Enfin tout cela me laisse bien perplexe...
L'A320 sauf erreur(?) m'a laissé un souvenir impérissable fin année 1987**, avec un atterrissage avec 2 pneus éclatés au décollage et détectés avant l'atterrissage... Le pilote avait été rassurant > "Ne vous inquiétez pas, il nous reste 6 pneus" Oui, mais 4 d'un côté et plus que 2 de l'autre (je n'ai pas fait le calcul pour savoir si 2 pneus pouvaient encaisser ~17 tonnes carburant vidé...)
Cela nous a valu un atterrissage tout en douceur (nous n'avons pas ressenti le contact avec le sol) et tout en longueur (éviter un coup de patin pour tenter un dérapage, sait-on jamais...)... Top niveau pour le pilote...
**A savoir tiré de Wikipédia..
Le premier A320 a été présenté au public à Toulouse lors d'une fastueuse cérémonie en février 19875 et le premier appareil, livré en mars 1988, est mis en service par Air France le 18 avril 1987. Le crash d'Habsheim (vol 296 avec disparition momentanée des boites noires et blanc d'une dizaine de secondes dans les enregistrements > problème d'altitude erronée et reprise des moteurs insuffisante > Pilote Asseline mis en cause), le 26 juin 1988 fut à l'origine des controverses sur la « fiabilité affirmée » de l'avion et plus particulièrement sur celle de l'informatique embarquée.
Le pilotage à deux fit l’objet d'un mouvement de grève important chez Air Inter de la part des navigants, déclaré illicite par le tribunal de Bobigny en novembre 1978. Tiens donc... Vont être content les grévistes, on va repasser à 3, une quarante d'années après leur requête...
A+
Sans prendre parti en aucune façon, j'ai juste trois remarques à faire:J'ai la même opinion...L'option du suicide arrange bien: >>>>> Et non, un tas de gens ne voudront plus monter dans un avion en sachant que l'équipage peut comporter un membre qui pourrait en finir accompagné.
Et on peut aller plus loin en réflexion... Quel sera le comportement et la confiance d'un pilote suspicieux vis à vis d'un pilote un peu jeune par exemple (et vice-versa)???? "Pas question que je vole avec cet inconnu"
Ce risque existe depuis que l’aviation existe et mis à par les kamikazes, ce serait une première.
A partir de "dans pas longtemps", il est à parier que personne ne restera seul dans le poste de pilotage.
Enfin, dans la même veine de la réflexion de minushabens, ça concerne tous le monde, y compris tous les automobilistes, bien moins suivi que des pilotes de ligne, qu'on frôle à des vitesses relatives qui nous arracheraient la tête et ceci, sans avoir besoin d'une détermination de plus d'une seconde.
Une psychose comporte une perte de contact avec le réel (extérieur à l'individu) et est impossible à cacher par sa nature même et n'amène pas au suicide en tant que tel.Si on retient la maladie mentale du copilote, comment la nommer??? J'ai entendu parler de dépression aggravée...
J'ai plus l'impression qu'il s'agit d'une psychose qu'un état dépressif avancé...
La dépression sévère ou une mélancolie, vont plus naturellement être en cause.
Le coté délirant de la dépression, c'est que l'individu ne peut pas se rendre compte ce qui lui serait bénéfique et est incapable d'en profiter et ça peut être suivi de phases opposées (ex psychose maniaco-dépressive qui a été renommé en bipolarité en raison des différences fondamentales avec les délires engendrés par les autres psychoses ; de même, on retrouve parfois des éléments délirants dans certaines mélancolies, ils sont partiels, centrés sur l'individu et peuvent être cachés (paranoïa, indignité, hypocondrie...).
