catastrophiste.
Bien entendu, quand je vous ai demande votre point de vue sur cet effondrement de civilsation, vous m'avez répondu à peu près que je n'avais pas les connaissances scientifiques pour répondre.
Ainsi vous ne prenez aucun risque. Moi je donne mon avis et accepte de prendre des coups de batons.
Vous aussi vous faites partie de ceux qui veulent "gérer" la planète!Si on raisonne à TRES long terme, on tombe sur des problèmes redoutables : gérer le climat (par exemple empêcher les glaciations), savoir détourner un géocroiseur menaçant, savoir gérer une éruption volcanique géante, ou encore une supernova proche qui nous inonde de radiations mortelles ... par exemple.
Quelle prétention!
Vous voulez gérer le climat! Comme tous ceux du Giec d'ailleurs. Alors que c'est d'abord le soleil qui dirige le climat sur Terre. A moins que vous ne vouliez gérer le soleil aussi. Remarque, cela doit être possible puisque vous voulez aussi gérer les radiations mortelles d'une supernova.
Vous voulez gérer une glaciation?Alors que cela vient essentiellement de cycles très longs dépendant de la position de la Terre par rapport au soleil et autres facteurs orbitaux.
Un petit frisson de la croute terrestre détruit en quelques secondes des villes qu'on a mis des centaines d'années à construire.
Ce n'est pas la Terre qu'on peut gérer, ni le climat, ni le volcanisme. C'est uniquement notre façon de nous adapter à ce qui pourrait se produire: savoir prédire les séismes à temps, savoir prédire les variations solaires, repérer à temps un géocroiseur pour le devier.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Re-,
Je ne « veux » rien … Dans mes dernier propos, je me place dans le cadre d’une Humanité qui a surmonté les problèmes actuels (CO2, MP, nourriture, population), et dispose d’énergie à profusion.Vous aussi vous faites partie de ceux qui veulent "gérer" la planète!
Quelle prétention!
Vous voulez gérer le climat! Comme tous ceux du Giec d'ailleurs. Alors que c'est d'abord le soleil qui dirige le climat sur Terre. A moins que vous ne vouliez gérer le soleil aussi. Remarque, cela doit être possible puisque vous voulez aussi gérer les radiations mortelles d'une supernova.
Vous voulez gérer une glaciation?Alors que cela vient essentiellement de cycles très longs dépendant de la position de la Terre par rapport au soleil et autres facteurs orbitaux.
Un petit frisson de la croute terrestre détruit en quelques secondes des villes qu'on a mis des centaines d'années à construire.
Ce n'est pas la Terre qu'on peut gérer, ni le climat, ni le volcanisme. C'est uniquement notre façon de nous adapter à ce qui pourrait se produire: savoir prédire les séismes à temps, savoir prédire les variations solaires, repérer à temps un géocroiseur pour le devier.
Dans ce cadre, avec des dizaines de millions de chercheurs, il me semble possible de connaître suffisamment bien les mécanismes atmosphériques et marins, les cycles naturels, etc. pour commencer à savoir influencer le climat (on essaie aujourd’hui, avec un certain succès – voir la couche d’ozone … - en limitant ou tentant de limiter les émissions de CFC ou de CO2) ou même prévenir une éruption volcanique.
Pour moi, technicien, il est toujours possible d’établir un cahier des charges, et si on dispose d’énergie illimitée, on peut faire énormément de choses. Je ne sais pas ce que sera la civilisation de l’an 2500 ou 3000 (si l’Homme existe encore …) mais ce sera certainement TRES surprenant.
Dans ce cadre, je maintiens qu’une glaciation, ce n’est pas marrant … Et donc, que l’éviter est un « projet humain » acceptable …
Amitiés,
Jean
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Je supprime mon message, suite à celui de Cendres...parce qu'il attaquait avec un peu trop de virulence le Giec. Hors sujet.
Dernière modification par evrardo ; 03/06/2014 à 18h06.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Je ne sais pas si c'est prétentieux, mais en tout cas la planète est déjà gérée.
A l'échelle de la France par exemple, n'ayez aucun doute sur le fait que dans la moindre forêt, on gère la pousse des arbres aussi bien que les variations de population animales
Ne croyez pas vivre ailleurs que dans un monde d'hommes.
C'est ce que fait une civilisation technologique et c'est rendu d'autant plus nécessaire par ceux qui exploitent la planète jusqu'à ce qu'elle ne devienne plus habitable ; en se basant sur l'économie, par exemple, alors qu'une exploitation raisonnée en fonction des conséquences et des besoins réels et constatés aurait pu l'éviter ou tout au moins limiter fortement les dégâts.
