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.4/ le lien si lien il y a avec la question de la responsabilité que tu soulèves aussi…et dans ce cas …de quel type de responsabilité parlons nous… ?……la réponse est sans équivoque possible pour moi. La responsabilité est totale en tant que conscience d’être partie d’un tout irréductible qui est le Vivant que je suis en tant qu’être qui participe à ce mouvement.…c’est un fait..dès que que la perception de conscience de ce que nous sommes vibre concrètement dans l’instant hors temps psychologique, le champ psychologique de la conscience identifiée aux expériences passées et projetées du futur est suspendu ce qui signifie dans l’instant la fin de la conscience de soi individuelle psychologiquement parlant …..pas de projections, pas d’interprétations, pas d’indentifications…pas de filtre actif……pas de passé pas de futur……..contact direct avec le monde sensible…....la responsabilité est totale car la conscience est totale…l’unité de l’être est réalisée dans l’instant…de la pleine conscience de cette conscience totalement consciente d’elle même……..et la marque de cette conscience là est la conscience de l’unité de tout ce qui est relationnellement parlant …en ce sens la psychologie individuelle n’a pas de sens…car nous sommes un et c’est un fait relationnellement parlant….cette conscience réalisée dans ce qu’elle est pleinement est ce qui est cherché par les philosophes, les religieux et les scientifiques depuis toujours……mais selon ce que je vois cette liberté de percevoir l’ET du monde sensible en contact direct n’est pas à la fin de la recherche mais au début, l’éternel début….elle est directement le résulat de la désactivation du processus « moi » dans l’instant…qui crée l’activation de la conscientisation globale immédiate de la conscience consciente. dans l’instant…et ce début perceptif…..n’est jamais acquis car il est sans fin à chaque instant discontinu…à découvrir dans la relation à soi aux choses et aux personnes qui noue entourent…sans fin…..c’est à partir de lui , de cette liberté radicale ..que la découverte qu’elle soit scientifique religieuse ou philosophique prend une dimension nouvelle….où l’humain n’est plus perçu par lui même en tant que conscience/moi comme un individu isolé et devant se trouver des raisons « personnelles » d’exister en opposition avec celles des autres, ce qui est l’essence même de tout conflit humain….mais l’homme est alors perçu par lui même de façon vivante et réelle en tant que conscience/vivante/matière/énergie/espace/temps comme faisant partie d’un tout dont il est un des corps, des objets évoluant dans ce tout…qu’il est………la responsabilité n’est donc pas le fait alors de l’individu qui psychologiquement n’existe pas mais de la conscience globale qui est une phénoménologie collective. Il ne s’agit pas là d’une théorie mais d’un fait dès qu’il est perçu dans l’instant vivant . Comme je l’évoquais plus haut….la conscience de ce que nous sommes en tant qu’humain est totalement réalisée à cet instant là. Cet instant qui est l’expression de l’à-temporel est le présent éternel dans son acceptation d’être. Il ne peut pas être prouvé mais seulement vécu. Ce point n’a aucune signification réelle sur le plan intellectuel de la pensée/moi et donc sur le plan de la science telle qu’elle est définit aujourd’hui par la pensée/moi en tant que pouvant être réfuté pour être scientifiquement entendable…ce qui se justifie pleinement sur le plan des perceptions physiques mais qui est éronné sur le plan psychologique puisque c’est justement ce plan de la perception psychologique qui est le cœur du problème. Et donc forçément sur sur ce point la théorie scientifique qui légitime la théorie pouvant être scientifique se trompe. …car elle ne connaît pas ce champ…
tu dis « La véritable essence qui compose toutes choses de matière-énergie, et donc de leurs véritable nature fondamentale sur le plan vibrato-énergétique. Me semble-être au même niveau compérative d'abstraction, que les différents phénomènes de conscientisation consciente des choses, versus les différentes forme de connexions et d'embranchement des tissus nerveux (relation entre les différents réseaux de réseau de neuronnes) qui la compose et donc elles semble en émerger par immanessence ou par transcendence !!!! Les deux sont délimité par une sorte d'interface qui sépart la nature réelles des choses sur le plan vibrato-énergétique de leurs aspect plus tangible et plus sensibles sur le plan matérielle des choses (bon ici je ne sais pas si je suis claire dans mes propos !!!). Voilà l'un des plus grands mystère de la nature.. ».……
là je ne comprends pas bien….veux tu développer SVP….
tu dis « - Pour moi le temps n'a pas d'essence propre, il n'est qu'une chose qui sert à décrire et a interpréter l'écoulement continu (ou presque selon la véritable valeure du temps de Planck) des différents taux vibrato-énergétique de la matière-énergie et de leurs l'influences mutuelle. La véritable essance qui découle et qui est relative au temps en durée, se trouve ailleurs caché dans les profondeurs même des choses phénoménales et causales de la nature, sa véritable dimension est décrite par l'écoulement de l'éternelle instent présent ».
Je ne sais pas ce qu’est la valeur du temps de Plank…….mais oui oui c’est cela même…à propos du temps…..ce que tu appelle la véritable essence….est à-causal, et ne proçède pas du monde phénoménal…..mais elle n’est pas cachée ….‘ailleurs’…..c’est une projection de la pensée identifiée « moi » qui ne conçoit les choses qu’en terme de ceci ou cela exclusif et non inclusif et qui projette sans cesse un « autre chose » où chercher..… dès qu’il y a prise de contact avec l’ET sensible en direct, ce type de question n’existe pas dans la conscience totalement conscientisée puisque la séparation psychologique n’existe pas en tant que phénomène perçu comme ‘étant’ ou même seulement ‘comme possible’….çà n’a donc pas de sens de poser la question de l’essence…..…cela dit en ce qui concerne les conséquences en terme de découvertes scientifiques des possibles dans le monde formel et sensible de cette perception de conscience globale et d’incarnation de cette même conscience pour un chercheur scientifique par exemple, …..je ne sais pas concrètement par rapport à un objet déterminé……mais il est certain que les conséquences seraient énormes à la fois sur le plan de l’orientation éthique de ses recherches, mais aussi dans le fait de son appréhension naturellement transdisciplinaire de la démarche de recherche sans même parler de sa capacité « créative » et « perceptive » naturelle au contact directe de l’énergie première de ses objets de recherche puisqu’il serait lui même au cœur de l’événement énergétique vie/conscience/énergie totale « en lui »….le seul temps qui reste alors en terme de pleine conscience de soi est l’ET sensible qui devient alors un problème archi secondaire puisqu’il est perçu en direct…au contact…en terme d’énergie vivante car nous sommes cela….l’énergie est cela….…..
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