Toujours sans avoir aucune idée de ce qui c'est passé ; pour moi, jusqu'à preuve du contraire, c'est l’œuvre des langoliers.
j'en suis pas tout à fait d'accord, il difficile de mettre sur le même plan un automobiliste et un pilote ( ou co-pilote ) qui ont la responsabilité de centaines de personnes.
d'autre part , il y a des précédents de suicide du pilote ( 5 au total si mes souvenirs sont bons ).
donc ce ne serait pas une "première".
Cdt
J'avais compris que le plan était le risque de se faire tuer par quelqu'un d'autre (pour certains motifs) sans qu'on puisse s'en douter ni le prévenir.
Si on parle du risque de mourir en avion, en effet, les automobilistes qui ont aussi la responsabilité de leurs passagers ainsi que celle de tous les gens qui sont dans leur environnement immédiat - jusqu'à plusieurs centaines sur un trajet - n'ont rien à y voir.
Bref, le plan reste à définir suivant certains critères que personne n'a précisé sur ce fil.
Avec leur avion et leurs passagers ?d'autre part , il y a des précédents de suicide du pilote ( 5 au total si mes souvenirs sont bons ).
donc ce ne serait pas une "première".
Cdt
Alors, il n'y a en effet rien de nouveau et strictement aucune crainte supplémentaire à avoir et je retire ce que j'ai dit (si des pilotes se sont déjà précipités au sol avec leur avion et leurs passagers et que les compagnies n'ont rien fait à ce moment, elles n'ont pas de raison de faire quelque chose maintenant).
Tout à fait. On peut ajouter que les médicaments donnés à cette occasion induisent une apathie...Sans spéculer sur la pathologie du pilote dont on sait trop peu de choses pour évoquer un diagnostic, il faut savoir qu'il existe des troubles dépressifs entrant dans le champ des psychoses (si on se refère à cette classification nosographique) comme la mélancolie (trouble unipolaires ou bipolaires)
"Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
Rachmaninoff
Bonjour à tous,
Vu les circonstances de cette affaires bien triste aussi la mort du co-pilote et des 149 malheurs, le secret médicale à son encontre sera t-il maintenu ?
Il ne faudrait plus que ce genre de situation puisse se représenter à l'avenir, même si les cas sont très rares.
Le médecin du travail qui suit les pilotes devant être bien plus vigilant, même si il sera nécessaire de changer quelques règles pour le suivis des pilotes ( prises de sang mettant en évidence la prise de médicaments qui peuvent mettre en évidence un problème de compétence dans les fonctions que doivent assumer les pilotes ).
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
j'approuve tous vos dires.Bonjour à tous,
Vu les circonstances de cette affaires bien triste aussi la mort du co-pilote et des 149 malheurs, le secret médicale à son encontre sera t-il maintenu ?
Il ne faudrait plus que ce genre de situation puisse se représenter à l'avenir, même si les cas sont très rares.
Le médecin du travail qui suit les pilotes devant être bien plus vigilant, même si il sera nécessaire de changer quelques règles pour le suivis des pilotes ( prises de sang mettant en évidence la prise de médicaments qui peuvent mettre en évidence un problème de compétence dans les fonctions que doivent assumer les pilotes ).
cordialement.
Un juge peu le lever et il est à parier que c'est déjà fait.
Il ont déjà des des tests sanguins et urinaires avec recherche de psychotropes et je ne me prononce pas sur le risque pour les pilotes de ne pas se soigner à cause de ça.Le médecin du travail qui suit les pilotes devant être bien plus vigilant, même si il sera nécessaire de changer quelques règles pour le suivis des pilotes ( prises de sang mettant en évidence la prise de médicaments qui peuvent mettre en évidence un problème de compétence dans les fonctions que doivent assumer les pilotes ).
Amha, les médecins des compagnies aériennes sont conscient des responsabilités qui sont les leurs et ça m'étonnerait que leur vigilance, donc leur professionnalisme puisse être mise en cause (pas plus que celui des pilotes, par exemple).
Ici, c'est un profil psychologique particulier qui peut se cacher très facilement qui est en cause et les yaka n'y peuvent pour l'instant rien: comme ansset nous l'apprend, ça fait déjà 5 et voila un 6 ème.