Et cette prétention est réclamée par, par exemple, tous ceux qui veulent des espaces verts entretenus et choisis, des cours d'eau qui ne débordent pas, utilisent un ordinateur, une voiture, se font soigner, vont faire leurs courses etc. car il leur faut des infrastructures routières, fluviales, électriques, hertzien (sol et satellitaire), habitables et autres bâtiments, etc. de plus en plus lourdes et il est exigé qu'elles fonctionnent de mieux en mieux et soient de plus en plus protégées, quelle que soit la météo ou autres événements.
Donc en fait, cette prétention, elle découle de nos exigences et en particulier la mienne et la votre aussi, par exemple.
Par contre, le GIEC ne prétend rien: il vous dit que mes et vos exigences et consommations outrancières de civilisé technologique, si elle continue de la même façon, va amener des problèmes et possiblement la fin de votre civilisation.
Je prends le risque de voir ce message déformé et détourné aussi et c'est encore ce qu'il se passe.Bien entendu, quand je vous ai demande votre point de vue sur cet effondrement de civilsation, vous m'avez répondu à peu près que je n'avais pas les connaissances scientifiques pour répondre.On est plus proche de la douzaine que de la demi douzaine mais vous ne les avez pas plus remarquées, lues ou comprises que vous n'avez remarqué, lu ou compris que je n'avais fait aucune prévision catastrophiste.
Ainsi vous ne prenez aucun risque. Moi je donne mon avis et accepte de prendre des coups de batons.
Donc il prétend bien quelque chose, alors ?
Mais en aucun cas de "gérer le climat"...nous ne sommes pas encore sur Coruscant...
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Je n'ai absolument pas cette exigence, je suis un peu plus humble que cela.Et cette prétention est réclamée par, par exemple, tous ceux qui veulent des espaces verts entretenus et choisis, des cours d'eau qui ne débordent pas, utilisent un ordinateur, une voiture, se font soigner, vont faire leurs courses etc. car il leur faut des infrastructures routières, fluviales, électriques, hertzien (sol et satellitaire), habitables et autres bâtiments, etc. de plus en plus lourdes et il est exigé qu'elles fonctionnent de mieux en mieux et soient de plus en plus protégées, quelle que soit la météo ou autres événements.
Donc en fait, cette prétention, elle découle de nos exigences et en particulier la mienne et la votre aussi, par exemple.
Plutôt que "gérer" la planète, il vaut mieux s'y adapter.
Je vous rappelle que l'humain n'occupe que 4% de toute la surface de la Terre, en comptant toutes les surfaces cultivées. Et on ne compte pas en volume, parce qu'il faudrait aussi faire intervenir l'atmosphère et les océans. Dont les volumes se chiffrent en milliards de km3.
C'est facile à gérer.
On ne sait même pas réagir aux mini tempêtes de cet hiver qui ont causé de gros dégats et certains veulent "gérer" la planète.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Tout ce fil vous prouve de toutes les façons possibles que ce n'est pas le cas.
Et hop, c'est reparti et avec ses 4%, il a pollué l'intégralité de l'atmosphère, une grande partie des océans et presque tout le reste des terres émergées est impactée, le tout d'une façon ou d'une autre, plus ou moins et ça, en en occupant seulement 4%. Votre chiffre ne promet rien de bon...
Mais encore une fois, vous confondez la cause et ses effets.
Si par exemple, un homme en tue 7 milliards, ce n'est rien, puisqu'il est tout seul et isolé, n'est ce pas ?
Dites Myoper, vous avez une forte tendance à changer de sujet dans le sens qui vous arrange.Et hop, c'est reparti et avec ses 4%, il a pollué l'intégralité de l'atmosphère, une grande partie des océans et presque tout le reste des terres émergées est impactée, le tout d'une façon ou d'une autre, plus ou moins et ça, en en occupant seulement 4%. Votre chiffre ne promet rien de bon...
Mais encore une fois, vous confondez la cause et ses effets.
Si par exemple, un homme en tue 7 milliards, ce n'est rien, puisqu'il est tout seul et isolé, n'est ce pas ?
En l'occurrence le dernier sujet abordé dans ce fil était "gérer la planète". Et non pas "l'influence de l'humain sur la planète". Ce n'est pas du tout la même chose.
