Baisse de l'espérance de vie

[invite1d291045]

Certes mais on en est pas encore à une pollution suffisamment massive.

Expérience de pensée: avec un taux de CO2 de 5 % dans l'atmosphère (augmentation que j'exagère justement massivement pour les besoins de la démonstration), quelle serait l’espérance de vie ?
C'est juste pour souligner que si la concentration des "polluants" continue à augmenter, des effets sur la santé seront forcément constaté à partir d'une certaine concentration.
Au passage, on ne peut pas arguer l'absence de l'effet d'une cause non encore présente pour conclure que la cause ne pourra pas survenir (et avoir les effets supposés, ou pas).

Ce n'est pas le raisonnement de ce médecin, tel que je le comprends avec la citation. Et vérification faite dans Le Point, la cause est selon lui déjà bel et bien présente parmi nous et nous la subissons depuis longtemps (au passage, il interprète les chiffres comme ça l'arrange pour arriver à cette conclusion). Pour que son raisonnement tienne il faut imaginer que cette cause fonctionne comme une bombe à retardement, n'ayant aucune influence notable sur la mortalité pendant plus de 40 ans, puis BOUM! fait exploser la mortalité, malgré toutes les causes qui ont pu jusque là la faire diminuer fortement jusque là, au point d'inverser l'évolution de l'espérance de vie.
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[invite6f9dc52a]

Ce n'est pas le raisonnement de ce médecin, tel que je le comprends avec la citation. Et vérification faite dans Le Point, la cause est selon lui déjà bel et bien présente parmi nous et nous la subissons depuis longtemps (au passage, il interprète les chiffres comme ça l'arrange pour arriver à cette conclusion). Pour que son raisonnement tienne il faut imaginer que cette cause fonctionne comme une bombe à retardement, n'ayant aucune influence notable sur la mortalité pendant plus de 40 ans, puis BOUM! fait exploser la mortalité, malgré toutes les causes qui ont pu jusque là la faire diminuer fortement jusque là, au point d'inverser l'évolution de l'espérance de vie.

Au temps pour moi, je n'avais pas correctement compris ce à quoi tu répondais.

Mais cela reste autant spéculatif que prédire une baisse de l'espérance de vie. Le sujet n'est pas si les polluants ont un effet ou pas (ils en ont par définition ou presque), mais l'espérance de vie. Le point que je faisais répondait à ce qui était écrit sur l'espérance de vie, et était qu'on ne peut rien dire sur l'espérance de vie simplement parce que cela dépend d'un tas d'autres facteurs que la pollution, et qu'en plus il y a possibilité de rétroactions (adaptations techniques).

L'espérance de vie tient à un tas de facteur mais si un seul facteur (par exemple une concentration en CO2 trop élevée) devient trop toxique, il serait étonnant que cette espérance reste la même, pourtant (trop est justement défini comme augmentant la mortalité précoce et provoquant une morbidité accrue, quoi d'autre pour une toxicité ?).
Oui, c'est presque une tautologie mais si tout le monde meurt plus jeune, il sera possible de dire que l’espérance de vie sera d'autant raccourcie, me semble t'il.

[invite2e218215]

Par contre certains pensent qu'il s'agit d'une vraie baise qui peut-être durable.

Dans ce cas, le topic doit s'appeler "vers une baisse significative de l'espérance de vie ?" et doit s'appuyer sur des études prévisionnelles.

"Ces pathologies sont autant de menaces pour l'espérance de vie qui ne pourra malheureusement, si rien n'est entrepris, que continuer à diminuer. "

Quelle étude montre que réalistement l'espérance de vie peut continuer [malheureusement] à diminuer ?
Qui est Laurent Chevallier ?

Pourquoi on fait passer des hypothèses alarmistes sur le Point sans aucune information sur l'étude et le parcours de l'auteur ?