Il a décidé d'entrainer les autres pour un autre motif et un automobiliste peut très bien le faire aussi car absolument rien ne l'empêche ; il faut rester logique et ne pas craindre un risque parce qu'il est arrivé une fois et ne pas craindre d'autres risques qui peuvent arriver beaucoup plus souvent, tout simplement parce qu'ils ne se sont pas encore réalisés.
Comment expliques tu qu'il ne se soit pas suicidé sur la route, ce suicidaire qui est venu travailler en voiture, puisque le risque suicidaire ne concerne que l'intéressé ou tu supposes qu'il est devenu suicidaire en montant dans l'avion ?
Annulé
annulé
annulé
Le 6ème reconnus pourvu que ça n'arrive jamais avec un A380 sur une ville ou une centrale nucléaire
Oh que oui, un avion ce n'est pas une voiture les dégâts peuvent être bien plus terrible que ce cas présent, pourtant atroce pour les victimes et leurs familles, donc de grâce plus jamais ça
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
Un lien que je trouves sensé et qui propose une meilleur piste pour provoquer l'ouverture de la porte : http://www.securiteaerienne.com/pilo...suicide-watch/
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
Tout à fait, ce qui montre qu'on est dans quelque chose de beaucoup pus compliqué qu'un suicide chez un suicidaire (si ça se confirme).Le 6ème reconnus pourvu que ça n'arrive jamais avec un A380 sur une ville ou une centrale nucléaire
Oh que oui, un avion ce n'est pas une voiture les dégâts peuvent être bien plus terrible que ce cas présent, pourtant atroce pour les victimes et leurs familles, donc de grâce plus jamais ça
Un lien que je trouves sensé et qui propose une meilleur piste pour provoquer l'ouverture de la porte : http://www.securiteaerienne.com/pilo...suicide-watch/
Oui, bien , mais ce "screening", il reste à le mettre au point (comme indication de la difficulté, je rappelle les désaccords entre professionnels de la spécialité sur les troubles présentés alors que les passages à l'acte ont été effectués et qu'ils sont jugés).- Faire un screening psychologique des pilotes et ajouter cela aux examens médicaux qui permettent de valider les licences. Renforcer la confiance entre les équipages en assurant à chaque pilote qu’il n’est pas en train de travailler avec un malade mental et renoncer aux procedures qui alimentent la suspicion.
La piste militaire (procédures) est à examiner.
Super: la porte des cockpits redevient grande ouverte aux terroristes de tous poils et à tous les passagers qui auraient le même profil que notre pilote (avec le bémol qu'il devra être équipé comme un terroriste).- Modifier le système de la porte pour permettre l’accès des pilotes en tout temps. Par exemple, par un système biométrique qui connait les empreintes digitales ou les iris des pilotes de la compagnie et leur ouvre la porte sans délais ou difficulté. Même un iPhone peut lire une empreinte digitale de nos jours. Un système équivalent dans l’avion aurait empêché la catastrophe de Germanwings.
En fait, on a aucun moyen de savoir si certains automobilistes récidivistes n'ont pas ce profil parmi les plus d'un million de morts par an et les dizaines de millions de blessés...Il a décidé d'entrainer les autres pour un autre motif et un automobiliste peut très bien le faire aussi car absolument rien ne l'empêche ; il faut rester logique et ne pas craindre un risque parce qu'il est arrivé une fois et ne pas craindre d'autres risques qui peuvent arriver beaucoup plus souvent, tout simplement parce qu'ils ne se sont pas encore réalisés.