Donc j'affirme que l'humain n'occupant que 4% de la planète est très loin d'être capable de la gérer. Et ne le sera sans doute jamais. Ok, il ne faut jamais dire jamais.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Je vous laisse la responsabilité de vos divinations et je vous démontre encore que vous confondez encore une fois les causes et les effets: un propriétaire terrien peut ne représenter qu'un dix millième de la surface de son exploitation et la gérer parfaitement.
Edit: personnellement, j'occupe 1% de mon habitation et je la gère parfaitement.
La surface occupée par les habitants n'a ici aucun rapport avec leurs possibilités de gestion et peut ne pas influencer leur impact ; qu'est-ce que vous ne comprenez pas, dans ces phrases ?
Dites, evrardo, vous semblez pas comprendre que les deux choses sont liées ?
Plus l'influence est grande, plus la gestion doit être rigoureuse si on veut que l'environnement soit durable pour les habitants, c'est pourtant d'une évidence rare à comprendre, non ?
Occuper X% de la surface d'une planète par une espèce ne présage pas forcément des conséquences de cette occupation de ladite planète. Tout est une question de moyens et de capacités de l'espèce considérée.
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Donc, puisque Myoper n'occupe que 1% de sa maison, mais il la gère parfaitement. Alors l'humain qui n'occupe que 4% de la planète peut aussi la gérer parfaitment.
Et bien, on va aller loin avec de tels raisonnements!
Je n'ai pas parlé des conséquences de l'occupation de la Terre, mais bien de la gestion de la Terre. Ce n'est pas du tout pareil. Mais c'est lié!
D'ailleurs tous vos commentaires précédents ne tiennent plus: puisque si on peut gérer la planète, alors on ne craint plus rien.
C'est bien l'inverse qui se produit, selon vous: c'est parce qu'on ne peut pas gérer la planète, qu'on risque l'effondrement. Selon certains.
Dernière modification par evrardo ; 03/06/2014 à 22h12.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Vous n'occupez concrètement qu'une partie de votre maison et de votre jardin, pourtant vous essayer de "gérer" l'ensemble. Ou, puisque vous aimez raisonner par Etats-nations, les Français n'occupent qu'une partie de leur territoire national, mais ce territoire national est pourtant géré, il n'est pas en friche sauvage (on ne laisse pas les rivières, les forêts, les champs, les littoraux, etc. à eux-mêmes).En l'occurrence le dernier sujet abordé dans ce fil était "gérer la planète". Et non pas "l'influence de l'humain sur la planète". Ce n'est pas du tout la même chose.
Donc j'affirme que l'humain n'occupant que 4% de la planète est très loin d'être capable de la gérer. Et ne le sera sans doute jamais. Ok, il ne faut jamais dire jamais.
Mais "gérer" est un mot polysémique, cela ne veut pas dire s'occuper de chaque mm^2 en détail, même la maison que vous êtes supposé "gérer", vous ne suivez pas en détail l'évolution de chaque matériau à chaque instant. Quand vous empêchez une substance de se déverser dans l'océan ou quand vous interdisez la pêche d'une espèce océanique, on peut dire que vous prenez soin de (="gérez") l'océan (et les milieux océaniques), même si par ailleurs l'océan est bien pus vaste que l'effet de votre modeste action.
Plus nous aurons d'information sur l'état réel et global des milieux, plus nous prendrons de décision à leur sujet, et ce sera une forme de gestion. Ca l'est déjà mais c'est très rudimentaire parce qu'on n'a pas beaucoup de mesures sur les milieux (hélas).
Non, vous déformez mes propos et ne comprenez pas l'évidence: c'était juste pour vous montrer par une très simple image que le pourcentage d'occupation n'avait pas de rapport avec la capacité à gérer cette surface.
La gestion de la planète est précisément une des conséquences possibles et c'est une de celle dont il est question ici.
Encore une déformation des propos ou une incompréhension totale des évidences soulignées puisqu'on vous montre simplement que votre raisonnement est complétement faux et ne vaut rien.
Ben oui, c'est lié..."gérer", c'est notamment s'occuper des effets des conséquences de notre présence, non, ou alors tu vas réinventer le terme "gérer", qui faute de précision de ta part, est un terme fourre-tout (mais très à la mode médiatiquement) ?
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Oui, autant pour moi. J'avais mal interprété ce terme, dans ce cadre précis.
Puisque "gérer" signifie "administrer, diriger".
Mais alors "gérer la planète" ne sont pas les termes les plus appropriés. Il serait plus juste de dire "gérer l'humanité".
