Très intéressé par votre discussion. Il y aurait à redire sur la législation, très restrictive, datant de l'Etat Français, conduisant à des effets contraires à ceux espérés. Par exemple,il y a quelque chose que je ne comprends pas, c'est la mise en favissa des produits de fouilles non conservés en musée !
Pour moi tout objet devrait être déclaré aux autorités archéologiques, et que cela ne s'associe pas immédiatement à la suspicion et à la présomption d'ignorance du déclarant.....
Pour ma part, je recherche une copie de l'amphore italique Dressel 1B, et je n'arrive pas à avoir l'adresse d'un potier, ou revendeur, en France ou ailleurs. Quelqu'un pourrait-t-il m'aider?
Avec mes remerciements.
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Que dire face à cela, restons calme ? Je suis membre de 2 assoces, je travaille avec plusieurs SRA étant limitrophe de plusieurs départements, personnellement je dois en être à une bonne trentaine de fiches de déclaration de site ou d'objets à ces SRA, donc je dois m'attendre à prendre perpéte !! 
Il existe des musées départementaux (voire régionaux). Enfin pour avoir fait des découvertes récentes en rivière, je peux vous dire que les deux communes concernées souhaitent garder des artéfacts sur leur territoire pour pouvoir les exposer à leurs citoyens et informer sur l'Histoire locale. C'est pratiquement chose acquise : ce sera dans une chapelle en rénovation ouverte au public, les artéfacts seront visibles du public, conservés sous clé hors ouverture, avec la bénédiction du SRA, à la grande joie du Maire et de l'équipe de fouille qui pour vulgarisation a prévu de présenter un diaporama sur le sujet en séance publique. Ces artéfacts, et c'est le deal commune/SRA, seront accessibles comme je l'ai dit au public mais aussi aux chercheurs et étudiants qui voudraient se pencher dessus. 