L'ouverture reste et restait à la discrétion du commandant de bord... Comme un pilote disait récemment si le(s) terroriste(s) tue une de ses hôtesses, puis deux, Il ne tentera pas 3 exécutions... C'est à lui de soupeser les risques encourus... Perdre uniquement son avion et ses passagers ou ajouter d'autres innocents au sol... Drôle de responsabilité...Super: la porte des cockpits redevient grande ouverte aux terroristes de tous poils et à tous les passagers qui auraient le même profil que notre pilote (avec le bémol qu'il devra être équipé comme un terroriste).
Cela ne risque-t-il pas de créer un précédent, un mauvais exemple...Tout à fait, ce qui montre qu'on est dans quelque chose de beaucoup plus compliqué qu'un suicide chez un suicidaire
Les prises d'otages sont devenues monnaie courante maintenant pas... Je ne parle pas des maintiens en otage pendant de longue années bien pire qu'une décision d'emprisonnement où l'on a droit à des visites régulières.. Idem pour les exécutions sommaires ...
Ne risque-t-on pas de se diriger vers une suprématie de la machine sur l'homme puisque celui-ci devient irresponsable à ce niveau avec les risques que cela comporte???
A+
Oui mais si comme on le propose, le cockpit s’ouvre de l’extérieur grâce à un doigt, une main ou un œil, il suffira de récupérer l'élément sur son cadavre (c'est ce à quoi je répondais).L'ouverture reste et restait à la discrétion du commandant de bord... Comme un pilote disait récemment si le(s) terroriste(s) tue une de ses hôtesses, puis deux, Il ne tentera pas 3 exécutions... C'est à lui de soupeser les risques encourus... Perdre uniquement son avion et ses passagers ou ajouter d'autres innocents au sol... Drôle de responsabilité...
Quelle horreur!
Au moins avec une charrette à cheval, pas de risque de détournement, d'accident tuant des centaines de personnes.
A part cela, il me semble impossible d'empêcher tout acte terroriste à bord des avions. A moins peut être de controler sérieusement chaque personne avant l'embarquement, mais alors temps multiplié par deux/
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Bonjour à tous,
Il faut conserver le code numérique associé à la reconnaissance de l'empreinte digitale et ou de l'oeil ou mieux en combinaison avec une phrase mots de passe en reconnaissance vocale, chaque voix étant quasi unique et non imitable par un terroriste.
Mais bon je sais que rien n'est infaillible et inviolable, mais que faire alors pour changer les choses sans mettre une hôtesse avec le pilote restant, car c'est jugé peu efficace
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Bonjour,
C'était une femme commandant de bord qui a réussi à poser son avion lors de cet accident :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_243_Aloha_Airlines
Je pense que le chef de cabine avec le pilote ou copilote restant reste la meilleure option.
Tuer 149 personnes quand on est seul aux commande est une chose, mais tuer 148 personnes + 1 dont on voit le visage en est un autre sauf si on est un terroriste. L'objectif des portes blindées étant d'empêcher des terroristes d'enter dans le cockpit pour prendre le contrôle d'un avion même s'ils font un carnage derrière.
Cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
oui, car il y a aussi le risque d'un malaise du pilote seul.
enfin la procédure de "lock" peut être amélioré avec 2 pers ayant chacun un code personnel.
Cdt
l'électronique c'est pas du vaudou!
Orly je suppose.
Pour aller à Paris je prends le TGV : c'est beaucoup plus simple et la différence de temps n'est pas suffisante. Par contre pour Paris-Toulouse la durée en TGV est prohibitive.
Pour revenir au sujet c'est quand même un métier largement dominé par les hommes.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Tout à fait Bluedeep, mais j'étais resté dans l'optique d'une tentative d'accès au cockpit par des terroriste(s)... D'où l'implication du commandant...Non, du pilote restant dans le cockpit.
OK, Myoper, je n'avais pas pensé aussi loin...Oui mais si comme on le propose, le cockpit s’ouvre de l’extérieur grâce à un doigt, une main ou un œil, il suffira de récupérer l'élément sur son cadavre (c'est ce à quoi je répondais).
Je ne comprends pas cette histoire de secret médical...