Dernière modification par evrardo ; 04/06/2014 à 08h29.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Alors il faut dire "gérer l'humanité pour que la planète demeure habitable pour eux, le plus longtemps possible dans les meilleures conditions possibles" mais ce n'est peut être pas utile de redéfinir de ce dont on parle depuis plus de 550 messages car on peut espérer que tout le monde avait compris le sujet.
Bonjour myoper, Bonjour à toutes et à tous,
Ben oui, myoper, donc, on s’y met tous en chœur :Alors il faut dire "gérer l'humanité pour que la planète demeure habitable pour eux, le plus longtemps possible dans les meilleures conditions possibles" mais ce n'est peut être pas utile de redéfinir de ce dont on parle depuis plus de 550 messages car on peut espérer que tout le monde avait compris le sujet.
- Les jeunes se lancent avec enthousiasme dans des études et des carrières scientifiques pour augmenter le nombre de chercheurs, d’ingénieurs, de techniciens,
- Chacun fait ce qu’il peut au niveau de sa vie quotidienne, en s’informant intelligemment,
- Ceux qui en ont les moyens financent la recherche, les entreprises high-tech, etc.
Et on attend que les politiques veuillent bien s’intéresser au sujet … D’ailleurs, si beaucoup d’électeurs font ce que dessus, ils FINIRONT par s’y intéresser …
Amitiés,
Jean
Ce qui est impossible, vu la teneur de ces 550 messages précédents:augmentation de la population amenant un épuisement des ressources en énergie et matière première, une augmentation de la pollution, une important changement climatique.
Vu la dynamique actuelle: toujours plus de croissance, sans vraiment se soucier des conséquences, cela amène à un effondrement de notre civilisation, plutôt qu'à une "gestion" raisonnée de la planète.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Ah non, moi dans mon entourage, les jeunes sombrent dans l'alcoolisme et les drogues. Parce qu'ils n'ont plus aucun espoir que leur situation s'améliore.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Oui, moi je travaille ça va. Mais il n'y a pas de travail pour tous! Va expliquer aux millions de chomeurs qu'ils doivent travailler. Où veux tu qu'ils trouvent du travail?
Comprends que pour les plus jeunes, c'est très difficile à vivre. Plein d'énergie et de volonté, ils ne peuvent rien faire. Résultat, ils se tournent vers l'alcool et les drogues.
C'est pour ça que je me demande bien ce que tes 10 à 20 millions de chercheurs pourront trouver pour améliorer cette situation!
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Bonjour à tous,
Qui peut encore croire qu'il y aura encore dans le futur du travail pour tous ( un revenu décent ) comme cela l'était dans les année 1950 chez nous en Wallonie ( Belgium ) notre pays ayant était obligé de faire venir des travailleurs étrangers ?
Bonne journée à tous
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
Re-,
Ca, c'est un vrai problème technique ... et je n'ai pas la réponse. Comme je ne pense pas que ce soit "hors charte", je continue mon point. Je pense que depuis peu (années 1990), notre société occidentale exclut de fait les individus qui n'ont pas une "formation suffisante". A moyen-long terme, je pense que "formation suffisante" signifiera "aptitude à créer son propre travail".Oui, moi je travaille ça va. Mais il n'y a pas de travail pour tous! Va expliquer aux millions de chomeurs qu'ils doivent travailler. Où veux tu qu'ils trouvent du travail?
Comprends que pour les plus jeunes, c'est très difficile à vivre. Plein d'énergie et de volonté, ils ne peuvent rien faire. Résultat, ils se tournent vers l'alcool et les drogues.
C'est pour ça que je me demande bien ce que tes 10 à 20 millions de chercheurs pourront trouver pour améliorer cette situation!
La seule solution est à mon sens de perfectionner radicalement l'appareil éducatif pour que 98 % des enfants arrivent à ce niveau (j'ai tendance à penser que c'est possible). Mais je n'ai pas la moindre idée de la façon de s'y prendre concrètement. Je suis par contre sûr que si on y arrive, ça augmentera le nombre de chercheurs aptes à faire progresser les connaissances (le nombre de ceux-là est par contre très limité, et pour longtemps ...).
Amitiés,
Jean
Les jeunes d'aujourd'hui n'ont pas envie de se battre: pourquoi faire, puisqu'on va de toutes façons vers l'effondrement de cette civilisation.
D'ailleurs je me demande aussi à quoi servent les 10 et bientôt 20 millions de chercheurs dont tu parles souvent, si la civilisation va s'effondrer.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.