Pour donner une aptitude pour des fonctions à responsabilités ou à risques, un médecin du travail ou d'entreprises a besoin de se référer à plusieurs spécialité qu'il ne possède pas... Donc, il a besoin des rapports de ses confrères...
Exemple pour un travailleur exposé aux rayonnements ionisants, un examen des yeux, contrôle par électrocardiogramme, contrôle respiratoire etc, etc... Donc le médecin qui donne l'aptitude ne transmet aucune donnée à l'employeur, mais seulement une aptitude ou une non inaptitude... Le secret médical reste bien conservé...
En cas d'erreur, le médecin est tenu pour responsable sans rentrer dans les détails...
On m'a rapporté que le crash du vol MH370 de la Malaysia Airlines serait également dû à une action suicidaire du commandant de vol...
Il aurait été mis en évidence par la réception des 7 pings envoyés par le système ACARS par l'avion que la trajectoire aurait été modifiée par 2 fois pendant la période des 7 heures en direction de l’Arctique...
Que se dit-il dans les milieux aéronautiques???
A+
PS : Décidément mon 1er message était complètement dans les choux...
Le dernier exemple en date montre une nouvelle fois qu'un pilote suicidaire n'attend pas 7 heures pour en finir quand il en a l'occasion.On m'a rapporté que le crash du vol MH370 de la Malaysia Airlines serait également dû à une action suicidaire du commandant de vol...
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Il faut comprendre que le secret médical est un secret professionnel qui s'impose suivant la fonction du praticien et il y en a ici deux "sortes".Je ne comprends pas cette histoire de secret médical...
Pour donner une aptitude pour des fonctions à responsabilités ou à risques, un médecin du travail ou d'entreprises a besoin de se référer à plusieurs spécialité qu'il ne possède pas... Donc, il a besoin des rapports de ses confrères...
Exemple pour un travailleur exposé aux rayonnements ionisants, un examen des yeux, contrôle par électrocardiogramme, contrôle respiratoire etc, etc... Donc le médecin qui donne l'aptitude ne transmet aucune donnée à l'employeur, mais seulement une aptitude ou une non inaptitude... Le secret médical reste bien conservé...
En cas d'erreur, le médecin est tenu pour responsable sans rentrer dans les détails...
Il y a le médecin que le patient consulte volontairement, de son plein gré pour se faire soigner et celui-ci est soumis totalement à ce secret tel que le lien du message 14 le décrit et ne peut le partager avec le médecin du travail qui ne concourt pas aux soins du patient (sauf donc dans l’intérêt du patient et avec son accord).
Il y a ensuite le médecin du travail ou de la compagnie dont le travail n'est pas de soigner le patient mais qui doit s'assurer de l'aptitude du personnel. Le fait de déclarer cette aptitude ou inaptitude "serait" en soi une violation du secret et le médecin traitant n'aurait pas le droit de le faire mais c'est la fonction du médecin du travail. Il peut aussi demander des aménagements de poste divers et variés qui donnent encore des indications sur la santé, les pathologies ou problèmes du salarié mais c'est encore une des fonctions de ce médecin et c'est dans le but de le protéger.
Le médecin du travail peut conditionner l'aptitude à un certain nombre d'avis spécialisés mais ceux-ci sont donnés au patient qui les remettra lui même au médecin du travail, ces spécialistes n'ayant ni vocation, ni le droit de le faire et ne seraient pas forcément au courant des buts réels de l'examen.
Dans notre cas supposé, le copilote a semble t'il consulté un médecin extérieur à la compagnie, donc totalement soumis au secret (tel que déjà défini).
A titre indicatif, un médecin n'a même pas le droit de dire qu'il a vu un patient ni même de dire qu'un patient est un de ses patients et il aurait fallu que, dans le droit français, le pilote avoue projeter un crime pour que le médecin puisse prévenir le procureur.
Non Evrardo, je trouve que ta question a du sens: à l'époque du crash conte le Pentagone, l'avion n'avait laissé qu'un seul trou, ce qui veut dire que les ailes s'étaient repliées, la "disparition" des réacteurs est un point qui mérite que l'on s'interroge. Par ailleurs, la deuxième boîte noire a-t-elle été retrouvée? Je pense que nonobstant les révélations qui pointent en direction du co-pilote, il appartient quand même aux enquêteurs, d'étudier tous les scénarios jusqu'au bouclement. Ça prendra encore du temps n'est-ce pas?
Car le fait que le co-pilote ait eu le passé que l'on sait — et en admettant qu'il n'ait pas fait ce dont on l'accuse (pure hypothèse) — un autre scénario pourrait quand même être possible. a) le pilote sort du cockpit b) le copilote s'aperçoit que la trajectoire (ou altitude) n'était éventuellement pas "idéale", il débranche alors le pilote automatique pour effectuer une correction (les allemands sont des perfectionnistes) mais au moment où il veut corriger la trajectoire il se sent mal et au lieu de ça donne au manche l'impulsion qui lui fait perdre l'altitude jusqu'au moment fatal c) le co-pilote a un sursaut de lucidité et il pense à faciliter le retour du pilote, puisqu'il ne se sent plus apte d) il manipule alors l'interface pour déverrouiller la porte, mais étant entrain de retomber dans le brouillard, il se trompe et au contraire verrouille définitivement la porte (sans se rendre compte qu'il s'est trompé) e) il respire pourtant normalement mais reste tétanisé et inapte à se mouvoir f) soudain il se réanime un peu par les bruits contre la porte, il tente alors d'alerter en touchant le transpondeur (ou quelque chose) g) puis il retombe dans son état léthargique, il ne répond plus à rien et l'avion se crash tout en étant resté partiellement conscient jusqu'à l'impact.
Car au fond les conclusions (éventuellement pas hâtives, peut-être que le scénario officiel est correct) reposent sur quoi au juste? En fait, si l'on y songe, il pourrait éventuellement également s'agir d'un possible paralogisme:
— "le pilote était en suivi psy et l'avion s'est crashé: alors... c'est donc bien que c'est lui qui a fait volontairement tombé l'avion". "C'est pourquoi il a débranché le pilote automatique", etc.
Déduction un peu rapide et simpliste ...ou pas? Les coincidences seraient nombreuses mais pas impossibles pour un scénario "bis". Les enquêteurs vont donc devoir trouver des indices matériels qui valident la théorie actuelle (suicide) et personnellement ce qui m'a choqué, c'est que les journalistes n'aient pas plus souvent employé le conditionnel.
Il a été expliqué que ce n'était pas possible: il faut une action constante et volontaire pour bloquer la porte de l’intérieur.— un autre scénario pourrait quand même être possible. a) le pilote sort du cockpit b) le copilote s'aperçoit que la trajectoire (ou altitude) n'était éventuellement pas "idéale", il débranche alors le pilote automatique pour effectuer une correction (les allemands sont des perfectionnistes) mais au moment où il veut corriger la trajectoire il se sent mal et au lieu de ça donne au manche l'impulsion qui lui fait perdre l'altitude jusqu'au moment fatal c) le co-pilote a un sursaut de lucidité et il pense à faciliter le retour du pilote, puisqu'il ne se sent plus apte d) il manipule alors l'interface pour déverrouiller la porte, mais étant entrain de retomber dans le brouillard, il se trompe et au contraire verrouille définitivement la porte (sans se rendre compte qu'il s'est trompé) e) il respire pourtant normalement mais reste tétanisé et inapte à se mouvoir f) soudain il se réanime un peu par les bruits contre la porte, il tente alors d'alerter en touchant le transpondeur (ou quelque chose) g) puis il retombe dans son état léthargique, il ne répond plus à rien et l'avion se crash tout en étant resté partiellement conscient jusqu'à l'impact.